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Chap 31 : Vacances au ski (Fin)
Vendredi
C’est l’avant dernier jour des vacances. En me réveillant, j’ai une légère gueule de bois. Je retrace le fil de la soirée. Putain, c’était bien chaud. Je descends et m’apprête à faire un petit bisou à ma nouvelle petite amie…personne. J’enfile un short avant de sortir de la chambre. La porte de l’autre chambre est ouverte, il n’y a personne non plus. Ils sont déjà tous réveillés. Je descends les escaliers, pas un bruit. Cuisine, salon, pas âme qui vive. Où sont-ils? Je regarde l’horloge, il est plus de onze heures. Ils ne sont quand-même pas partis skier sans moi?
– IL Y A QUELQU’UN???
– Oui, je suis là.
C’est la voix de Marie qui provient de la salle de bain.
Je remonte et la découvre dans un bain.
– Qu’est ce qu’il se passe ce matin? Ils sont où les deux autres?
– Ils viennent de partir à la pharmacie car tout le monde a mal au crâne ce matin et ensuite ils vont faire des courses, ils seront de retour vers midi.
– Ok, ça va mieux toi?
– A peu près, j’ai encore la tête dans le cul.
– C’était une bonne soirée, on a bien picolé.
– C’est clair, et puis il a eu ce qu’il y a eu…
– Ca t’a plu?
– Oui beaucoup, je te rappelle que c’était mon fantasme et j’ai aimé comment tu me regardais.
– C’était très excitant de vous voir, tu es très belle quand tu jouis.
– Sûrement plus que lorsque je vomis.
– Certes, ce n’était pas très glamour, pourtant…
– Pourtant quoi?
– Bah ça m’a émoustillé de te voir comme ça à quatre pattes.
– Ca t’a donné envie, vraiment?
– J’avoue que ça m’a effleuré quelques secondes.
– Pourquoi tu n’as rien fait?
– Je n’ai pas osé profiter de ton état de faiblesse.
– J’étais consciente et malgré tout encore excitée, je me serais laisser faire.
– Vraiment?
– Oui, et je me souviens que j’ai voulu t’embrasser, c’est peut-être que quelque part, j’en avais un peu envie aussi.
Elle se lève sans pudeur pour sortir de la baignoire. Je regarde l’eau ruisseler sur son corps, les gouttes qui coulent de ses tétines, je commence à grossir.
– Passe-moi une serviette s’il te plaît.
– J’adore tes seins, en la lui tendant
– Merci, on dirait que ça te fait de l’effet.
– Ca ne se voit pas?
– Ch’ais pas, je ne m’en rend pas bien compte avec ton short.
Je l’enlève pour qu’elle puisse admirer mon excitation. Elle ne s’essuie pas, laisse tomber sa serviette et avance vers moi.
– Si je t’embrasse là, tu ne vas pas me repousser?
– Non, je ne peux plus résister à la tentation.
Notre désir l’un pour l’autre est clair comme de l’eau de roche. Nos bouches se lient, nos langues s’entremêlent fougueusement. Immédiatement mes mains s’activent sur ses grosses meules qui m’ont tant fait rêver. Sa main se pose sur ma queue, elle la cajole, puis caresse mes bourses. La température monte, on a tous les deux envie d’une baise sauvage. La voilà qui s’accroupie. Elle me branle un peu avant de me prendre en bouche. Elle dodeline énergiquement, je soupire en posant mes mains sur sa tête pour l’accompagner dans ses mouvements d’aller-retour buccaux. Elle se malaxe les seins, puis les soupèse et les cale autour de mon sexe. Elle s’amuse comme une petite folle en les secouant pour me branler. Par moment, elle me lèche même le gland. J’adore le plaisir qu’elle me donne. Je suis surexcité.
– Vas-y, remets-toi dans la position d’hier soir.
Marie se met à quatre pattes en s’appuyant sur la cuvette des toilettes. Je m’agenouille derrière elle et écarte ses fesses. Je lubrifie son oeillet en le léchant copieusement. Je lèche également sa chatte détrempée. Je lui glisse un doigt, puis deux, je relèche son trou du cul, elle gémit de plus en plus. Je me relève et m’accroupie au dessus d’elle. Elle se cambre, je pointe mon dard et l’introduis lentement au fond de son cul. Je démarre mes va-et-vient, je jubile en regardant ma queue s’enfoncer dans son cratère. J’accélère la cadence, elle devient plus bruyante. Cela me motive à taper dedans de plus en plus fort en pressant ses nichons. La belle blonde hurle sa jouissance et je ne mets pas longtemps à l’imiter en évacuant ma semence dans son rectum.
La séance fut brève mais intense, nous avons tous les deux pris notre pied. Marie encore essoufflée est soudainement prise de remords.
– Chris, il ne faut absolument pas que Gérald apprenne ce qu’on a fait.
– Ne t’en fais pas, je ne dirais rien, moi non plus je ne veux pas qu’Anna le sache. On a succombé à une pulsion et c’est tout, on en reste là.
– Ok, on garde le secret, promis.
Nous passons le reste de la journée comme s’il n’y avait rien eu, Gérald et Annabelle ne se doutant de rien. Nous skions une dernière fois l’après-midi. L’air frais de la montagne, nous permet de bien récupérer de la veille. Dans l’ultime télésiège, nous débattons du programme de la soirée. Personne n’ose le dire, mais je pense que nous avons tous la même idée en tête, revivre la folie du sauna.
Nous ramenons le matériel de ski que nous avons loué et buvons un dernier verre en terrasse devant le magnifique panorama qui se trouve devant nous.
De retour au chalet, nous préparons les valises pour le grand départ du lendemain. Nous rangons et faisons un peu de ménage dans la demeure. Chacun a sa tâche. Annabelle et moi finissons les premiers. Direction le sauna. En passant devant la chambre de nos amis, ma compagne, enroulée dans une serviette, leur demande:
– Vous venez dans le sauna?
– On vous rejoint dès qu’on aura fini, répond Marie.
Nous nous installons entièrement nus, l’un en face de l’autre. J’observe ma nana, je la trouve belle et désirable. Ses cuisses sont entrouvertes, j’admire sa fente et mon sexe s’érige doucement. Elle me sourit, elle comprend que j’ai envie d’elle. Elle se lève et s’assoit près de moi. On s’embrasse, on se caresse. Je bisoute ses seins et sa main se fraye un chemin vers mon pénis. Elle le caresse lentement, alors que nos langues continuent leur bataille. Ma belle s’accroupie entre mes cuisses et dresse mon sexe à la verticale. Elle le lèche de bas en haut, faisant parfois tourner sa langue sur mon gland. Je ronronne de plaisir. Puis elle fait coulisser ses lèvres lentement sur mon tube de chair. Je lève la tête et ferme les yeux afin d’éprouver de meilleures sensations.
– J’arrive au bon moment on dirait???
Marie fait son apparition seule, ce qui ne perturbe pas ma partenaire qui continue d’assurer sa prestation.
– Gégé ne vient pas?
– Si, si, il va arriver.
Miss gros lolos retire sa serviette et se pose en face de nous. Cette fois, c’est elle qui regarde et en quelques secondes, l’excitation l’envahit. Alors qu’Annabelle me suce plus franchement, la deuxième blonde se palpe les seins et les porte à sa bouche pour déguster ses tétons. Elle s’écartèle et trifouille son bouton rose avant de se glisser deux doigts dans la chatte. Je suis aux anges, j’ai le droit à une super turlutte devant un magnifique spectacle. Je trouve ça tellement beau et excitant une femme qui se masturbe. A ce rythme-là, je ne vais pas tenir longtemps, surtout si Marie vient en aide à sa camarade, ce que j’espère très fort. Et vu ce qu’il y a eu entre elle et moi ce matin, je sais qu’elle a envie de participer. Mais elle n’ose pas s’approcher, nos concubins respectifs ne semblent pas partageurs ou échangistes. Alors Marie reste de son côté et poursuit sa branlette en gémissant de plus en plus. Ses sons attirent l’attention de ma bienfaitrice, qui se retourne pour la regarder un instant, avant de me chérir la tige à nouveau. Je regarde Marie prendre son pied, elle me sourit et comme pour me rappeler au bon souvenir de la sodomie matinale, elle suce son majeur et se l’introduit dans le derrière. En un éclair, j’expulse mon jus dans la bouche d’Annabelle.
Lorsque Gérald fait son entrée, il n’a pas le temps de comprendre ce qu’il se passe. Sa moitié lui prend la main et lui signifie de retourner dans la chambre pour que ce soit plus confortable. Moi et ma dulcinée restons sur place un petit moment en nous demandant si nous devons les rejoindre. Je me dis qu’ils ne nous en voudront pas.
La porte de chambre est entrouverte. Annabelle la pousse, elle est aussi curieuse que moi. Le couple se fait plaisir mutuellement en position du 69. Marie se trouve au dessus et savoure goulûment la queue de son homme, face à nous. Nous ne pouvons voir le visage de Gérald, mais les murmures jouissifs de sa cavalière nous laisse deviner qu’il se délecte de sa minette. Le désir me reprend et je gonfle une nouvelle fois. Nous nous joignons à eux dans la même position, mais dans le sens contraire. Ma langue s’immisce dans l’intimité de ma copine, tandis que du coin de l’œil, j’aperçois Marie qui joue avec le gland de son cher et tendre.
Les préliminaires s’achèvent et chaque couple baise dans sa position favorite. Pendant que je possède Anna en levrette, Marie chevauche son homme. Les clapotis des pénétrations s’accordent avec le chant des demoiselles. L’excitation est générale, on se regarde, on s’écoute, mais sans contact avec les autres. On touche avec les yeux. Marie se retourne et s’empale à nouveau, dos à Gérald, mais face à moi. Je peux ainsi admirer ses gros nichons rebondir. Cette séance de côte-à-côtisme est jubilatoire pour tous.
Nouvelle perspective. C’est au tour d’Annabelle de s’agiter sur moi. Elle est terriblement humide.
Gégé râle de plus en plus. Debout au pied du lit, il ramone sa maîtresse, allongée sur le dos. Ce dernier contemple également les seins de mon amazone qui tréssautent.
La fin est proche. Mon visage proche de celui de Marie, je la vois grimacer son orgasme lorsque son amant éjacule en elle. Cela me surexcite et quelques instants plus tard, je jouis en pressant fermement les fesses moelleuses de ma coquine, qui extériorise sa joie en poussant une plainte déchirante.
Ce câlin collectif fut la dernière folie de notre séjour.
Samedi, dernier jour.
Nous devons quitter le chalet à midi. Après le petit déjeuner, c’est le branle-bas de combat. Douche, valises et grand ménage. Tout le monde met la main à la pâte pour éliminer toute trace de notre passage.
Avant de prendre la route du retour en direction de notre belle Bretagne, nous déjeunons au restaurant de mon oncle. Nous lui rendons les clés de sa bâtisse en bois et nous lui offrons quelques présents pour le remercier.
Nous décollons aux alentours de 13h, l’arrivée sera tardive. Le trajet se fait bien, quoiqu’un peu long. Nous avons tous passé de bonnes vacances, mais chacun a hâte de retrouver son chez soi, excepté Annabelle, qui est anxieuse.
– Je n’ai pas envie de rentrer, je ne veux pas voir Fred, je ne sais pas comment lui dire que je le quitte.
– Reste dormir chez moi. Tu lui dis qu’on va rentrer tard et que tu seras trop fatiguée pour rentrer. Tu iras le voir demain.
– Il va mal le prendre.
– Tu t’en fous, tu vas le larguer.
– Ouais tu as raison.
Elle lui envoie un message auquel il dédaigne répondre.
Au terminus de notre parcours, Gérald et Marie transvasent leurs affaires dans leur voiture et nous disent au revoir.
– Merci pour tout.
– De rien, j’espère que ça vous a plu.
– Carrément, va falloir qu’on réserve un truc cet été pour de nouvelles vacances pimentées.
– Passez le week-end prochain, on s’organisera tout ça autour d’un petit apéro.
– Ok ça marche. Bisous et bonne nuit.
Comme convenu, Annabelle est restée dormir chez moi, mais ce soir-là, la fatigue omniprésente supprima notre désir. Nous nous sommes simplement endormis nus l’un contre.
Le lendemain, le portable d’Anna, en mode silencieux, affiche plusieurs messages, tous de la part de Fred qui s’inquiète de ne pas la voir rentrer. Ma copine blonde prend son courage à deux mains et s’en va éclaircir les choses en début d’après-midi. Deux heures plus tard, alors que je glande devant la télé, Anna frappe à ma porte, libérée du poids qui lui pesait.
– C’est bon, je suis enfin libre.
– Ça s’est bien passé?
– Bof, il m’a traitée de tous les noms et ensuite il a pleuré un peu.
– Il s’en remettra, t’inquiète pas.
– Ce n’est plus mon problème.
Elle poursuit toute joyeuse:
– J’ai pris quelques affaires, je peux m’installer ici?
– Évidemment, mais ici tu n’as pas besoin de vêtements..
– Hum, ça ne me gêne pas de vivre à poil.
– Tu pourras me payer le loyer en nature comme ça.
– Si tu veux.
– Ca va te coûter très cher.
– Ca ne m’étonne pas venant de toi…
C’est dans un bain que nous passons notre première soirée en vrai petit couple. Un dernier moment de détente avant la reprise du boulot le lendemain. Face à face, on se toise du regard, les yeux d’Annabelle pétillent de désir. Elle me cherche, son pied caresse mes testicules, ma queue qui se raidit. Son pied remonte mon torse et atteint ma bouche. Je suce ses orteils l’un après l’autre. Ca l’émoustille. Ma blonde se masse les seins sensuellement, pendant que son gros doigt de pied est toujours entre mes lèvres. Elle se redresse vers moi et saisit mon sexe. Elle me branle délicatement. Je vois dans son regard qu’elle a une envie folle de me sucer. Je relâche sa jambe et me met debout dans la baignoire. Anna se met alors à genoux et n’hésite pas une seconde à me prendre en bouche. Elle me consomme divinement, agitant sa mimine à la base de mon phallus, faisant coulisser ses lèvres sur toute ma longueur. Je miaule de plaisir et comme souvent je deviens entreprenant. Je lui demande de se retourner. Elle peine à se mettre à quatre pattes dans la baignoire, mais dès qu’elle y arrive, je lui crache sur la chatte et je la pénètre en levrette. Ses murmures deviennent des mots, qui deviennent des petits cris alors que je la lime de plus en plus vite et de plus en plus fort, faisant gicler l’eau du bassin un peu partout. J’agrippe sa tignasse en continuant de la bourrer profondément. Je tente une parole graveleuse:
– T’aimes ça petite salope?
– Hum oui, fais-moi jouir.
Elle aime la rudesse et le vocabulaire cochon, ça me surexcite. Dans mon élan de coups de rein, je lui claque la fesse et sentant ma jouissance arrivée, j’augmente encore la vitesse des aller-retour et lorsque j’éjacule en elle, Annabelle hurle également son orgasme.
Nous nous allongeons côte à côte, à l’étroit, écrasés l’un contre l’autre dans cette baignoire. On s’embrasse, Anna me regarde avec un grand sourire:
– J’espère que tu me baiseras régulièrement comme ça.
FIN.