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Au bout du monde – 11

Au bout du monde – 11
Pluie torrentielle

Luce conduisait menton en l’air comme la plupart des femmes, le visage éclairer par les lumières oranger du tableau de bord. Le temps avait fraîchi légèrement car la nuit était tombée et il pleuvait à boire debout. Les essuie-glaces dansaient à une vitesse folle sur le pare-brise. On fut complètement trempé une fois le vernissage terminer, jutes le temps de se rendre de la galerie d’art a son 4×4 en courant. « Le temps change vite par ici, » avait dit Luce en prenant le volant. Je frissonnais dans mes vêtements mouiller en regardant la route que les phares puissants du Hummer peinaient à éclairer à cause du rideau de pluie. Un vrai déluge ! Ça tambourinait sur le toi presque a nous rendre sourde et transformait la route de gravier en bourbier. Le 4×4 patinait par endroits mais Luce conduisait de main de maître même perdue dans ses pensées. Elle rayonnait arborant un petit sourire en coin des plus charmant, griser par sa soirée sans doute, ses cheveux mouiller plaquer sur le visage tout comme moi. Elle avait fait des ventes et d’autres propriétaires de galerie lui avaient fait des offres d’expositions. Et moi, une femme m’avait embrasser et inviter dans son lit et je ne pensais qu’a cela. Ce baiser entre femmes, mon premier, m’avait complètement allumé.

— Heureuse de ta soirée ma belle ? Criai-je pour me faire entendre.
— Oh oui ! Merci d’être venu Julie. Hurla-t-elle en riant.
— D’être venu au vernissage ou aux toilettes à cause des mini vibrateurs que tu m’as inséré dans le vagin et le derrière avant de sortir ce soir et que tu démarrais sans arrêt avec la télécommande que t’as dans ta poche. J’avais l’air d’une belle cruche qui avait sans cesse envie de pisser devant tout le monde. Tu m’avais promis de ne pas le faire, que c’était pour après le vernissage. « Je ne ferais jamais ça Julie… » mon oeil.
— Quoi ?

Elle avait un gros sourire fendu jusqu’aux oreilles.

— Tu m’as bien compris la menteuse, n’essayes pas.
— Oh, fâché la vedette ? T’as pas aimé ? Moi si, quand tu m’as rendu l’appareil.

On aurait dit deux petites vielles qui criaient pour se comprendre, ça me fit rire de plus belle.

— Ah oui ! Hurlais-je en glissant la main dans ma poche car elle aussi avait de ses petits raisins vibrateur mais dans le derrière et j’avais également une télécommande.

Son sourire s’évanouit aussitôt et elle se tortilla sur le siège en plissant les yeux et fermant les genoux sous le volant.

— Ouf ! C’est dangereux ça en conduisant, surtout avec cette pluie.
— Quoi ?

Et elle mit la main dans sa poche.

Cinq minutes plus tard elle stoppa à l’entrée du chemin priver menant à sa roulotte et on se tordait toutes les deux. Luce avait une érection terrible sous sa jupe et moi j’avais déjà eu un orgasme les deux mains plaquer sur ma fourche. Le souffle me manquait mais les vibrations diminuait rapidement, les piles s’épuisaient. Je ne savais plus si j’en étais heureuse ou déçu. Luce, dans le même état d’excitation que moi, sortit sous la pluie car son entrée était barrée par une chaîne. Je ne pensais plus qu’a me retrouver dans le lit, bien au sec, avec elle, jambes en l’air a crier mon plaisir. En fait j’avais adoré sortir avec les gadgets en moi et les sentir vibrer en plein vernissage. Je ne pensais plus qu’à baiser, baisé et baisé.

Je la cherchais des yeux mais en pleine nuit et avec cette averse torrentielle je n’y voyais rien même avec les phares toujours allumés. Je détacher la ceinture de sécurité qui m’écrasait les seins et croiser les jambes toujours agacer par les gadgets qui se mouraient à petit feu. Mon sexe détremper pulsait et je ne pouvais m’empêcher de me le frotter et c’était bon, si bon, tellement, que je déboutonner mon jean, baisser la fermeture éclair et soulever les fesses pour le descendre sur mes cuisses en même temps que ma petite culotte et glisser une main sur mon pubis en me crispant aussitôt. Je voulais exciter Luce encore plus par la même. Je me mis a faire des cercles et des pressions en geignant, bouche entrouverte. Le plaisir irradiait jusqu’à la pointe de mes seins tendus sous mon soutien-gorge humide. Je glisser l’autre main sous le tailleur pour me les presser par-dessus ma blouse sentant un autre orgasme naître au creux de mon ventre mais soudain, ma porte s’ouvrit.

Malgré le plafonnier qui s’était allumé à l’ouverture de la porte, je n’apercevais qu’une ombre sous la pluie battante qui restait là, sans bouger, comme dans un film d’horreur. Luce me regardait me caresser et j’adorais ça. Je ne pus m’empêcher de frissonner encore plus en serrant les fesses et les cuisses, le visage grimaçant sur le point d’atteindre l’orgasme. Mais elle s’approcha et je m’aperçus, surprise, qu’elle était entièrement nue. Son sexe bander dur sursautait sous la pluie, je le fixais avec envie en salivant. Elle m’agrippa par un bras fermement, celui avec le quelle je me branlait et me força a lâché mon sexe juste quand j’allais jouir. Terriblement déçut, je faillit lui crier après pour la forme mais son autre main se referma sur ma blouse et elle me tira pour me sortir de force du camion et je savais bien pourquoi et j’en avais drôlement envie même si j’aurais préféré que ça se passe dans le lit bien au sec. Elle me tira si fort que la blouse craqua, un bouton fut arraché tandis que je fus propulsé vers l’avant sans pouvoir m’arrêter. Je fus de nouveau trempé instantanément comme si j’entrais sous la douche. Mon jean déboutonner et baisser me fit perdre l’équilibre et je m’affaler sur le ventre durement m’écrasant la poitrine en grimaçant. Je me retrouver le visage dans de la boue liquide qui ce faufila dans ma bouche et dans mon décolleté agrandit par la perte du bouton jusque dans ma brassière me chatouillant les seins. Une peut sonner je soulever la tête pour recracher l’eau boueuse qui me laissa un mauvais goût de terre dans la bouche. La pluie martelait mes fesses à l’air et c’était plutôt agréable. Je m’attendais à ce qu’elle s’étende sur moi pour me prendre, soit par le vagin, soit par le cul et je m’en foutais. L’un ou l’autre ce serait bon, ici, sous la pluie, étendue dans la boue. Mais Luce me retourna aussitôt et sans ménagement pour s’asseoir sur mon ventre me coupant le souffle et ouvrir le tailleur pour plaquer ses mains sur ma poitrine qu’elle pressa avec force me faisant grimacer. Désorienter par son désir violent, ma chute et cette pluie saler provenant de la mer, je clignais des yeux sentant mon coeur s’affoler. Je cherchais mon air sous toute cette eau qui tombait du ciel et qui frappait maintenant mon pubis et mon sexe directement.

Me savoir désirer a ce point me tétanisait, me faisait mouiller dix fois plus tandis que ses doigts palpaient mes seins, les pressaient, les soulevaient par-dessus la blouse glissante tremper de boue. Je me tordais sous elle en me frottant le visage et les yeux. Son pénis bander dur, pointer vers le ciel palpitait au-dessus de mon ventre me faisant déglutir tandis que je reprenais mes esprits. Je voulus le prendre mais elle me tapa la main durement pour m’en empêcher avant d’agripper la blouse à deux mains et de tirer de toute ses forces pour l’ouvrir. Les boutons cédèrent facilement, un frisson d’excitation me parcourut en sentant la pluie frapper directement mon ventre cette fois, puis elle souleva mon soutient-gorge dénudant ma poitrine au mamelon tendu a l’extrême et beaucoup trop sensible. La moindre goutte d’eau les frappant m’arrachait une grimace. Mon souffle s’accélérait, une ondée de chaleur me traversait le ventre et remonta jusqu’à mon visage. À défaut de pouvoir la toucher, mes mains se refermèrent dans la boue, cette même boue qui me chatouillait les fesses. Je gémissais tandis que la pluie mitraillait mon visage, mes seins et mon sexe pendant qu’elle me regardait à présent en se caressant la poitrine d’une main et la bite de l’autre.

Puis elle s’avança un peut et plaça son sexe entre mes seins quelle pressa ensemble et elle commença a bougé les fesses pour se mettre là, en m’agaçant les mamelons avec ces pouces. Un petit courant électrique me traversa la poitrine et le bas ventre. Dans le noir, j’apercevais a peine son gland qui allait et venait dans la chair tendre de ma poitrine en déglutissant d’envie de le prendre dans ma bouche tout en grimaçant de plaisir. Les pouces sur mes mamelons me rendaient presque folle, ça et cette maudite pluie qui me piquait tellement les yeux. Luce s’agitait sur mon ventre le visage tourner vers le ciel, je la voyais en ombre chinoise à cause des phares et du plafonnier rester ouvert dans le camion derrière elle.

Elle semblait savourer pleinement ce moment. J’apercevais ses seins se balancer à chaque coup de reins qu’elle donnait et je ne pus m’empêcher de lui prendre avec mes mains pleines de vase pour lui caresser en plaçant moi aussi mes pouces sur ces pointes tendues pour les titiller. Dans le noir, la boue liquide avait la même texture que du savon rendant mes mains bien glissantes. J’adorais palper ses seins aussi gros que les miens mais plus fermes. Je la sentis frémir et j’eus soudainement peur quelle jouisse comme ça, sur ma gorge et la supplier de finir de me déshabiller et de me prendre par le vagin mais je reçus une gifle qui me fit tourner la tête et lâcher ses seins. Pas très forte, mais suffisamment pour accentuer toutes mes sensations, puis elle dit en se penchant vers moi tandis que je me frottais la joue brûlante :

— Je t’interdis de bouger Julie, je t’interdis de me toucher, je t’interdis de parler car je vais te prendre comme je veux, par ou j’en ai envie et te faire tout ce qu’il me plaira de te faire. T’ont corps est a moi Julie Demers, tu vas être docile et obéissante et tout à l’heure, si tu es gentille avec moi, une fois a la roulotte, je serai a toi, tu feras de moi tout ce que tu voudras et je t’obéirai au doigt et l’oeil.

Malgré le déluge j’entendis clairement ses paroles et j’en frémis de plaisir, nullement choquer par sa petite gifle, au contraire, j’avais vraiment aimé, au point ou j’en aurais bien pris une autre.

Obéissante, exciter, le coeur battant, et amuser par ce jeu, j’étendis mes bras en croix dans l’eau boueuse lui offrant mon corps, a elle, mais aussi a la pluie tiède qui me frappait si durement que j’avais l’impression de recevoir des clous aux pointes émoussées. Elle lâcha ma poitrine pour se reculer et m’enlever mes souliers puis le jean. Je me laisser faire mollement en me demandant par ou elle allait me prendre; le vagin, le cul ou la bouche, peut-être les trois, mais je priais pour que ce soit le vagin. La pluie frappant mes longues jambes me fit frémir de plus belle. Puis ce fut ma petite culotte détremper qu’elle retira et finalement les mini vibrateurs, dont les piles étaient mortes, en tirant sur le fil. En sortant, les raisins de plastique me procurèrent de douces sensations, surtout au niveau de l’anus. Je me lécher les lèvres de plaisir, les yeux clos en frémissant.

Rarement je n’avais été dans un tel était excitation en m’abandonnant complètement aux éléments et aux caprices de Luce. Je me contentai d’écarter les jambes et de rester la, les yeux et la bouche fermer, comme crucifier, presque entièrement nue dans cette eau boueuse, a attendre son bon vouloir.

Le martèlement de la pluie sur la forêt et le 4×4 était si fort que j’avais l’impression d’être à côté d’une chute. Qu’allait-elle faire ? Me soulever les jambes pour les poser sur ses épaules et me pénétrer avec force mains sur mes seins, ou me retourner et s’étendre sur moi en m’enculant sans ménagement… Je frémis de plus belle à cette idée. Toujours rien. « Allez ma belle, fait quelque chose, prend moi puisque mon corps est a toi. » Je me sentait si exciter que j’avais l’impression que le moindre attouchement, surtout au niveau de mon sexe qui pulsait, me ferait exploser, comme une bombe, Je n’en pouvais plus, je mourais d’envie de me faire mettre ou que ce soit, mais quelle me touche. Je me tortillais, cette maudite pluie qui martelait mon corps, surtout mes mamelons, m’agaçait tellement que c’en était presque une torture. C’était le supplice chinois de la goutte d’eau mais multiplier par mille.

Toujours rien, j’allais ouvrir les yeux quand soudain, je sursauter en sentant son gland dégoulinant d’eau de pluie me chatouiller les lèvres. Ma bouche s’ouvrit tout seule et il s’y enfonça profondément, glissant sur ma langue, contre mon palais me forçant à raidir la nuque en ravalant ma salive déjà abondante. Quand je sentis ses grosses couilles molles et mouiller s’écraser sur mon nez me le chatouillant, je compris dans quelle position elle était, en 69. Je serré les fesses dans la boue imaginant déjà sa bouche et ses doigts s’occuper de mon sexe. Je sentis ses seins aux mamelons aussi durs que les miens s’écraser contre mon ventre et ses bras se faufiler sous mes genoux pour me les soulever et me les rabattre presque sur les épaules. Je passé mes mains en dessous pour les maintenir en place, elle en profita pour planté ses doigts dans mes fesses. Et je frissonner des pieds à la tête en sentant déjà sa langue pointue qui se faufilait profondément dans ma fente humide sans préambule pour s’y agiter tandis qu’elle se mettait entre mes lèvres arrondit, ses couilles heurtant mon nez.

Je grognait et gémissait par les narines et me tortillai sous elle tellement sa petite langue pointue me procurait du plaisir pendant que son menton écrasait mon clito bander dur me coupant le souffle. Sa langue experte, son corps sur moi, sa bite qui allait et venait entre mes lèvres arrondis et cette pluie qui s’abattait sur nous me procurait tellement de sensation que je jouis presque instantanément. Mon corps fut parcouru de spasmes et de frissons électriques. Un orgasme puissant qui me fit presque mordre sa bite en geignant par les narines.

Dans la position où j’étais, jambe rabattue, cul en l’air, elle avait accès à tout; anus, clitoris et vulve et la pluie aussi qui martelaient ces endroits si sensibles. Et Luce en profita pleinement tandis que j’essayais de ne pas étouffer à cause de son gland qui me rentrait jusque dans la gorge. Elle me lécha le sexe longuement en me tapant les fesses mouiller avant de me les mordre. Je me plaignis comme je le pouvais de ce délicieux traitement. Puis un pouce m’agaça le clitoris pendant que sa langue s’enfonçait profondément dans mon anus pour s’y agiter en me rentrant deux doigts dans le vagin détremper. Je crus devenir folle par ce trop-plein de sensation en explosant. Un autre orgasme qui me fit raidir les orteils sous la pluie. C’était si intense que j’aurais voulu crier mais je ne pouvais que grogner la bouche pleine. Elle continua, doigt et langue alternant d’un trou à l’autre ne me laissant aucun répit. Quand elle me suçait le clito, mes pieds s’agitaient et je me tortillais sous elle comme pour m’échapper mais c’était tout le contraire. J’espérais qu’elle allait me torturer comme ça le plus longtemps possible.

Son scrotum avait durci, je le sentais bien et je me préparais à avaler son sperme. Mais elle sortit lentement ça bite de ma bouche, j’en profiter pour reprendre mon souffle malgré la pluie. Elle me retourna et me força à me mettre à quatre pattes pour me prendre par le vagin un long et délicieux moment tout en me passant un pouce dans le derrière. Sur les coudes, le nez à fleur d’eau, les cheveux dans le visage cette fois je pouvais gémir à souhait tellement c’était bon de sentir sa bite si dure aller et venir en moi et ses couilles me frapper le clitoris. Mes seins, dont les pointes trempaient dans l’eau tiède sursautait méchamment a chaque coup de boutoir rajoutant a mon plaisir. J’allais jouir a nouveau mais elle sortit ça bite pour me frapper les fesses avec avant de placer son gland sur mon anus. Mon corps fut parcouru de frissons en le sentant si enfoncer lentement et si facilement.

J’ouvris la bouche en fermant les yeux pour mieux sentir son gland entré dans mon rectum en amenant mes doigts à mon pubis pour me branler. Cette fois je pouvais crier. Quand son ventre commença à heurter mes fesses je faillis jouir mais l’orgasme m’échappa. Elle m’enculait avec force à présent en me tenant solidement par les hanches tandis que je me frottais le sexe sans ménagement en grimaçant. Puis elle passa au vagin un moment et retour à l’anus. Les deux sensations étaient différentes mais fantastiques. Je ne pus m’empêcher de me masturber avec plus de v******e jusqu’a jouir une nouvelle fois, enfin, en criant, le visage déformer par le plaisir. Elle prit son temps à profiter de mon sexe et de mon cul et j’adorais cette baise sauvage sous la pluie. Jamais je ne pourrais l’oublier.

Au bout d’un moment, elle se retira de mon cul y laissant comme un grand vide pendant que mon corps parcouru de spasmes se calmait peut a peut et je me sentis tirer par les cheveux. Je dû me remettre sur les mains, seins pendant tandis qu’elle poussait ça bite entre mes lèvres pour se mettre dans ma bouche comme si j’étais la dernière des putes en me tenant par les cheveux. Parfois elle la sortait pour me frapper le visage avec et elle la repoussait dans ma bouche jusqu’aux couilles. J’agitais la langue pour lui faire plaisir jusqu’à ce qu’elle laisse juste son gland entre mes lèvres sur ma langue et qu’elle se masturbe. Son sperme saler jaillit aussitôt avec force me remplissant la bouche s’y faufilant dans les moindres recoins et j’avalai, encore et encore jusqu’a ce qu’elle finisse de jouir. Elle me fit la sucer encore un moment puis se recula pour s’asseoir sur ses fesses apparemment aussi exténuer que moi. Je me laissais tomber sur le côté les mains coincer entre mes cuisses me sentant vider avec toujours le goût de son sperme en bouche.

— Rentrons Julie.

Elle m’aida à me relever et à monter dans 4×4. Elle ramassa nos vêtements quelle jeta a l’arrière, débarras la chaîne et on repartit vers la roulotte. Je me sentais zombie, alangui, vider de toute substance mais bien. Vraiment bien. Mais je frissonnais des pieds à la tête et mes dents s’entrechoquaient.

Après une bonne douche chaude on se sécha les cheveux et j’allai m’affaler à plat ventre sur le lit complètement épuiser pour m’endormir aussitôt.

Après le déluge

Quand j’ouvris les yeux il faisait jour, j’étais seul et apparemment je n’avais pas bougé de la nuit. J’avais mal partout mais surtout au dos et aux seins. Je me traîner a la cuisine en me frottant les reins, les yeux à peine ouverts, trouvant Luce affaler sur le sofa jambes croisées avec un long t-shirt rouge sur le dos, prenant un café en écoutant le bulletin de nouvelles du matin. Elle me regarda avec un petit sourire malicieux en disant :

— T’as l’air d’une fille qui vient de passé sous un train.
— Merci, grognai-je en me servant un café pour ensuite aller m’asseoir en grimaçant à la petite table de cuisine. C’est gentil Luce.

Elle se contenta de sourire. Par la fenêtre, en buvant le liquide chaud et amer sans sucre, je vis qu’il ne pleuvait plus mais une brume opaque bouchait la vue complètement. Quand je la regarder a nouveau j’eus droit a un autre magnifique sourire qui fut contagieux. Elle, elle avait l’air de sortir tout droit d’un salon de beauté; maquillée, les ongles fraîchement repeignent avec un rouge éclatant et elle s’était même fait de jolies tresses minces sur le côté du visage. Elle était si jolie que c’en était décourageant. Moi je devais avoir le teint pâle à faire peur, les cheveux en bataille en plus de mon corps couvert de blessures et quant à mes ongles, je n’en parle même pas. Je soupirer longuement en me tortillant sur la chaise, l’anus me piquait et m’élançait légèrement.

— Mal au cul Julie ?

Je souris en me mordillant les lèvres me sentant rougir un peu en repensant à hier sous la pluie.

— Non ça vas ! J’ai mal partout sauf là. Seigneur ! Tu sors, si tôt le matin ?
— Non, pourquoi ?
— C’est juste pour moi que tu t’es faite aussi belle.
— Oh ! Merci ! Oui, absolument.
— Et tu bandes en plus.

Son pénis commençait à s’élever en sursautant sous son t-shirt.

— Érection matinale. Mais voir la belle Julie Demers nue, prendre un café a ma table de cuisine, ça aide un peu.
— Belle mon oeil, je suis dut pour une manucure, un bon 2 h dans un salon de massage et ensuite le salon de beauté. Mais au lieu de ça, je vais devoir me taper presque 10 h de route.
— Mauvaise nouvelle Julie.
— Bon ! Quoi encore ? Dis-je distraites en regardant les morsures de fourmis qui avaient viré au brun pâle pendant la nuit.
— Des rivières ont débordé, des ponts ont été emportés sur la 138, la seule route de la région. Elle est fermée pour au moins une semaine. Et ils annoncent encore des orages. Désoler Julie t’est coincé ici avec moi pour encore quelques jours.

« C’est Marie qui allait être déçu » me dis-je tout de même heureuse de ne pas avoir à prendre la route. Même très heureuse d’avoir une excuse pour rester ici. En fait, je me retenais pour ne pas sauter de joie.

— Bon, fis-je, pas le choix.
— Pas le choix et tu sais ce qu’on va faire ?

Je regarder ça bite qui soulevait le t-shirt en disant.

— Je pense que oui mais laisse moi le temps de me réveiller et de manger quelque chose. Je meurs de faim.
— On va aller au village déjeuner chez Émile et ensuite au centre de santé Anabelle : Massage, manucure, Spa dans la rivière, soins de la peau et ensuite on file au cap a l’aigle dîner dans un restaurent 5 étoiles au bord de la mer et après…
— OK ! OK ! Ouf, je suis déjà épuisé même si j’en ai l’eau a la bouche ma belle. Mais là, ton beau grand corps vas être a moi pour une heure ma jolie. Tu vas être ma petite esclave.
— Oh, fit-elle tout sourire en plissant les yeux. Et tu veux que je fasse quoi pour commencer ?
— Commence par la vaisselle pendant que je me douche…

J’eus droit à une jolie grimace.

Retour a la galerie d’art

Deux heures plus tard Luce ronflait dans le lit me tournant le dos. La soirée d’hier l’avait épuisé ainsi que la baise de toute a l’heure et moi aussi. On avait remis à demain ce qu’elle avait prévu pour la journée. Tant mieux car j’avais vraiment mal partout. Étendu sur le dos jambes croiser je pensais a la propriétaire de la galerie et au baiser que l’on c’était donner hier soir et je mourrais d’envie de la voir. Comme je n’avais pas son numéro je décider d’aller faire un tour au village. Mais avant je me fis a déjeuné, ensuite j’ouvris mon téléphone a la cuisine pour voir le dernier film de Marie. Elle s’était masturbée dans sa voiture garer dans le stationnement d’un centre commercial bondé. Wow ! Je lui envoyer un texto pour lui expliquer que je ne rentrerais pas avant quelques jours. Elle me répondit aussitôt qu’elle avait vue ça aux informations, tous les dégâts causer par la pluie et sen doutaient. On se promit de se réexpédier d’autres petits films entre temps.

Je me fis belle et comme il faisait chaud et humide j’enfilai seulement une camisole noire et un jean et prit la route boueuse me remémorant notre baise sous la pluie. Ça, ça resterait marquer dans ma mémoire pour toujours. Je me sentais anxieuse en conduisant lentement dans la brume qui s’éclaircissait peut a peut, fébrile, nerveuse, un peut comme si j’allais faire un mauvais coup mais en même temps très exciter a l’idée de retrouver la proprio de la galerie en espérant qu’elle soit la et seul. À froid, sans alcool, je me préparais à baiser avec une autre femme, si elle le pouvait ce matin. Je n’en revenais pas de tout ce qui m’arrivait depuis que j’avais rencontré Luce.

Je me garer devant la galerie d’art pour apercevoir un écriteau dans la porte indiquant que c’était fermer. Déçut je regarder le ciel gris, de gros nuages noirs approchaient venant de la mer. Il allait pleuvoir encore. Je regarder la fenêtre que j’avais cassée a l’arrière de mon 4×4. Heureusement, Luce l’avait bouché avec un carton cirer et du ruban adhésif.

Je sursauter quand on frappa a ma fenêtre, en tournant la tête j’aperçus la propriétaire de la galerie qui me souriait. À peine maquille portant la même chose qu’hier. Je baisser ma fenêtre en sentant mon coeur accélérer. Son parfum délicat me sauta au nez.

— Salut, fit-elle tout sourire, quelle belle surprise. Vous m’attendez depuis longtemps ?
— Non, je viens d’arriver.
— Super, venez.

Nerveuse, je sortis du 4×4, barré les portière, mit l’antivol et je la suivis a l’intérieur. Elle referma derrière nous et plongea ses yeux magnifiques dans les miens en disant :

— J’ai pensé à vous toute la nuit Julie. Allons au dessus, dit-elle en pointant le plafond du doigt, on y sera tranquille, c’est là que je passe le temps en attendant les clients.

Un désir violent me submergea en la suivant, ce fut comme un coup de poing dans mon bas ventre. Jamais je n’avais ressenti ça pour une autre femme, même que, jamais je n’aurais cru ressentir du désir pour une fille surtout a 50 ans il y a quelques jours seulement. Je n’en revenais pas de tout ce qui m’arrivait, de ses changements dans ma vie, ma nouvelle vie de célibataire. J’observais ce petit bout de femme de mon âge tout en rondeur qui marchait avec assurance devant moi en réalisant pleinement ce que je me préparais à faire avec elle. Ses longs cheveux bruns tombaient sur ses épaules et son tailleur cachait ses fesses, elle était élégante pour une femme avec de telles rondeurs. Rondeur qui se situait surtout au niveau de sa poitrine démesurée tout comme ma meilleure amie. Mais ce n’était pas ses seins qui m’excitaient, mais l’idée qu’on allait se dénuder et se caresser entre femmes.

On franchit une porte sur laquelle un écriteau indiquait que l’endroit était priver et on grimpa un escalier étroit pour se retrouver dans un minuscule studio au dessus de la galerie juste sous le toit. Un coin-cuisine et un coin salon avec une télé, un sofa et un grand tapis perçant au centre de la pièce. À peine entrée elle commença à se dévêtir en me regardant en posant ses vêtements sur une table ronde. Je l’imiter silencieuse en sentant mon coeur accélérer. Une grande fenêtre derrière elle donnait sur la mer par dessus les toits des maisons environnantes et j’aperçus des éclairs au loin en me débarrassant de la camisole et de mon soutien-gorge. Mes seins tombèrent pour rouler sur mon ventre, ce qui me fit rougir car elle les regarda en souriant. Elle avait enlevé sa blouse et son énorme soutien-gorge en dentelle blanche et ses seins ballon, pendait en remuant au moindre mouvement tandis qu’elle se débarrassait de ses chaussures, de son pantalon et de son slip blanc. J’enlevai, sandale, jean et slip a mon tour.

Une fois nue toutes les deux je me sentis un peut embarrasser et vulnérable tout en admirant ses rondeurs superbes tandis qu’elle m’examinait également. Je mouillais déjà en sentant mon coeur accélérer. Ses mamelons avaient les pointes rentrer par en dedans tout comme sur l’illustration d’elle en bas dans la salle d’exposition et elle avait une magnifique toison en triangle très fournie. Sa peau était blanche et lisse et je salivais d’envie de la toucher et de me faire toucher.

— Vous êtes superbe, me dit-elle en s’approchant lentement ce qui fit rouler sa poitrine sur son ventre rond au nombril creux. Je me mis a salivé, les yeux déjà tout petits.
— Vous aussi. Dit-je la vois enrouer, me sentant de plus en plus troubler et exciter par son corps nu. La toison presque noire se démarquait nettement de la blancheur de sa peau de lait.

Tout comme hier elle m’enlaça, mentons en l’air et je frémis aussitôt que ses mains se posèrent sur mes hanches en sentant ses gros seins écraser les miens. C’était très agréable, excitant au possible de sentir son corps nu contre le mien et sa peau si douce sous mes doigts. Son odeur parfumée surtout, c’était enivrant, envoûtant. Je la serrer très fort, presque a lui faire craquer les vertèbres tellement j’adorais la sentir dans mes bars. Puis, je lui avouer que c’était une première pour moi avec une autre femme tandis qu’on se caressait les reins puis les fesses en se regardant droit dans les yeux. Tout me semblait démesuré chez elle tellement j’étais habitué au corps svelte de Luce pourtant elle n’était pas si grosse, juste ronde, sauf sa poitrine évidemment.

— Et c’est moi la chanceuse, dit-elle tout sourire. Pas de problème Julie laisser moi faire, moi je suis une lesbienne pure et dure.
— C’est vrai ?
— Absolument.
— Et Luce, demandai-je moqueuse en souriant la sentant palper mes fesses, avec plus de vigueur, ce qui me donna de sacrés frissons en plus de sentir mes mamelons gonfler contre ses seins.
— Oh ! La belle Luce, c’est bien la seule bite que je tolère en moi. Venez, dit-elle en me prenant la main. Allons nous asseoir.

Une fois sur le sofa, assise l’une contre l’autre on se regarda un instant sans rien dire puis elle posa un bras sur mes épaules et on se frencha longuement et avec vigueur laissant nos mains parcourir nos corps et mon coeur s’emballa. Je fermer les yeux un instant pour mieux tout ressentir tandis que nos langues pointues s’agitaient l’une contre l’autre. On se pressait les seins, les mamelons durcit et c’était fantastique. C’était si doux, si sensuel que je n’aurais voulu manquer ça pour rien au monde. Ses seins étaient si lourds que quand j’en soulevais un ma main disparaissait en dessous. J’imaginai un instant qu’elle était Marie, que c’était sa langue que j’avais dans ma bouche et sa main délicate qui me pressait la poitrine comme seule une femme peut le faire et cela me fit mouiller plus.

Un vent violent se leva faisant craquer la vieille maison et une forte pluie s’abattit tout à coup sur les fenêtres et le toit. Sa langue quitta ma bouche pour descendre sur ma gorge et ça me chatouilla agréablement. Elle me donna des baisers chatouille jusqu’a mes seins quelle souleva pour m’en sucer les bouts, l’un après l’autre tandis que je lui caressais le dos. Ses lèvres délicates et le bout de sa langue sur mes mamelons m’arrachèrent quelques grimaces de plaisir. Je me mis à gémir doucement à cause du plaisir que je ressentais mais aussi pour bien lui faire comprendre que j’appréciais. Au bout d’un moment, sa main lâcha ma poitrine pour descendre sur mon ventre, mon pubis complètement raser, puis ma vulve déjà gonflée et humide, mes cuisses s’ouvrirent toutes seules. Elle me la pressa plusieurs fois avec son pouce et son index et ça m’électrisa. On ne m’avait jamais fait ça. C’était si différent des caresses d’un homme, moins brutal, encore plus doux que les caresses de Luce. Mon bas ventre était en feux.

Ma main droite délaissa ses seins pour glisser dans sa toison friser. Je laisser mes doigts y folâtrer un moment parce que ça mes les chatouillaient avant de les poser sur sa fente, humide également que je frotter un doigt en avant comme elle me le faisait a présent. Sur le coup je fus un peut déçut de ne pas sentir une belle bite bander dur entre ses cuisses ouvertes mais cela s’estompa rapidement. J’avais un peut l’impression de caresser mon sexe mais sans rien ressentir. Puis, elle glissa lentement un doigt dans mon vagin jusqu’à la jointure en me forçant à m’étendre sur le sofa. Je le fis docilement en soulevant une jambe pour la poser sur le dossier tout en m’agrippant les seins pour me les caresser et amener mes mamelons sensibles a ma bouche. Elle glissa un cousin sous mes fesses pour avoir un meilleur accès à mon sexe.

Je planais déjà juste à sentir son doigt s’agiter en moi. Elle prit un temps fou a m’embrasser et me lécher l’intérieur des cuisses et le mont de vénus tout en me pénétrant lentement avant de s’attaquer a ma vulve ouverte et gonfler avec sa bouche. Elle me titilla les lèvres vaginales avec la langue, avant de me lécher la fente sans sortir son doigt de mon vagin. Je me plaignais déjà en savourant chaque seconde de ce cunnilingus féminin. Je mouillais en abondance surtout quand le bout de sa langue s’approcha de mon petit bouton durci. Quand sa bouche se referma sur mon pauvre clitoris bander dur qu’elle agaça délicatement du bout de la langue en le suçant tout mon corps se raidit. Mes orteils se replièrent tandis que je me plaignais plus fort à cause du délicieux traitement qu’elle m’infligeait. Je planais en m’abandonnant complètement à cette femme.

Quand sa langue agile remplaça son doigt dans mon vagin détremper je crus m’évanouir tant c’était bon. Elle était chaude, humide et s’agitait et ses cheveux me chatouillaient les cuisses. Ma tête allait de gauche à droite tandis que je me mordillais les mamelons rajoutant à mon plaisir. Elle passa du vagin au clito, puis encore le vagin et l’anus. Sa petite langue pointue me l’agaça tellement que ça me coupa le souffle et que je faillis jouir en me tortillant. Je lâcher mes seins pour lui caresser la tête. C’était fantastique, j’en frémissais de partout en me lamentant de plus en plus fort. Elle m’amena rapidement à l’orgasme en me mangeant le sexe goulûment avec passion tout en titillant le clito avec les doigts et l’anus. Je me tordis de plaisir le corps parcouru de spasmes et de frissons. Tandis que l’orage s’abattait à nouveau sur le village, mon coeur cognait et je manquais de souffle en jouissant. Et elle continua…

Deux orgasmes plus tard je lui dis d’arrêter car je n’en pouvais plus, mais j’avais surtout envie de lui rendre la politesse ce qu’elle accepta avec grand plaisir. Elle s’étendit sur le dos a son tour en passa ses petites mains sous ses genoux pour les rabattre sur sa poitrine m’offrant sa fente et son anus rose et plisser sans pudeur. Des que j’approchai mon visage de son sexe odorant et luisant je me rendis compte que c’était la première fois de ma vie que je voyais une vulve de si prêt. Ses grandes lèvres roses étaient ouvertes comme les ailes d’un papillon, je distinguais également les petites très pâles, l’urètre et l’entrée du vagin et cela m’excita au plus haut point. Me laissant guider par mon instinct je lui sucer l’une après l’autre les lèvres au goût salé avant de titiller son petit clitoris du bout de la langue en la sentant frémir puis je lui enfoncer dans le vagin chaud et humide et l’agiter tout en caressant anus et clitoris avec mes doigts comme elle me l’avait fait. Quand je levais les yeux en lui mangeant le sexe je ne voyais que sa toison fournie qui me chatouillait le bout du nez et le dessous de ses énormes seins. J’adorais le goût saler de sa cyprine qui me faisait saliver. L’anus aussi goûtait saler et il était si étroit que j’eus un peut de peine a y pousser la langue tout en la fourrant dans le vagin a deux doigts l’entendant gémir malgré la pluie qui martelait le toit. Elle finit par ce tordre elle aussi en repliant ses petits orteils et au bout d’un long moment, comme j’avais mal a la nuque je me redresser en m’essuyant la bouche. Je n’avais plus de souffle et mal à la langue et je savais bien que je l’avais fait jouir car quand elle se redressa, alanguie, les yeux brumeux, elle était rouge jusqu’aux seins.

— Ouf, fit-elle en se frottant le sexe, pour une première Julie, c’était… wow ! Ça vous a plus ?

Je rougis en souriant, embarrasser en me léchant les lèvres en avouant que oui.

— Super, vous n’êtes pas pressé ?
— Non, et je pense qu’on peut se tutoyer maintenant.

Une heure plus tard on recommençait mais cette fois étendue par terre en 69 sur le tapis persan et ce fut délirant, fantastique. Quand je rentrer a la roulotte épuiser mais heureuse de ma première vraie expérience avec une femme je me tapis contre Luce qui dormait toujours. Je n’avais même pas séché mes cheveux tremper par la pluie et je me sentais si heureuse que j’en verser quelques larmes…

Quatre jours plus tard, dans le grand lit de mon loft à Montréal, j’étais en train de manger le sexe de ma meilleure amie, un doigt enfoncer entre ses fesses quand elle dit entre deux gémissements…

— Oufff… seigneur Marie… T’es sûr que t’as jamais fait ça… Cochonne !!!

Fin

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