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Julie ou Julien (15)

Babes

Julie ou Julien (15)Une douce et agréable sensation me sort de mon sommeil. C’est la chaleur, l’humidité et la gourmandise d’une bouche, tétant ma queue réveillée avant moi. La place à côté de moi est vide, et en soulevant le drap c’est bien le tendre minois que je trouve. Lâchant ma queue un court instant, et de son plus beau sourire- Bonjour Maître, votre réveil a sonné, je me suis dit qu’il vous serait plus agréable d’être réveillé ainsi plutôtPour toute réponse, je relâche le drap et m’allonge, profitant pleinement de ce moment. je sens malgré tout que ma queue est un peu irritée, les baises nombreuses du Weekend m’ont épuisé et un peu usé la queue. La douceur de la bouche de Julie a toutefois un effet apaisant. Je ne souhaite par contre pas me vider de suite et interrompt Julie, et me lève- Suis moiJe me dirige vers les toilettes et pointant du menton les abords du WC j’indique à Julie où elle doit se placer. en position, je pointe ma queue vers la cuvette alors que Julie s’en approche. Je me soulage, en grande partie dans sa bouche, que je vois déglutir, en partie dans la cuvette.- Tu aimes la tisane au petit déjeuner ?- J’aime ce qui vient de vous simplement, me répond-elle timidement- Bien, je vais me doucher, prépare du café et mon petit déjeunerSous la douche, les nombreuses images du weekend me passent en tête, c’est donc forcément avec la queue raide, une fois séché, nu, que je me rend à la cuisine. Julie ne peut s’empêcher de regarder ma bite en se léchant les lèvres. Le café est prêt et je vois qu’elle a fait griller du pain qu’elle s’apprêtait à tartiner. Je prends place à la table, Julie me ramène mes tartines et naturellement vient se placer sous la table, entre mes cuisses, et déguste ma queue, en douceur. Voilà ce que j’appelle bien démarrer une journée. Au milieu de mon repas, on toque, discrètement, à la porte d’entrée.- Vas voir ce que c’estJulie sors de sous la table et va voir à la porte d’entrée, j’entends la porte s’ouvrir et se refermer. Arrive Julie à nouveau suivit d’un bruit de talons. Julie reprends sa place et son ouvrage sous la table tandis qu’entre Isabelle. Je réalise en la voyant que durant les mois où j’ai habité ici, bien qu’ayant remarqué qu’elle était potable, je ne m’étais pas vraiment rendu compte à quel point elle est canon. Elle porte une tenue, certes cliché de son métier de directrice commerciale, mais on sent que son corps entier appel le désir, et ça je crois que c’est nouveau. Sa jupe de tailleur, d’une matière qui semble satinée, beige, ne lui recouvre que la moitié des cuisses. Surmonté d’un chemisier blanc, si peu opaque que la dentelle de sons soutien-gorge est visible, tout comme ses tétons érigés. Largement décolleté, il offre une vue plongeante sur la naissance de sa poitrine ferme et généreuse. Ses pieds sont chaussés d’escarpins aux talons vertigineux. Je suspect qu’ils dépassent les douze centimètre. Le tout lui donne une allure dynamique, classe et sexy. sa coiffure, tirée en chignon, en complément de son maquillage, rendent son visage sévère. Connaissant dorénavant sa personnalité profonde, je suis certain qu’en affaire, c’est elle qui mène les débats, tant par sa fermeté que par les atouts qu’elle peut mettre en valeur grâce à son corps. Sa façon de s’avancer vers moi, de se mettre en valeur face à moi, tout en gardant le regard baissé me laisse penser qu’elle attend mon approbation, que je lui donne succinctement- BienPuis je retourne à mon petit déjeuner. Je vois du coin de l’œil Isabelle déposer son sac à main sur une chaise puis se placer à genoux à mes côtés et attendre. Je continu un moment mon petit déjeuner puis- Tu voulais quelque chose ?- Vous m’avez demandé de passer vous voir, donc me voilà- Bien, comment va la lopette ?- Selon vos instructions je l’ai sodomisé une bonne partie de la nuit, jusqu’à ce que je sois totalement épuisée- Bien. Tu as jouis ?- Oui Maître, à plusieurs reprise- Et elle ?- Aussi, Pierre m’a avoué au bout d’un moment avoir aimé sa première fois avec une vraie bite. Il semble préférer la chaire au plastique- hahaha, trop drôle, mais pas surprenant- Maître ?- Oui ?- Je.. j’ai ramené à Julie son trousseau de clé de l’appartement. Je vous ais également ramené un double, si vous le souhaitezje la regarde fouiller dans son sac et en sortir le clés- pose ça sur la tableAlors qu’elle se lève légèrement pour poser les clés, j’en profites pour retrousser sa jupe. Je constate que je n’avais pas remarqué qu’elle porte également des bas, d’une couleur très translucide et donc presque invisible au premier regard. Les bas sont fixé à un porte jarretelles très raffiné, et qui trône sous sa jupe, seul, Isabelle ne porte pas de dessous. Je vois Isabelle sourire à mon air de satisfaction.- tu apprends vite- vous êtes un bon Maître- Julie, fait de la place à mamanJulie s’écarte un peu, laissant Isabelle atteindre ma queue, qu’elle embouche immédiatement, dans toute sa longueur. Tout comme Julie, sa pipe se veut gourmande et sensuelle. Je reçois à ce moment un SMS, m’annonçant simplement ”je suis prête”. Je me lève alors et vais récupérer mon PC et reviens m’assoir. Une fois démarré j’appelle Sophie qui vient de m’écrire- Bonjour Maitre- Bonjour salopeTout en lui parlant, je vois sur mon PC, par le biais de la caméra que je lui ai donné et fait installé dans son studio qu’une partie de mes instructions a été respectées. La caméra est positionnée de sorte à ce que j’ai une vue complète sur l’unique pièce, en dehors de la salle d’eau, de son logement. Sophie est-elle, nue, à genoux, cuisses largement écartées, face à la caméra- Tu as passé une bonne nuit ?- Oui, merci, je dois vous avouer que j’étais épuisée de ce weekend en votre compagnie. La ceinture m’a un peu gênée, mais je m’y suis habituée ensuite.- bien, es-tu propre ?- Oui, toilette complète maître- Es-tu pleine ?- OuiJe la vois alors se placer à quatre pattes puis se tourner pour me montrer qu’en effet son rosebud est en place dans son anus.- Bien. habille toi.Pour tout vêtement, je la vois prendre une robe au motif noir et blanc. Une fois enfilée, l’échancrure du haut plonge à mon gout au creux de ses petits seins. Le bas ne dépasse pas le haut de ses cuisses. Elle saisit une paire de sandales à talon qu’elle enfile avant de se repositionner à genoux.- Bien. Tu te rappel de tes consignes ?- Oui Maître- BienJe termine mon petit déjeuner, ma queue allant de la bouche de Julie à celle d’Isabelle, jetant un œil occasionnel à Sophie. L’heure défile, il faut que je me hâte un peu. Je me lève et place ma queue devant la dernière tartine- levez-vous, et préparez votre petit déjeunerDebout, elles comprennent mes attentes, et chacune d’une main saisissent ma queue et me masturbe, me faisant gicler sur le pain.- Bon appétitJulie étale ma crème sur le pain et partage en deux part égale, dont elle tend une à sa mère. Toutes deux mangent avec appétit leur part.- Merci- Bon, Isabelle, approchesJe lui donne à l’oreille un certain nombres de consignes.- Maintenant va retoucher ta tenue et va travaillerUn peu déçue, peut être espérait-elle avoir son petit plaisir aussi, elle se dirige vers la salle de bain.Je vais m’habiller, laissant Julie s’occuper du rangement. Lorsque je reviens, Isabelle est rafraichie, et Julie à l’œuvre dans la cuisine. Je mange la bouche d’Isabelle avant de la laisser partir, elle semblait attendre ça aussi. Je prends un moment pour rappeler mes consignes à Julie puis quitte l’appartement.Sur la route du boulot je repense à ces derniers joursJulie, qui il a quelques jours se nommait encore Julie, est passé d’ado en quête de lui à femelle soumise et docile, et folle amoureuse de moi au passage. En très peu de temps, je lui ai fait découvrir, mais surtout accepter et revendiquer la féminité qu’elle porte en elle.Sophie, la sœur de Julie, qui nous a surpris lors d’une de nos première baise, s’est avérée être une véritable salope, amatrice de queue et au final toute aussi docile que Julie.Isabelle, mère de mes deux petites salopes, et pas moins salope que ses filles, ni moins bouffeuse de bite, et de chatte depuis peu. En fouillant leur appart, j’avais supposé qu’elle avait une relation dominante avec son mari, je ne me suis pas trompé.Pierre, le fameux mari, lopette plein pot, n’a pas utilisé sa bite depuis qu’il a avoué à Isabelle l’avoir trompé, il y a 18 ans ! Depuis, seul son cul lui sert. Jusqu’à mon arrivé, c’était à coup de god, depuis il a gouté à la bite et semble en redemander !Ha et Sandra, la petite cochonne croisée en boite, sautée sur place, puis re croisée et re sautée dans une cabine d’essayage…J’ai pas pour habitude d’avoir un tableau de chasse qui se remplit à ce rythme, ma bite un peu engourdie me le rappel. Mais, cette occasion unique est à ne pas laisser filer. Mes divers plans culs passés sont un détail avec les opportunités qui s’offrent à moi à présent. Il me faut capitaliser, vite et fort sur ces trois petites.J’arrive au boulot avec une liste de tâches liées à mes salopes en tête. Mon statut de cadre me permet largement de traiter tout ça parallèle de ma journée, et après une longue journée, passée en partie au téléphone pour faire fructifier mon opportunité, je rentre chez moi. Avant de quitter le boulot j’ai prévenu Julie de mon arrivée afin que tout soit synchronisé à mon arrivée.J’ouvre la porte et j’ai la réjouissance et la surprise de trouver Julie, dans la position demandée certes, à savoir à genoux, en attente, mais en plus dans une tenue qui me surprend énormément. En effet, je la trouve vêtue d’une robe en cuir lustrée, tenue type du thème SM. Totalement fermé sur le haut, arrivant juste sous les fesses. Un zip sur l’avant permet à qui le souhaite de visiter dessous. Elle s’est équipée d’un gagball, solidement serré, et verrouillé par un cadenas dont je suppose la clé se trouve au sol devant elle parmi d’autres. Aux pieds, ce sont des cuissardes lui remontant presque jusqu’à l’aine, aux talons vertigineux, métalliques, presque des poney shoes. Ses chevilles et ses poignets sont entravés de menottes, dont là aussi je pense trouvé les clés devant elle. Je suis vraiment stupéfait face à son audace couplée à sa servitude totale. Cette bascule qu’elle a effectuée de manière si radicale et spontanée. Je vois malgré sons gagball, à son sourire, qu’elle est satisfaite de l’effet, car je ne peux cacher le sourire que moi-même j’affiche. Je me ressaisis, et finalement, rentre dans l’appartement, passe à côté d’elle en l’ignorant. Je fais le tour de l’appart pour en vérifier l’état. La cuisine brille, est en ordre. Le frigo est plein, des casseroles sont sur le gaz, à priori pleines. Salon, salle à manger, rangés, nettoyés. Direction la salle de bain, idem, elle scintille. Chambre, impeccable. Je retourne voir Julie- Quelle est la clé du gagball ?Elle se penche et montre du bout de son nez un clé, que je ramasse. Je l’att**** par la sangle de sons gagball et la traine à côté de moi vers les WC. J’ouvre le cadenas et lui retire.- Est-ce que c’est propre également ?Pour toute réponse, elle soulevé l’abatant et passe sa langue sur le rebord de la cuvette, puis vers le fond. Elle se redresse et baisse simplement la tête.- Bien, j’aime les élèves qui apprennent vite. Rejoins moi au salon.Je la laisse sur place, n’ayant pas le temps de la voir se trainer, puisqu’entraver comme elle est elle ne peut se déplacer vite. Je m’installe dans un fauteuil et l’attend. Lorsqu’elle arrive péniblement à mes pieds- Qu’as tu fais de ta journée alors ?- Maître, j’ai réalisée chacune de vos demandes. J’ai commencé par faire la vaisselle. J’ai ensuite récuré toute la cuisine en profondeur, j’ai passé l’aspirateur dans le salon et la salle à manger puis la serpillère. J’ai ensuite mis de l’ordre dans la chambre, notamment tuzla escort mes affaires que j’ai eu l’insolence de laisser en désordre, fais le lit. Je me suis ensuite attaquée à la salle de bain, récurage, serpillère aussi. Je me suis ensuite attaquée au carreaux. J’ai ensuite été chez mère, vérifier, selon votre souhait, l’état de la lopette. ensuite, équipée du strapon, comme vous l’avez exigé, je l’ai sodomisé trente minutes. J’aimerais précisé qu’il vous remercie pour cela. J’ai ensuite fait ma toilette, complète, intérieure et extérieure tout en corrigeant ma pilosité. N’ayant pas eu de consignes particulières quant à ma tenue, je n’ai pas pris la liberté de choisir et ai donc opté pour la tenue que vous aviez approuvée hier. Je me suis ensuite rendu au supermarché faire les courses que j’ai pris la liberté de payer avec la carte de la lopette. Je suis passé à la boutique récupérer les paquets que nous avions laissés. Ha, j’y pense, le livreur de la lingerie a dû passer, mais comme il n’y avait personne il n’a laissé qu’un avis de passage. Après les paquet, je me suis permise une liberté que j’espère vous per pardonnerez. Vous m’aviez autorisé de faire des achats, mais j’ai choisis de vous offrir la tenue que je porte actuellement. J’ai pour cela du me rendre dans un sexshop. J’ai donc acheté cette tenue, ainsi que d’autres qu’il vous sera libre de voir à votre bon vouloir. J’ai également acheté divers accessoires, dont les menottes que je porte ainsi que le bâillon, que j’espère il vous fera plaisir d’user sur moi à votre gré. De retour, j’ai été chez mère faire du rangement comme vous le souhaité également. Ceci fait, je suis revenue ici, me suis rafraichie, intérieur et extérieur à votre attention, puis je me suis mise ne tenue et en position. Cela fait environs une heure que je vous attends.- Bien, je suis fier de toi ma poupée- Merci Maître, vous satisfaire est mon plus grand plaisir- Viens par làLa saisissant, le la guide sur me genoux, sur le ventre, face vers le sol, mains liées dans le dos. je remarque alors autre chose- Mais dit moi, qu’est-ce que je vois là ?- C’est un des accessoires que j’ai pris la liberté d’acheterDu fait de sa position, je n’avais pas remarqué qu’elle porte un plug anal surmonté d’une queue en fines lanières de cuir.- Aurais-tu eu une sensation de vide aujourd’hui ? un manque ?- Le plus gros manque a été votre présence, autant en moi que près de moi- Petite salope va- MerciJe lui retire alors ce plug et viens occuper la place avec deux doigts, ce qui fait immédiatement gémir Julie de contentement- Hummm- Tu aimes ça ?- J’aime ce qui vient de vousJe mets alors à lui doigter profondément le cul. Cette salope mouille vraiment du cul, naturellement, ce qui aime le passage de mes doigts et les changements de rythmes.- Tu dois savoir que j’ai consacré une partie de ma journée pour toi. Comme je te l’ai dit, j’ai de nombreux projets pour toi. Pour commencer je t’ai souscrit un abonnement en salle de sport. J’exige que tu t’entretienne physiquement, que tu sculpte ton corps. Un coach te dispenseras les conseils ou courts nécessaires. Ensuite, et ça a nécessité que je fasse appel à plusieurs relations, j’ai fait le nécessaire pour que tu intègres une école et que tu obtienne un diplôme. ca n’est pour commencer rien d’extraordinaire, mais à partir de la semaine prochaine tu débute un apprentissage dans la vente, spécialité prêt à porter. Par ce biais tu vas être en immersion dans un univers essentiellement féminin. Je veux que tu cultive et développe ta personnalité de jeune femelle. Tu seras un peu plus âgée que tes camarades ce qui fait que tu devras t’imprégner de leur esprit et attitude d’adolescente. Je t’ai trouvé un employeur, une personne qui me devait un service. Une boutique de prêt à porter féminin. L’échec ne sera pas toléré bien entendu. tu auras enfin, deux fois par semaine des court de savoir être. Je tiens à ce que tu sache, au besoin, te comporter en société un peu plus… classe on va dire. Je prévois de t’avoir occasionnellement à mes côtés dans des réceptions ou ta fraicheur et ta beauté naissante sauront faire sensations et me faire briller.- merci Maître, merci mille fois pour votre attention..; Mais… serais-je accepté telle que je suis dans cette école ? je veux dire… je ne suis qu’une femelle, pas une femme…- Administrativement tout est arrangé. A toi de faire le nécessaire pour donner le change. Mais la femelle que tu es ne m’inquiète pas.- Bien, je ferais en sorte de vous rendre fier de moi- Tu n’as pas le choixJe retire alors me doigts de son cul, la fais glisser à terre entre mes jambes, ouvre ma braguette, sors ma queue a semi-bandée et lui la tends. Elle vient commencer par me déposer de petits bisous, sur toute la longueur, sur le gland. Je baisse et retire mon pantalon, et aussitôt, c’est sur mes couilles que se posent ses douces lèvres. Puis c’est de sa langue humide qu’elle vient flatter ma queue, avec tendresse et passion. Mon gland finit par passer entre ses lèvres. Et c’est de sons regard bas tourné vers moi, qu’elle la fait glisser entière jusqu’au fond de sa gorge, pour ensuite démarrer un lente succion. Elle est réellement une experte de la pipe, sa langue sait caresser les parties qu’il faut, la pression qu’elle met, qu’elle varie pour me faire monter sans me faire partir. Elle s’applique de son mieux. Pendant ce doux moment je saisis mon téléphone. Isabelle et Sophie avait pour obligation de photographier leur chatte plusieurs fois dans la journée, de préférence à chaque lieu différents qu’elle fréquentait. Pour Sophie, la première photo est prise dans le bus, puis dans le hall de son université, puis dans une salle de classe, puis dans un amphi. Je passent d’autres photos liées à d’autres demandes. Isabelle quant à elle a pris sa première photo à son bureau, assise sur son bureau, jupe relevée. sur la seconde, elle est sur son fauteuil de bureau, un stylo glissé dans sa chatte qui brille d’humidité. Sur la suivante on voit une femme, écrire avec ce même stylo, elle me fait savoir qu’il s’agit de son assistante (plutôt mignonne au passage). Une photo prise dans un couloir, une dans les WC, une dans une salle de réunion. Je montre certaines de ces photos à Julie, qui semble satisfaite de voir sa mère et sa sœur obéissante. Chaque photo la fait sourire- Tu sembles commencer à aimer voir des chattes on dirait, j’ai aussi eu l’impression que tu aimais en manger ce weekendLâchant ma queue- Maître, votre queue est le seul sexe qui me plait. Tous les autres me plaisent uniquement parce que je sais que ça vous satisfait. Je devine votre satisfaction à avoir asservie ma sœur et mère et vous savoir satisfait me comble de joie. Tout comme lécher une chatte, j’aime car que je le fasse vous fait plaisir.- Bien, toute façon que tu aimes ou pas, j’attends juste que tu fasse ce que je te ditJe la pousse alors fortement, la faisant basculer au sol. je me redresse et la tourne face contre terre, lui saisit le bassin pour relever son cul, tendu. Je pointe ma queue face à son anus détendu et humide et l’enfonce d’une traite, lui faisant pousser un long râle de plaisir- Hier soir je t’ai fait l’amour. Là j’ai envie de te baiser, de te défoncer. Tu t’es fringuée comme une pute, je vais te traiter comme telle.Je démarre alors un pistonnage sec et ferme, venant faire claquer mes couilles à chaque coup contre son cul. telle une machine, je lui ramone le cul sans retenue en la tenant par les coudes, ses mains étant toujours menottées dans son dos. Ses cris sont des mélanges de plaisir et de douleur, je sais que j’y vais un peu fort, c’est le but. je me mets alors à lui fesser le cul, gauche, droite, gauche, droite, à pleine main, sans trop retenir mes coups. Là, ses râles se changent vraiment en douleur, son cul devient rapidement rouge écarlate. Je continu de lui labourer le fion et lui faire rougir le cul. c’est sous mes coups de butoirs et mes fessées appuyées qu’elle finit par jouir bruyamment, entre douleur et plaisir. et s’effondre au sol. N’en n’ayant pas terminé avec elle, je la place sur le dos, et en position 69, vient lui coller ma queue dans la bouche. Je démarre alors un brutal face fuck. tout en gardant ma queue dans sa bouche, je pose mon cul sur son visage, ou vient frotter mon anus sur son nez, pour mieux me replonger au fond d’elle, la poussant au bord du vomissement à plusieurs reprises. Je finis par lâcher la sauce, tapant ses amygdales de mes jets. Quand je me relève, son maquillage a totalement coulé, de la bave coule de ses lèvres, elle pleure- Pourquoi tu pleures ?- Je ne vous ai pas satisfait ? me demande t elle entre deux reniflement- Pourquoi tu me demande ça ?- Votre traitement, pourquoi j’ai été punie ?- Punie ? tu trouves que tu as été punie ? tu n’as peut être pas jouie ?- Je… j’ai… oui.. je… oui, très fort…- Et donc ?- je…c’était…bon…- Et donc ?- Merci MaitreJe la laisse au sol, entre sanglots et jouissance et vais m’installer dans le canapé. Je prends mon PC le démarre et lance le visionnage de la caméra de chez Sophie, prends mon téléphone et appelle Sophie. Elle répond quasi instantanément. Comme je le lui ait demandé, elle est nue, à l’exception de sa ceinture, dans son studio.- Bonjour petite salope- Bonjour Maître- je suis content de toi, pour le moment tu as respecté mes exigences, pour un premier jour c’est un bon début- Merci- Qu’en est-il de mes autres demandes ?Parmi mes consignes, j’avais missionnée Sophie pour qu’elle parte en chasse. Son objectif étant de trouver dans les plus bref délai au minimum un homme et une femme, de s’en rapprocher autant que possible afin de les avoir dans lit. Pour ne pas lui faciliter la tâche je lui avais interdit de choisir, notamment parmi les hommes, des personnes qui lui aurait déjà courues après. J’avais également émis des critères ethniques à mes exigences. Pour les hommes, je l’ai orienté vers des black, pour lui garantir un gabarit de bite. Pour les femmes, répondant à mes propres plaisir je souhaitais qu’elle chasse parmi les black aussi, ou asiatiques. Je lui avais donc demandé de faire des photos de ses potentielles cibles et de me les envoyer.- Comme vous me l’avez demandé, je vous ai envoyé des photos des personnes que je comptes tenter. Mon choix est à votre gout ?- Pour les mecs je m’en tape un peu, je te rappel que l’objectif est juste qu’il ait de quoi t’élargir le cul- Bien- Pour les filles, oui elles me plaisent. j’ai une préférence pour la première asiatique et pour la troisième black. As-tu déjà tâté le terrain ?- J’ai un peu discuté avec Marie, la chinoise. Elle est sympa, mais pas farouche… faudra que je tâte plus le terrain. Soraya la black il y aura peut-être plus de chance. J’ai cru entendre qu’elle a déjà une petite réputation…- Et les gars ?- Je pense que j’aurais pas à faire grand-chose pour avoir ce que je veux d’eux- Ce que tu veux ?- Heu, pardon, ce que vous voulez- fait le nécessaire pour demain soir- Bien- tiens, regarde ta sœurJe passe alors en visio sur le téléphone pour qu’elle puisse voir Julie, toujours couchée au sol, semi-comateuse, menottée- Ho… mais quelle tenue de salope !- Je dirais de pute plutôt, mais oui- Il lui arrive quoi ?- Elle découvre son rang, l’apprentissage n’est pas toujours facile.Je pousse Julie du pieds pour la mettre à plat ventre et relève le bas de sa robe pour montrer son cul encore rouge écarlate- Regarde ce qui l’a fait jouir- ouille…- tu as été acheté ce que je t’ai demandé ?- oui…Elle prend alors un sac posé près d’elle. Comme je le lui ait demandé, elle s’est rendue dans le sexshop le plus proche de son université pour acheter quelques accessoires. Le choix de la proximité était pour augmenter les chances qu’elle sancaktepe escort y soit vue. Dans la liste d’achats étaient inclus un god ventouse de calibre minimum de 6 cm de diamètre, des pinces à tétons, un plug gonflant, un œuf vibrant (j’ai beaucoup aimé jouer avec Isabelle et son œuf ce week-end), du lubrifiant, des capotes. Elle déballe les objets et les aligne sur la table devant elle. De ce que je vois les consignes ont été respectées. Il y a un avantage à ce que ses parents gagnent bien leur vie, c’est qu’elle n’a pas de limite de budget et a pu acheter sans compter.- Bien, tu as rencontré quelqu’un lors de tes achats ?- Non, du moins je ne crois pas. Il n’y avait pas grand monde dans le magasin.- tant pis. Tu sais ce que j’attends de toi ?- Oui, je crois- Voyons celaPar la caméra je la vois poser son téléphone sur la table, se positionner bien face à la caméraElle saisit les pinces, qui je constate, sont munies de clochettes, et le grelot semble être un poids. Elle présente la première devant son téton droit. Elle roule un peu son téton, pour le faire un peu pointer, puis place la première pince. Je la voit se raidir et l’entend gémir, puis se sécher une larme qui a coulé malgré elle. Elle saisit ensuite la seconde pince et reproduit la même chose. Le cumul de la douleur semble important, d’autant que je lui sais les seins sensibles. Je la vois et l’entend respirer profondément pour refreiner sa souffrance.- Alors, tu aimes ?Elle a mis son téléphone sur hautparleur car elle me répond sans le prendre- Ça fait mal… très mal…- Ce n’est pas ma question- Je sais pas- Lèves-toi et marcheelle se lève et commence des aller-retour dans son studio.- Sautille sur placeJe la vois sauter sur place, j’entends le bruit des clochettes et vois surtout la douleur s’afficher sur son visage.- StopElle s’arrête et tombe à genoux, le visage couvert de larmes- Bien. Tu les gardera jusqu’à demain matin, tu ne les enlèveras qu’avant de partir en cours. Occupons nous de ton ptit cul maintenant. Ventouse bien le god sur la table et suceLe god accroché, elle se place devant et le prend en bouche. Le diamètre la force à ouvrir très grand sa petite bouche, mais au bout de quelques efforts il prend doucement place dans sa bouche, mais pas suffisamment ne profondeur à mon gout- Plus bas !Je la vois alors forcer pour en prendre plus- Encore ! fais pas ta salope timide bon sang !Elle force alors d’avantage et cette foi, à en juger à sa réaction de lutte contre un vomissement, arrive vraiment au fond.- C’est mieux, reste au fondJe la fais rester ainsi un moment, je la vois lutter pour ne pas vomir, et baver tout ce qu’elle peut- bien, pompe maintenantElle remonte alors et se met à monter descendre sur la queue de plastique. Je la laisse la sucer un moment, quand ça toque à ma porte. Je me lève voir par le judas, c’est Isabelle, je lui ouvre et lui dit juste- A poilEt retourne au salon. Isabelle vient dans le salon et quitte tous ses vêtements, bas, chaussures et se positionne à genoux, jetant un très rapide regard à sa fille couchée par terre. Je lui fais signe de s’approcher et lui montre l’écran- regarde ta salope de fille- ho… vous l’espionnez ?- non, elle sait, c’est elle-même qui a installé la caméra- ha… d’accord- Sophie, ta mère vient d’arriver, montre lui la gourmandise de ton culNous la regardons se lever, le god dégoulinant bien de sa bave, et prendre le tube de lubrifiant- Je t’ai dit de l’utiliser ? ta bouche est là pour le lubrifier, si c’est pas assez, à toi de faire mieux la prochaine fois.Elle se bloque, regarde le tube, regarde le god et repose le tube. Elle se place ensuite le cul au-dessus du god, l’applique contre sa rondelle et commence à se laisser descendre. Nous la voyons grimacer, remonter, re descendre. A en juger sa tête il est rentré un peu. Elle fait une pose puis se remet en mouvement pour au final se retrouver avec le tout en elle. Elle a un peu de mal, sa respiration est accélérée.- Aller, bouges toi!Sophie entame alors un mouvement de monté descente, non sans grimacer. Son conduit doit finir par s’élargir et se graisser naturellement puisque son rythme devient régulier et l’expression sur son visage change, passant de la souffrance au plaisir.- Maître ? m’interpelle Isabelle- Oui ?- Je suis venue notamment pour vous présenter notre comptabilité comme vous me l’aviez demandé. Je me suis permise de demander à notre comptable de faire une synthèse bien et avoirs.- Ho, bien, tu n’as pas trainé. Montre-moi ça.Isabelle se relève donc et va chercher la sacoche qu’elle avait avec elle en arrivant pour en sortir un dossier qu’elle tends après s’être remise à genoux.Je jette un œil à Sophie, toujours à s’empaler puis feuillette le dossier. Je constate déjà qu’effectivement leurs revenu sont vraiment très élevés, notamment celui de Pierre qui ne se prive pas par le biais de son entreprise. Je note plusieurs types de placements financiers, auxquels je dois reconnaitre ne pas tout comprendre. Ce qui retient mon attention est le fait qu’ils possède bon nombre de biens immobiliers, dans cette ville et sa campagne et ailleurs en France. Le tout est passé sous divers montage de société de gestion et autre.- Explique moi, comment ça se fait qu’avec le fric que vous avez et les propriété ici et là, que vous viviez dans cet appartement ? Même s’il est très grand et plutôt luxueux, vous pourriez vous faire bien plus plaisir.- On a longtemps opté pour le côté pratique, les écoles et autres pour les enfants. Puis on n’a jamais vraiment ressentit le besoin de plus de ce côté-là, on prévoyait plus de pouvoir léguer aux enfants à terme.- Je vois… Et je constate au passage que mon appartement, ici, en fait vous appartient ? Si je compte bien même, le bâtiment entier, même si vous l’avez divisé sous deux sociétés. C’est malin, et intéressant. Je vais étudier ça un peu plus.Je regarde mon écran et constate que Sophie est toujours en action bien qu’elle semble fatiguer.- Assieds toiElle se laisse alors descendre, les jambes tremblantes, pose ses fesses pleines sur la tables basse.- Isabelle, va chercher tes 2 strapons. Ho et tiens, ramène donc ta petite lopette, ça lui fera du bien de changer d’airIsabelle se lève, et en passant à côté regarde ses vêtements quelques secondes, puis finalement, ayant compris que je n’attends pas d’elle qu’elle se rhabille, va prendre ses clés dans son sac et quitte l’appart.Pendant ce temps je vais voir Julie, toujours étalée par terre sur le dos, à moitié endormie. Je la réveil en lui giflant les joues.- On se réveille petite putainPendant qu’elle émerge, je la fais se redresser puis lever complètement. Je suis curieux de la voir se déplacer dans ses nouvelles bottes. Depuis mon arrivée, elle avait les genoux à terre. Je lui laisse les menottes aux mains mais libère ses chevilles.- Alors, tu aimes cette tenue de pute ? Montre-moi comment un pute aguiche. Bouge un peu ton cul.Elle commence alors à un peu marcher, c’est un peu bancal, mais je lui accorde le mérite de tenir debout. Sa démarche se fluidifie et stabilise. C’est les plus hauts talons qu’elle a eu à porter jusqu’à aujourd’hui et il faut reconnaitre qu’elle se démerde bien. Elle force son roulement de cul, prends quelques poses suggestives. Je me réinstalle dans le fauteuil et la regarde, non sans gourmandise. Elle vient vers moi, puis se cambrant m’exhibe son cul. Elle a une délicieuse souplesse, venant jusqu’à frotter son cul sur ma queue. Elle affiche une fierté arrogante en voyant que je me remet à bander. Souhaitant qu’elle ravale un peu cette arrogance, je me lève brusquement et vais lui claquer les fesses avec force- Tu fais ta maline ? Tu te prend pour quoi ? pour quoi ? Tu crois que parce que tu me fais bander tu eux tout te permettre ? Tu crois être la seule poufiasse à me faire bander ? Il va falloir que tu apprennes à rester à ta place ! La fierté que j’ai à ton égard ne te donne aucun passe-droit ! Tu m’entends ?!Mes mains s’abattent sur cul encore rougit de la précédente séance. A chaque coup elle vacille un peu, mais elle lutte pour garder l’équilibre et ne se dérobe pas sous mes coups. Ce n’est que suite à une claque plus forte qu’elle finit par perdre l’équilibre et faute de pouvoir se ratt****r avec les mains, se ramasse par terre. c’est là que ça toque à la porte. C’est Isabelle, qui dans une main tiens les deux strapon et dans la seconde une laisse au bout de laquelle est Pierre, nu, encagé comme toujours, portant un harnais de cuir et clouté comme tout vêtement, et à quatre pattes. il ne lève pas les yeux quand j’ouvre la porte, la honte est clairement visible sur son visage.- Ho, mais c’est mignon ce petit toutou, je lui dit en lui donnant une petite tape sur son crâne lisse. Rentrez !Je m’écarte et laisse passer Isabelle, lui passant aussitôt la main sur le cul a la recherche directe de son anus il y a peu encore vierge. Le gémissement qu’elle pousse me prouve qu’il y a pris largement gout.En arrivant dans le salon, Isabelle voit le cul rouge écarlate de Julie. Pierre lui est juste à sa hauteur- Alors mon toutou, tu as vu ses fesses ? elle a pas été sage tu vois… C’est ce qui arrive… Apaise lui donc ses petites fesses de ta langue. ton enfant a besoin de réconfort petite merdePierre me regarde dubitatif- Ben alors ? ça te dérangeais pas de reluquer Sophie quand tu pouvais, tu vas pas être gêné avec ton autre fille ? Alors lèche ou ton cul aura la même apparence !Timidement, Pierre se rapproche et passe un léger coup de langue. Du pied je lui écrase la tête contre le cul de Julie- C’est ça que t’appelle lécher ?!Du coup il s’applique un peu plus et c’est de toute la langue qu’il passe sur les rougeurs. Il semble y prendre gout car il y va généreusement.- On dirait que ça te plait ? t’aime lécher le cul de ta gosse hein ?D’un pied dans les côtes je le pousse sur le côté, le faisant tomber.- isabelle, équipe toiElle prend un strapon et se le harnache à la taille. Pendant ce temps, je positionne Julie sur ses genoux, le visage collé au sol. Isabelle a compris et vient donc se positionner derrière Julie et, tenant le god d’une main, les hanches de Julie de l’autre, vient la pénétrer. Elle la saisie alors des deux mains sur les hanches et démarre un ramonage de son fion en bonne et due forme. Je vais me réinstaller dans le fauteuil, en regardant l’écran je constate que Sophie est toujours empalée comme demandé, mais le temps semble lui être long.- Petit toutou, vient voir ton maîtreJe pointe le sol entre mes cuisses à Pierre qui, à quatre pattes vient se placer où je lui ai dit. Je saisie ma queue d’une main et lui la tend. Il comprend et vient l’emboucher, sans aucunes hésitations et me démarre une pipe de qualité moyenne. Je prends mon téléphone qui est toujours en appel vidéo avec Sophie et film son père- regarde Sophie, regarde papa manger ma queueC’est les dents serrées, un peu en souffrance qu’elle me répond- ho… le petit… cochon- Il aime la bite comme toi petit pute. Ca va ton cul ?- C’est…dur…long- C’est pas grave, ça va te formater le cul. Ho et toi applique toi bon sang !Je le saisis par le crâne lisse et lui imprime le mouvement, plongeant ma queue au fond de sa gorge. Isabelle pendant ce temps se défoule dans le cul de Julie, elle se déchaine totalement. elle l’a maintenant attrapée par les bras qu’elle a menottée dans le dos, ce qui fait se cabrer au max Julie et donc permet à Isabelle d’aller au plus profond- t’aime ça lui péter le cul hein ?- Hanhan oui ! Elle va prendre cher cette pute. regardez comme elle est habillée ! JE t’ai pas éduquée comme ça salope, alors tiens, prends ça dans ton cul de pute !Elle se met alors à lui fesser le cul tout en le lui éclatant. Je montre la scène à Julie par le téléphone üsküdar escort et l’entends dire- Ho la vache, qu’est-ce qu’elle prend !Je me lève, forçant la lopette à cracher ma queue. Je vois Pierre être déçu. Je l’att**** par la laisse et l’emmène vers Isa et Sophie- Isa, dégageelle a du mal à stopper sa lancée, mais finit par se dégager du cul de Julie. je guide alors Pierre derrière Julie et j’att**** sa mini queue encagée.- Il te fait envie son pti cul hein ?- oui… dit-il dans un petit murmure.Je tire alors sa cage et la pointe sur le cul de Julie.- PousseÇa rentre, pas profond vu le peu qu’il y a- C’est con hein, tu vas y prendre aucun plaisir, pourtant t’aurais bien aimé la baiser pour de vrai ta gosse hein ?Je donne alors le rythme, faisant aller et venir la mini queue de la lopette dans le cul de Julie.- haa, ça fait mal- Quoi ? pourtant c’est pas toi qui encaisse lopette- C’est ma… je … je bande mais la cage m’en empêche- Hahaah, allez continus !C’est donc tout en grimaçant de douleur qu’il continu, Julie de son côté reste impassible.- t’es vraiment bon à rien question baise. Aller bouges, je vais te montrer comment un mec baise un cul.Je le pousse suffisamment fort pour le faire tomber à terre et le fait rouler sur le dos. Je traine Julie pour la placer au-dessus de son père, positionnant son clito encagé au-dessus de sa bouche. Je l’att**** et le fou dans la bouche de Pierre- tu vas boire son jus, car moi je vais la faire juterJe plante alors ma queue d’un coup sec dans le tréfonds de Julie- Hum… un vraie bite de mâle… C’est bon…Cette remarque en rajoute à l’humiliation de Pierre. Je ramone alors Julie pour la seconde fois de la soirée, lui plaquant la face contre terre. J’entends en dessous Pierre déglutir régulièrement pour avaler le jus de Sophie. Isa de son côté et genoux à terre, et regarde la scène. Machinalement elle tiens le god et simule une masturbation tout en se léchant les lèvres. La mère de famille, aux apparences et à la réputions de citoyenne sage se révèle un peu plus chaque jour, libérant toute la perversité au fond d’elle.- Vas-y, défonce son petit cul de pupute, elle mérite que ça. Hahaha et l’autre merde qui lui tête la queue. Bande de pétasses bouffeuses de bites hahahaElle part dans un délire complet, insultant son enfant et son époux, elle vient taper son god sur le visage de Julie et va même jusqu’à lui cracher au visage. Au bout d’un moment je sens Julie au bord de l’orgasme, mais je le lui refuse en me retirant d’un coup,- Non ! encore, je vais jouir, s’il vous plait- ta gueule ! et je lui claque une nouvelle fois le cul de mes mains.je me redresse et m’allonge au sol, sur le dos- Isa, viens là !Toujours à genoux elle vient vers moi, et commence à m’enjamber, face à moi- Non, dans l’autre sensAprès une seconde de réflexion, c’est dos à moi qu’elle me chevauche, accroupie au-dessus de moi. Je la bloque et lui défais son harnais et retire son strapon. Je prends ensuite ma queue en main et la pointe sur son anus, et la tirant par les hanches, la fait s’empaler dessus dans un long râle mélangeant plaisir et douleur. Son cul vient s’appuyer contre moi. Je sens ses parois se contracter autour de ma queue, cherchant à accepter l’intrus en elle. Puis elle démarre une lente chevauchée, faisant coulisser mon dard dans son fion étroit.- Julie, approcheDu bout des doigts j’arrive à att****r la clé de ses menottes. Tout en étant chevauché par Isa, je lui les défaits.- équipe toi de l’autre strapon Julie et viens faire jouir maman avec moiJe la vois s’équiper. Je sais que ce n’est pas la pratique qu’elle préfère, ayant bien plus gout à ma queue en elle. Néanmoins, son désir de toujours se surpasser pour me rendre fier d’elle la pousse à obéir sans sourciller. Une fois que Julie est équipée, j’att**** Isa par les seins et la plaque contre moi, la faisant s’allonger sur moi, tout en gardant ses genoux repliés et écartés. Julie vient se placer entre ses cuisses et pointant le god avec la main sur la chatte se mère, vient doucement la pénétrer. Je sens Isa sur moi avoir e souffle qui s’accélère, son anus se tendre, se rétrécir autour de ma queue. Au travers de la paroi je commence à sentir le god investir la matrice maternelle d’Isa. dans un mouvement progressif, allant et venant par centimètres, Julie finit par se retrouver au fond du vagin maternel. Après un petit instant accordé à Isa pour s’habituer à cette double prise, je commence à rebouger dans son anus, imprimant ainsi un mouvement collectif. Julie aussi commence à aller et venir dans la chatte de maman. Trouvant rythme et position adéquate, elle commence à réellement la baiser. L’excitation d’Isa se ressent et s’entend, sa chatte faisant des ”flac flac flac” au passage du god. Isa devient purs gémissements de plaisir, mes mains sur ses seins, pinçant et roulant entre mes doigts ses tétons. Elle finit par replier ses jambes autour des hanches de Julie, la plantant en profondeur en elle. Isa saisit la tête de Julie et plaque sa bouche sur la sienne, et se lance dans un baiser et une valse de langues gourmandes. Julie elle-même se met à gémir. J’att****s Julie par les cheveux pour la décoller de sa mère- T’aime baiser maman ?Et sans la laisser répondre je plaque sa bouche sur la mienne, récoltant au passage de la salive d’Isa. Le baiser de Julie est comme toujours généreux et gourmand. Ses yeux soit clos, soit plongés dans les miens exprime son abandon total. Je la repousse et tire à présent la tête d’Isa vers moi pour manger sa propre bouche.Ma queue toujours plantée dans son fondement la fouille aussi profondément que possible. Je glisse une main entre Julie et Isa pour aller pincer et caresser le clito d’Isa. A chaque pincements, je la sent se tendre, et son cul se serrer sur ma queue, augmentant mon propre plaisir. J’ai donc trouver le bouton de ma jouissance et je joue donc allègrement avec égoïstement. Ses plaintes, de douleur, ne me retiennent pas, et j’active son clito aussi fort et souvent que nécessaire, jusqu’à gicler mon sperme chaud dans ses entrailles. C’est quand la première giclé sort qu’Isa elle-même par dans un orgasme profond. Couchée sur moi, elle se cabre, se plante ma queue au plus profond tout en écrasant Julie contre elle. Julie, pas habituée à mener la danse, se laisse tomber sur sa mère, épuisée. Je pousse tout le monde sur le côté pour me dégager. Aussitôt, Julie se ressaisie et plonge vers le cul d’Isabelle pour aller y boire mon jus.Comme Julie plus tôt, c’est Isa qui est semi comateuse, se remettant de cette nouvelle forme d’orgasme qu’elle découvre encore. Un large sourire orne son visage.Je les laisses se remettre et vais jeter un œil à la vidéo de Sophie. Je constate qu’elle est toujours empalée, mais son visage affiche une grimace, exprimant clairement qu’elle va pas tarder à ne plus tenir.- Alors petite salope, ça va ton cul ?- J’ai mal… Je vais plus tenir longtemps- tu n’aimes plus te faire éclater le cul ?- Si… mais là je..;- Mais ? y’a pas de mais qui tiennentJe la laisse donc ainsi et me replonge dans le dossier que m’a rapporté Isabelle. La lopette, toujours au sol a un filet de jus qui coule en observant sa femme et son enfant se remettre de leur jouissance. Le dossier m’inspire, d’autant que l’emprise que j’ai sur eux va me permettre toutes les libertés que je veux. des projets naissent dans ma tête. Pour commencer je vais forcer Pierre à m’embaucher en codirigeant de sa boite. Lui n’aura de toute façon plus l’opportunité d’y mettre les pieds vu l’avenir que je lui réserve. J’en profiterais pour prendre une rémunération conséquente évidement. Le dossier m’apprends aussi que l’appartement du dessus va être libre prochainement. Je m’occuperais moi-même de sa location future. Je vais devoir me renseigner, mais je compte également m’accaparer tous leurs biens. Je trouverais bien la solution.L’heure a passée vite et j’ai faim.- Isabelle, va chez toi te rafraichir et attends-moi. Ramène ta lopette, attachée aux chiottesIsabelle, encore grogguie, se lève, att**** la laisse de la lopette et quitte l’appartement. Pour ma part je vais vers Julie. Je l’att**** par les cheveux et la tire jusqu’à la flaque laissée au sol par Pierre, la forçant à nettoyer. Le sol propre, je saisis et lui remet en place le gagball. Je la fais se lever et la traine aux WC. je lui remenotte les chevilles, et l’attache à la tuyauterie des WC par les poignets.- Ma petite pute chérie, ce soir je vais te mettre dans ta vraie position. Tu es ma chose, mon objet. Tu vas donc passer la nuit ici.Je vois la tristesse dans son regard et ne doute pas un instant qu’elle aurait souhaité repasser la nuit à mes côtés.- Allons, pas de raisons d’être triste, dès lors que tu satisfais mes exigences je suis content. Tu as fait un choix judicieux avec ta tenue, ça m’a rappelé ta place. Tu vas être une bonne poupée docile.Sur ce, je quitte les WC, fermant la porte derrière moi. Je prends une douche et m’habile puis vais rejoindre isabelle chez elle. Je vais directement dans la salle de bain, ou je la trouve, nue, douchée.- Suis moiAvec Isabelle à ma suite, nous allons dans leur dressing. Je fouille un moment et finis par trouver ce qui me plait. je tends une robe à Isabelle. Elle l’enfile de suite. Il s’agit d’une robe de soirée, très largement échancrée sur sa poitrine, dévoilant près des deux tiers de sa poitrine généreuse. Proche du corps, le bas arrive a mi-cuisse. de coupe type crayon, droite, ses fesses galbées sont mises en valeur. y’a pas à dire, cette femme est tout ce qu’il y a de désirable. Je lui dis de mettre des bas, assortis de préférence au coloris gris métal de sa robe. Elle opte pour une paire de bas chair, auto-fixant. Les bas rajoutent une brillance à ses jambes élancées.- Maquilles toi, coiffe toi et chausse toi. Fais-moi honneurElle se contente de baisser le regard, la tête, dans une forme de révérence et quitte la pièce. Pendant ce temps je me promène dans l’appart, passe devant la chambre de Julie, où il faudra vraiment faire quelque chose, puis dans les autres pièces. Je fouille tous les placards, penderies etc. je récupère au passage un rosebud et l’œuf vibrant. Isabelle finit par arriver, prête. Elle a arranger sa coiffure, lui donnant un volume rajoutant de la sensualité à son allure et lui faisant perdre 15 ans d’un coup, même si elle ne fait de loin pas son âge. Son maquillage met en avant ses yeux et ses lèvres, n’a rien de vulgaire mais joue tout de même sur le côté glamour. de longues boucles d’oreilles, à première vue d’un grand créateur car on dirait des diamants, un collier forçant le regard à se poser vers sa poitrine. Devant moi, je la voit retirer son alliance et la poser sur un meuble. Elle a opté pour se sublime escarpins, bien sûr comme toujours à hauts talons. Elle a dû les acheter pour aller avec la robe, car la couleur est quasi identique. Quelques strass, discrets attirent l’œil sans faire pacotille. Le tout fait que toute personne la regardant a son regard guidé des pieds à la tête, forçant à regarder autant les parties dénudées que celles habillées. Je lui montre alors les jouets que j’ai préparé et sans réfléchir, se place à quatre pattes, relève sa robe et me tend son postérieur. Les deux objets prennent place sans forcer, ses orifices étant encore lubrifiés comme il faut. Je lui flatte la croupe d’une petite tape et la laisse se relever- Tu auras compris, nous sortons- Oui- Es-tu contente ?- Je suis fière. M’autoriserez-vous à me pendre à votre bras comme votre compagne pourrait le faire ?- Oui, j’attends de toi que tu exprimes ton appartenance à moi. fais comprendre à toutes personnes nous regardant à quel point ton désir de moi est puissant. Laisse exprimer la sexualité de ton corps. Soit chaude- Je ferais de mon mieux pour vous satisfaire- Tu es autorisée à me tutoyer à partir de maintenant- MerciJe prends alors sur le meuble les clés de la voiture de Pierre. C’est une grosse berline luxueuse que je vais avoir plaisir à conduire. Nous quittons l’appart, et montons en voiture.***A SUIVRE***

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