Offerte à des inconnus
Un soir Alain invite Christian. Quand il arrive, j’ai la surprise de voir qu’il est accompagné de plusieurs copains. Je sais que Christian est un cochon et je redoute la suite de la soirée en le voyant avec ses potes. Après l’apéro, Christian se lève et brutalement propose à ses potes :
« Allez les gars, prenez-là maintenant, elle est à vous !»
Même si je m’attendais à un coup tordu, je suis pétrifiée. Les lascars s’approchent, trop heureux de profiter d’une telle aubaine. Dans leur cité, beaucoup de filles sont inaccessibles et ils sont bien contents d’avoir à leur disposition une salope comme moi.
Je suis trop soumise pour me révolter. Alain et Christian me répète assez souvent que je ne suis qu’un sac à foutre née pour être baisée comme une chienne, soumise et humiliée. Ils me foute à poil rapidement et leurs mains parcourent mon corps et investissent mon intimité.
Des doigts glissent le long du sillon de ma chatte jusqu’à mon petit trou du cul. On me tartine l’œillet avec ma mouille. L’un d’eux m’appuie sur les épaules pour m’enfiler son membre dans la bouche. Je le suce naturellement. Je suis très excité par toutes ces caresses.
Je suis partie dans un délire sexuel. Mes appréhensions son jetées aux loups.’Je bouge mon cul comme pour réclamer une queue. Je suis aussitôt remplie par une verge bien dure qui dilate mon anneau. Elle entre sans trop de difficulté tant j’ai été élargie par Alain qui m’avait préparé tout à l’heure. Celui que je suce me baise la bouche maintenant en me tenant la tête et fait aller et venir sur sa verge profondément dans ma gorge, me tirant des larmes. Mes seins sont manipulé sans tendresse et j’aime ça. Seul leurs plaisir compte à cet instant et je ne suis que leur jouet. Je suis leur déversoir à foutre. Le pire, c’est que ce rôle me convient à merveille. Le fait d’être ainsi avilie m’excite au moins autant que le pilonnage en règle auquel je suis soumise.
Etre prise ainsi en double pénétration m’excite au plus haut point. Je gueule, mes cris emplissent la pièce quand je n’ai pas une verge pour m’étouffer. Pour que ça dure plus longtemps, ils échangent leurs place et laissent Alain et Christian se servir de moi. Autant de mecs à mon service c’est délirant. Ils n’ont pas besoin de s’inquiéter de mon plaisir car je pars dans des vocalises qui prouve que je prends mon pied. Comme ils ne veulent pas jouir de suite, il décide s’amuser avec moi et de m’humilier. Je suis trop excité pour refuser un tel challenge. Je rampe devant eux qui m’insulte de tout les noms. Ils me claquent les fesses ou mes seins pendant au passage. Certain me rentre les doigt dans la chatte ou dans le cul. Je mouille tant que ça me dégouline sur les cuisses.
« Quelle salope ta chienne, regardes moi ça comment elle aime ça ! Elle est inondée, j’ai trop envie de la prendre ! » .
Je comprends vite que c’est mon cul qu’il visait. Il fait glisser sa verge dans ma raie deux ou trois fois en me disant :
« Michèle, j’vais t’prendre le cul ! Dis que t’aime ça Chienne ! »
« Oui Défonce-moi la rondelle ! »
En position de chienne en chaleur, il me fourre d’un coup sa queue dans le cul. Surprise pas cette brusque pénétration j’ouvre grand la bouche qui aussitôt est occupée par Christian. Pendant quelques minutes, ils me baisent tout les deux le cul et la bouche. Celui qui m’encule accélère la cadence et se déverse dans mes fesses. Il se retire aussitôt remplacé par un autre en disant :
« T’es trop bonne ma salope ! »
Christian laisse la place à mon homme qui est si excité qu’il éjacule dans ma bouche rapidement. Il invite les autres à s’occuper de moi. Je me régale de toute ces bites. Je les suce chacun leur tour pendant que je me fait perforer le cul et la chatte. .Ces mâles prennent plaisir à me baiser sous l’œil de mon mari. Mes seins sont rougis et douloureux à force d’être pincés et malaxé. Je reçois régulièrement des claques sur les fesses. Je suis un pantin entre leurs mains Ils me prennent très énergiquement comme des bêtes sauvages me secouant d’avant en arrière, au point que je ne peux plus sucer au risque de mordre mon partenaire. J’en entends un dire à Alain :
« Elle obéit bien, elle a peu du mal à suivre, mais elle aime ça ! »
Je suis exténuée, mais je continue de satisfaire mes hommes qui semblent infatigables. Christian me flatte en me complimentant :
« Michèle, t’es une bonne chienne ! »
J’en oublie ma fatigue et mes douleurs devant le regard bienveillant d’Alain. Mais j’attends avec impatience que les dernier éjaculent. Enfin toute leurs bourses sont vidées. Je suis vannée, mais heureuse.
Puis les invités prennent congé et tout en me saluant et en remerciant mon homme de m’avoir offert. Seule maintenant avec Christian et Alain, ils me donnent leurs avis sur mon comportement durant la soirée. Je les écoute d’une oreille distraite tant je suis crevée.
« Nous sommes très satisfait de toi. Les invités se sont bien amusé et tu as sus leurs donner ce qu’ils voulaient. Ton rôle de salope et de pute ne n’arrêtera pourtant pas là. Nous avons pleins d’autre situations à te faire vivre. »
J’appréhende déjà ces nouvelles aventures mais cela m’excite d’être à leur service. Pour l’instant, je ne pense qu’à prendre une douche et dormir.