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La Fille À La Robe À Fleurs

Babes

Cher lecteur, chère lectrice,

Tu trouveras dans ces cahiers le récit le plus vrai de mes aventures et de mes amours ainsi que la confession la plus honnête des tours que j’ai pu jouer à certains de mes contemporains. Tu y découvrira que je suis doué d’un talent exceptionnel, tu verras l’usage que j’en fait et si comme moi tu ne t’encombres pas de morale, peut-être prendras-tu aussi quelque plaisir à découvrir la description détaillée de mes passe-temps les plus pervers.

Commençons, non pas par le commencement, mais par le récit d’une de mes escapades qui illustrera pour toi l’étendue de mon pouvoir et de mes passions.

Mon histoire se déroule au printemps, un matin que j’avais passé en ville à déambuler au hasard sans autre objectif que celui de profiter du retour des beaux jours. Mes pas m’avaient mené dans un quartier calme et arboré et finalement, je m’étais arrêté face à une petite église. Autour de moi, sous les arbres, je vis approcher quelques fidèles qui venaient assister à l’office. D’abord quelques vieilles dames avec leurs cabas — c’était aussi jour de marché — Puis, un peu en arrière, les maris avec canne et béret, en grande discussion. Une couple se penchait sur une poussette. enfin, une jeune femme en robe à fleurs.

Cette dernière attira mon regard. Elle était de taille moyenne et marchait sereinement, sans se presser mais sans trainer des pieds pour autant. À première vue, je lui donnais 22 ou 23 ans. De là où j’étais, je n’ai pas pu distinguer la couleur de ses yeux mais je fus immédiatement fasciné par son visage fin et lumineux, sur lequel je remarquais quelques taches de rousseur sur les joues. Dans cette lumière de milieu de journée, je la trouvais ravissante. Ses cheveux blonds, détachés, tombaient sur ses épaules nues en flottant légèrement à chaque pas. Plus bas, le décolleté modeste de sa robe laissait entrevoir une poitrine menue mais bien formée. Elle portait aux pieds une simple paire de chaussures de sports et à sa taille, le vêtement un peu cintré laissait entrevoir la marque d’une culotte sage dont j’essayais un instant de reconstituer les contours.

Je laissais mon regard vagabonder quelques instant le long de ses courbes puis suivis le groupe à l’intérieur.

Sache que je ne suis pas bigot pour deux sous. La religion et ses ministres m’ont toujours laissé de marbre. En partie parce que, comme tu le verras en poursuivant ta lecture, j’ai moi-même quelque affinité avec le surnaturel. Tu auras donc compris que c’est uniquement la vision de cette jeune personne qui m’a poussé à entrer. J’avais aussi dans l’idée de rire un peu des bondieuseries du curé et je ne fus certainement pas déçu de ce point de vue-là.

Je ne saurais pas décrire la cérémonie, je n’ai rien retenu des discours du prêtre. Je me souviens seulement que ce jour-là, celui-ci semblait atteint d’une maladresse qui confinait au burlesque. Cierge, missel, calice… Tout ce qu’il prenait en main finissait par lui échapper. Les paroissiens et les paroissiennes se montrèrent d’abord patients, puis consternés face à la gaucherie du curé. Enfin, de larges sourires commencèrent à se former au fur et à mesure des ses mésaventures. Finalement alors que le pauvre homme était penché pour ramasser son pupitre qu’il avait renversé, il finit par tomber lui-même à la renverse, exposant au passage un caleçon à rayures roses sous sa soutane. La fille à la robe à fleur, que je lorgnais toujours du coin de l’œil et qui avait fait preuve d’une remarquable retenue jusque-là, finit elle-même par laisser échapper un grand éclat de rire.

La messe prit fin rapidement après ce dernier incident. Tandis que les autres croyants quittaient l’église d’humeur joyeuse, la jeune femme, probablement en manque de mysticisme après cette cérémonie pourtant hautement spirituelle, préféra rester à sa place pour se recueillir.

À ce stade, cher lecteur, chère lectrice, je dois m’interrompre pour te donner quelques explications. J’avoue tout : les maladresses que je viens de décrire ne sont pas dues au hasard. C’est moi qui en suis entièrement responsable. Il se trouve que j’ai quelques capacités de nature surnaturelles, dont il m’arrive d’abuser au dépend des autres.

Pour le dire en un mot : j’ai le pouvoir de stopper le cours du temps.

Il me suffit de claquer des doigts et tout s’arrête autour de moi. Les oiseaux restent suspendus dans les airs, l’eau cesse de couler, les aiguilles de toquer et les choses de tomber. Je suis moi-même bien sur immunisé au phénomène, ce qui est heureux sans quoi j’aurais bien peu de choses à raconter. En effet, tandis que le monde autour de moi est à l’arrêt, je suis libre l’aller et venir à ma guise. Plus important, je peux interagir avec les choses : les toucher, les prendre, les déplacer… les casser si l’envie m’en prend. Si je te dis qu’il en va de même pour les gens, tu auras compris que mon pouvoir me permet d’accomplir presque tout ce que je veux et de prendre tout ce que je désire.

Bien entendu je ne Escort Avcılar peux pas te demander de me croire sur parole. Hélas, le médium par lequel nous communiquons toi et moi ne me permet pas de t’offrir une démonstration. Peut-être as-tu déjà croisé ou croiseras-tu dans l’avenir un phénomène étrange de mon fait? Il est vrai que je ne suis pas toujours d’une grande discrétion et, je te l’ai déjà dit, j’aime jouer des tours à mes contemporains. Dans ce cas tu trouveras dans ces lignes les réponses à tes question. Quoi qu’il en soit, je t’ai promis la vérité et je tiens toujours mes promesses.

Laissons derrière nous les mésaventures du prêtre et reprenons donc mon histoire. Cette fois, je vais te décrire les événements qui suivent tels qu’il se sont produits de mon propre point de vue, avec autant d’exactitude que mes souvenirs m’autorisent.

Après la fin de la cérémonie, j’avais laissé sortir les participants les plus pressés puis, n’attendant pas les derniers fidèles, je quittais le bâtiment à mon tour.

J’observais la petite foule autour de moi, attentif aux moindres détails. Un couple de vieilles personnes marchaient bras-dessus bras-dessous. Plus loin, les jeunes parents s’éloignait en manœuvrant laborieusement leur poussette high-tech sur les pavés inégaux de la place. Un groupe de jeunes adultes commençait une bruyante partie de basket sur un unique panier fixé contre un mur plus loin. Dans un jardin, un chien aboyait contre les passants.

Restant ainsi quelques minutes, je profitais du spectacle de la rue tout en savourant l’air frais du matin. Puis je claquais des doigts et tout s’arrêta.

Le silence se fit. Le ballon de basket, sur le point d’atteindre le panier, resta suspendu en plein vol. Les yeux en l’air pendant quelques instants, j’en faisais le tour en essayant de déterminer s’il rentrerait lorsque le temps reprendrait. Les joueurs, quant à eux, avaient été stoppés en pleine action et je ris en pensant que leur pose dynamique semblait sortie tout droit d’une publicité pour une marque d’articles de sport. Sous les arbres, des pétales de fleurs stoppés en pleine chute restaient comme en lévitation. Derrière moi, le grand portail de l’église était resté entrouvert.

Lassé de mes propres enfantillages et pris d’envie de retrouver l’objet de mon désir, je m’y engouffrais à nouveau.

La fille à la robe à fleurs était là, seule dans l’allée principale. Elle se dirigeait vers moi tandis que moi, je marchais vers elle. En fait, il faudrait plutôt dire qu’elle se serait dirigée vers moi si elle pouvait bouger, mais elle était en réalité aussi figée qu’une statue de cire. Je l’avais manifestement stoppée tandis qu’elle se dirigeait vers la sortie. Je me réjouissait qu’elle n’ait pas quitté l’endroit ; le bâtiment donnait un air solennel à notre rencontre, tandis que la lumière colorée des vitraux soulignait à merveille les reflets blonds de ses cheveux.

Dans cette situation, j’avais tout le loisir de l’observer plus attentivement. Ses beaux yeux, couleur noisette, étaient un peu perdus dans le vague. Elle devait probablement fixer quelque chose à l’extérieur, loin derrière moi mais depuis ma position je trouvais que ce regard lointain lui donnait un air diaphane qui rehaussait sa beauté naturelle. Je me plaisais à l’imaginer innocente et naïve, comme sont représentées habituellement les jeunes filles catholiques dans la littérature ou au cinéma.

Je pensais qu’elle était encore vierge et peut-être n’avait-elle- jamais même gouté les lèvres d’un autre — ou d’une autre! — contre les siennes. J’imaginais que seule dans sa chambre, elle devait attendre qu’il fasse noir pour se déshabiller, pour éviter la gêne de se voir elle-même nue dans le miroir. Puis une fois endormie, elle faisait des rêves fous qui lui faisaient honte.

On la fessait pour des crimes qu’elle n’avait pas commis. On passait un collier autour de son cou, comme un animal. On la forçait à exposer son sexe en pleine rue et les gens riaient en la pointant du doigt. Le matin, elle se réveillait mouillée de transpiration et de sécrétions. Elle passait vite à la salle de bain, se nettoyait en fermant les yeux et s’habillait sagement en chassant de sa mémoire les démons de la nuit.

Je m’approchais un peu plus près. Je posais une main sur sa joue et la fis glisser le long de son cou, puis dans ses cheveux. Immobile et muette, elle ne réagit pas. Comment aurait-elle pu? Elle ne se rendait compte de rien. Sa peau était d’une douceur remarquable. À cette distance, je remarquais qu’elle portait un rouge à lèvres discret. Une inspection plus attentive révéla également un petit tatouage caché derrière son oreille gauche. Quant à la bretelle blanche de son soutien-gorge, elle trahissait une lingerie plutôt raffinée. À son poignet, le bracelet d’un festival de musique rock de l’année passée. Autant pour mes fantasmes d’innocence.

Désormais, dans ma tête, je commençais au contraire à lui imaginer une vie sexuelle perverse et débridée. Pieuse Avcılar Escort Bayan le jour, salope la nuit. Je lui inventais des dizaines d’amants qui arrachaient ses vêtements puis la prenaient tour à tour dans de grandes orgies. Les uns après les autres, les hommes jouissaient sur elle et elle en voulait toujours plus. les yeux brillants, elle malaxait ses seins couverts de foutre en riant comme elle avait ri tout à l’heure pendant la messe.

Je laissais vagabonder mes mains en même temps que mes pensées. D’abord sur ses épaules puis le long de ses bras. Lorsque je passais mes mains dans les siennes, je la voyais branler des bites à la chaine dans des motels sordides. Lorsque j’appréciais la fermeté de ses cuisses, c’était pour mieux me représenter la fille à genoux, montant et descendant le long d’un gros godemichet qui lui dilate le cul. Tandis que j’en faisais en pensée une succube assoiffée de sexe, transpirante et haletant comme une chienne, je caressais doucement ses seins et son ventre à travers les vêtements.

Je commençais à sentir la chaleur monter dans mon bas-ventre mais restais encore maitre de moi. Comme je l’avais stoppée en pleine marche, ses pieds touchaient à peine le sol. J’avais peur, en la déplaçant, de ne pas pouvoir lui rendre sa position exacte : lorsque le temps reprendrait son cours, elle risquait alors de perdre l’équilibre et de chuter.

Tu dois trouver mes états d’âme bien ridicules après les scènes que je viens de décrire. J’étais pourtant sincère. En fait, je m’étais mis en tête de me faire absolument indétectable. Quoi que je lui fasse, il fallait qu’elle ne se doute de rien.

Retournant à l’entrée, je donnais un grand coup de pied dans la porte de l’église. Elle bougea lorsque je la poussais mais, au lieu de continuer de tourner sur ses gonds, la porte s’immobilisa immédiatement. Encore un effet secondaire auquel j’étais bien habitué. Je savais bien qu’elle avait pris toute sa vitesse : elle n’avait simplement pas le temps de finir son mouvement.

Je reculais donc hors de vue et claquais des doigts. La porte, propulsée tout à coup comme par un violent courant d’air, rebondit contre le chambranle avec un fracas d’enfer. La fille à la robe à fleurs, surprise, s’arrêta un instant et je claquais des doigts à nouveau.

Silence.

Sa nouvelle pose lui allait à merveille. Les deux pieds fermement campés sur le sol, dans sa surprise elle avait légèrement entrouvert la bouche. Pris d’une envie soudaine de l’embrasser, j’avançais vers elle et pressais mes lèves contre les siennes. Dans mon désir possessif, je glissais ma langue dans sa bouche en tenant sa tête d’une main. De l’autre, je remontais déjà sa robe le long de ses hanches pour caresser la peau nue de sa taille puis la douceur de son ventre. Bientôt je frôlait son sein de ma main. Aurait-elle voulu de moi si elle m’avait connu? Je m’en fiche. Je prends ce que je veux, quand je veux.

Ivre de pouvoir, je sentais mon sexe gonfler tandis que je me pressais contre son corps. Je la maintenais serrée contre moi. J’entendais mon propre cœur battre à tout rompre dans ma poitrine et dans le silence surréel qui n’existe qu’hors du temps, le bruit était assourdissant. Elle, restait immobile et à ma disposition. Douce et parfaite, elle serait là pour moi aussi longtemps qu’il le faudrait.

Gardant mon vissage pressé contre son cou pour continuer de l’embrasser, je baissais d’une main aguerrie la fermeture éclair de sa robe avant de la faire glisser le long de son corps. Je dégrafais au passage son soutien-gorge que je jetais au loin. Enfin, empoignant la culotte en coton que j’avais finalement révélé, je la lui baissais sur les cuisses d’un coup sec. Dans un dernier moment de lucidité, je reculais d’un pas pour admirer mon œuvre.

La posture de la fille n’avait pas changé mais la robe à fleurs gisait désormais à ses chevilles. Près d’elle, le soutien-gorge dont je croyais m’être débarrassé flottait dans les airs, insensible à la gravité — dans ma passion j’avais oublié qu’ici, les choses ne se lancent pas ni ne tombent. De même, la robe ne reposait pas vraiment sur le sol mais restait suspendue à quelques centimètres des dalles, écrasée sur elle-même et chiffonnée là où je l’avais tenue dans mes mains.

Je n’y prêtais pas attention. Face à moi, le corps nu de la jeune femme me livrait ses derniers secrets. Son sexe arborait une fine toison de poils blonds. J’y passais la main tout en ouvrant la braguette de mon pantalon. Je remarquais aussi ses tétons clairs, légèrement dressés. J’en appréciais du pouce la fermeté tout enveloppant sa poitrine de mes mains. J’embrassais les auréoles de ses seins puis, n’y pouvant plus, j’écartais ses cuisses et guidait mon sexe tendu vers sa chatte ; je me glissais en elle sans patience.

Je fus surpris de la facilité avec laquelle je rentrais en elle. M’attendant à un peu de résistance, j’avais lancé mon bassin contre le sien sans aucune retenue mais dès le premier assaut je m’insérais Avcılar Escort déjà tout entier.

Son sexe chaud comprimait mon organe viril d’une façon délicieuse. Enveloppé par sa moiteur, je soulevais la fille de terre afin de la placer à ma taille — elle ne pesait rien entre mes bras. Les mains sur ses hanches, je la maintenais en place en savourant mes premiers aller-retours dans son con. Je sortais presque tout entier, ne laissant que mon gland brillant entre ses lèvres, puis j’enfournais à nouveau mon membre jusqu’à la garde. Enfoncé en elle, je me pressais entre ses jambes. Je recommençais, encore et encore.

Son intimité s’était accommodée facilement de ma verge, comme si j’étais attendu. Une fois de plus, mon imagination s’emballait. À quelles pensées impures la salope s’était-elle livrée avant que je la prenne? À quelles perversions ignobles s’était-elle abaissée?

Sa virginité s’était perdue depuis longtemps sans doute. Elle avait séduit un homme pour qu’il la fasse femme. Cela devait s’être passé dans la douleur, l’immobilité, la honte. Pourtant, elle avait commis l’irréparable. Elle avait joui.

Je postulais que depuis ce baptême, le souvenir de ce moment la hantait. Sachant son crime, elle avait vite découvert sa punition. Jamais l’orgasme ne devait lui être permis à nouveau. Chaque jour, des heures durant, elle activait ses doigts contre son sexe toujours palpitant mais rien n’y faisait. Chaque fois, le soulagement se faisait plus inaccessible et le besoin plus fort. Seule, elle s’épuisait avec frénésie sans jamais atteindre la satiété.

Elle avait alors enfin compris que sa recherche bestiale du plaisir était elle-même la raison pour laquelle il lui était impossible de l’atteindre. Réalisant cette seconde culpabilité, elle avait fini par accepter que son destin était de se tenir à disposition du sexe fort et son devoir, de n’y prendre aucun plaisir. Tout autre choix n’aurait été que perversion. Femelle, objet, elle sillonnait les rues nuit après nuit en priant silencieusement pour son salut. Fruit défendu, elle ne pouvait se donner mais attendait qu’on la prenne : il fallait que l’un de ses maitres s’empare d’elle et lui fasse expier son péché.

Au moins une fois, j’en étais sûr, elle avait subi le rituel purificateur. Je visualisais la scène. Elle se débattait de toutes ses forces mais on la forçait à se soumettre. Dans la partie indigne de son corps, elle était punie par la douleur d’une intromission forcée. La bite énorme lui perforait les entrailles. Les grosses couilles s’écrasaient contre son cul. Elle se sentait comme sciée en deux tandis que le feu la brûlait dans son ventre. Elle était prise de nausées.

L’haleine du monstre agressait ses narines. Il soufflait comme un porc et crachait sur son visage. Ses mains puissantes la maintenaient clouée au sol, sans aucune échappatoire.

La fille à la robe à fleurs criait, hurlait, mais la dépravation de son vice était au-delà de toute rédemption. Un gémissement finit par lui échapper. Sa jouissance, sa malédiction, la pris par surprise et la submergea en un instant. Trahie par son corps de putain, arc-boutée comme une possédée, elle hurlait toujours, mais de plaisir et de désespoir cette fois. Sa culpabilité avait été démontrée à nouveau.

Je retournais la fille et la poussais contre une colonne à ma droite. Complètement plaquée contre les bas-reliefs sculptés dans la pierre, ses seins en épousaient les scènes pieuses. Le visage tourné de côté, elle portait toujours la même expression de surprise, les yeux perdus dans le lointain.

Tremblant, collé contre son corps et haletant sans grâce, je la baisais par saccades sans quitter la douce constriction de sa chatte.

Mon excitation était à son comble ; pourtant j’hésitais. Vois-tu, je ne suis pas du genre à retarder mon plaisir mais si je me laissais aller à jouir en elle, c’est était fini de ma discrétion! Que faire?

Je choisissais la voie la plus simple. Je fais ce que je veux et je me fous des conséquences.

Je repris mon œuvre avec une vigueur renouvelée. J’avais atteint le point de non-retour et l’idée de cette dernière transgression me fit tout à fait basculer. J’empoignais sa poitrine à deux mains et au premier spasme dans mon bas-ventre, je poussais un cri primal. Collé contre elle, je déversais ma semence dans sa chatte. Contraction après contraction, Je l’engrossait de mon foutre.

Mon désir enfin assouvi, une vague de frissons me parcourut. Je la serrais contre moi le temps des derniers spasmes puis, dans un dernier soupir, je la repoussais et me laissais tomber au sol. Allongé sur les dalles froides, je repris mon souffle.

Je restais ainsi pendant une minute, une heure ou une éternité, à contempler les fresques anciennes tracées au plafond.

Tournant la tête, j’observais la fille. Son corps nu était toujours là où je l’avais laissé ; en lévitation, dressé face à la colonne de pierre. Avec les bras en croix — je réalisais tout à coup que lui avais donné, bien malgré moi, une position hautement symbolique — elle était comme l’ordonnatrice de la plus fantastique des messes noires.

Je me reposais encore un peu puis remis la fille en position et la rhabillais aussi soigneusement que je pus.

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