Cette histoire est basée sur la déchéance d’une femme. C’est violent et difficile à lire pour une âme sensible. Si vous n’aimez pas le genre, vous n’aimerez pas cette histoire, alors inutile de la lire. Ce serait comme commander un gratin aux aubergines dans un restaurant, alors que vous détestez l’aubergine. Vous trouverez le plat dégueulasse, mais ça vous le saviez avant, ben pour cette histoire, c’est pareil. Pour les autres, bonne lecture, car je pense que c’est mon meilleur texte écrit jusque à présent.
Sinon, étant Italien, et arrivé à vingt ans en France, j’ai appris le français parlé, auprès de ma mère qui est française. Par contre pour ce qui est de l’écrit, je l’ai appris à l’école, en Italie, ce qui explique que j’ai pas mal de lacunes. Malgré les correcteurs d’orthographe et les petits trucs de quelques lecteurs, mes textes sont truffés de fautes de grammaires et d’accords, notamment sur le pluriel des verbes, mais aussi de fautes conjugaison. Veuillez m’excuser pour ce souci, que j’améliore à chaque texte. Pour ce que cela rebute, évitez de le lire, si pour vous les accords, la grammaire, la conjugaison, sont plus important que le texte. Je remercie pour leur courage ceux qui me pardonne ces fautes, et me lise quand même. Bonne lecture à vous.
Pour finir, les quatre premiers chapitre de cette histoire sont parus entre décembre 2018 et mai 2019. Si vous voulez vous rafraichir la mémoire…
On retourne en ville, dans un quartier plus pauvre de la périphérie. On va dans un snack assez grand et moderne. A cette heure-ci il y a peu de monde. Je commande un hamburger, Greg en prends trois. Il s’assoit face à un homme assez âgé, environs soixante-dix ans. Je vais pour me mettre face à Greg.
– Non, mets-toi à côté de moi.
– Mais il va voir mon sexe, monsieur.
– Je sais. Allez, fais-ce que je te dis, arrête de discuter mes ordres.
– Bien, monsieur. Pardon monsieur.
Je m’assois face à l’homme, à côté de Greg.
– Écarte les cuisses!
– Bien monsieur.
J’obéis, la table est haute par rapport à moi, ce qui fait que le vieux avait déjà une vue parfaite sur mes jambes. Il agrandit les yeux en voyant mon sexe. Honteuse, je me retiens de pleurer. Il n’a pas le droit de me montrer à tout le monde comme cela. Enfin, si il n’en a pas le droit, il en a le pouvoir. Il en use. Je mange mon hamburger avec faim malgré la situation. Greg engloutit le sien. J’ai pris un coca. Le goût sucré me fait du bien. Depuis le début, il y a plusieurs jours de cela, je n’ai bu pratiquement que de l’urine, d’ailleurs surtout de l’urine. Et un peu d’eau, hier soir.
Le vieux lui, mange lentement, admirant mon sexe, mais aussi le reste de mon corps, notamment le haut de mes seins qui ressortent du décolleté de ma robe. Quand Greg a fini de manger, il attrape sa bière. Il regarde le vieux qui me mate.
– Ma compagne vous plaît?
Le vieux détourne aussitôt le regard de mon corps.
– Non, non pourquoi?
– Je vous ai vu la mater.
– Je vous assure que Escort Bahçeşehir non.
– Dommage, vous auriez pu l’avoir.
Le vieux le regarde bizarrement, se demandant si c’est vrai ou si il lui cherche la merde. Greg lui sourit, son sourire le plus charmeur.
– Vous avez bien entendu ce que j’ai dit. Venez-vous asseoir, je vais vous expliquez.
Ce n’est pas possible, il ne va pas m’offrir à ce vieux. Puis je me rappelle une partie de ses paroles de la veille : « Tu coucheras avec qui on te diras… », je suppose qu’il va me tester.
Le vieux hésite.
– Allez venez, on est dans un lieu public, si j’étais agressif, si je voulez vous frapper, je l’aurais déjà fais.
Le vieux se lève, et s’assoie en face de moi.
– Bon alors ma compagne vous plaît ou pas?
Il me regarde, je me suis rendu compte tout l’après-midi que je plaît aux hommes. Que je les excitent dans ma tenue.
– C’est la plus belle femme que j’ai vu.
– Vous aimeriez vous la faire dans les WC?
L’homme me regarde dans les yeux, il voit que je suis humiliée, mais que je ferais ce que Greg dis.
– Je n’ai pas beaucoup d’argent.
– Elle est gratuite… pour cette fois.
– Dans ce cas, c’est un grand oui.
Greg se tourne vers moi.
– Vas-y
Je me lève et me dirige vers les toilettes, le vieux m’emboîte le pas. Je sens son regard posé sur mon cul somptueux.
Je pousse la porte des WC, il y en a deux autres dedans, une pour les femmes, une pour les hommes. J’attends mon client. Car c’est ce qu’il est, un client, ce qui fait de moi, de facto, une putain. Il entre, me prends les hanches, il m’embrasse. Je réponds à son baiser. Je suis écœurée par ce que je suis devenue. Je vais me faire prendre et j’accepterais toute les déchéances. Il me lâche, il entre dans les WC hommes. Il ressort.
– C’est vide, tu peux venir.
C’est ma première visite dans des toilettes pour mâles. Je vois les trois urinoirs sur le mur qui prolonge la porte, en face, trois cabine ouverte. Il me pousse dans la première. Il entre à ma suite, referme la porte, il met le verrou. Je lui fais face, ma main se porte sur son entrejambe. Je sens son sexe déjà dur. Tant mieux, que cela aille le plus vite possible. Je fais passer ma robe par-dessus ma tête. Je lui dévoile mon corps nu. J’ai honte.
Il ouvre de grands yeux en voyant mon énorme poitrine, étonnamment si ferme. Si ferme qu’elle dément toutes les lois de la gravité. Il s’empresse de les prendre dans ses mains. Lui, contrairement à mes trois bourreau, il le fait avec douceur, presque avec tendresse. J’en verserais presque une larme de joie, enfin un homme qui ne me traite pas comme la putain que je suis. Enfin, une salope pour lui, puisque je suis gratuite. Comme cela semble être la mode aujourd’hui, il me fait m’appuyer contre le mur.
– La chatte ou le cul?
Je suis abasourdie, il prend soin de moi. Il me demande ma préférence. Je suis touchée. Comment en suis-je arriver là? Mais Bahçeşehir Escort Bayan quel orifice choisir? Être prise par l’anus est plus douloureux, par le sexe c’est plus humiliant, plus dur à vivre. Puis par devant il y a le risque de tomber enceinte. Mais après tout le sperme que j’ai reçu ces derniers jours, si je dois être enceinte, j’ai bien peur que cela soit trop tard.
– Par devant.
– Bien.
J’entends le bruit d’une braguette que l’on descend. L’instant d’après un pénis pénètre mon vagin. Lui aussi ça va, il est de taille normal. Il ne me fait pas trop mal, bien que je sois encore et toujours aride.
Là encore il me surprend. Il ne me viole pas sauvagement comme les autres. Il me prend avec douceur, faisant attention de ne pas me faire mal. Si pour moi, cela est un viol de plus, lui ne le sait pas. Il doit croire que je suis une prostituée, une salope ou une nymphomane. A aucun moment je n’ai protester, à aucun moment je ne lui ai dit ce que je vie. Attention, je ne trouve pas cela agréable, je ne mouille pas, je ne vais pas avoir d’orgasme. Mais le peu de douceur qu’il me donne me fait le plus grand bien. Le fait qu’il me la donne en me prenant n’entre pratiquement pas en ligne de compte. Lui me fait l’amour. Je me mets à simuler en geignant doucement.
– Oh… C’est bon… Continue…
Mes paroles lui font de l’effet, il éjacule quelques secondes plus tard, m’inondant l’utérus.
Comme j’en ai maintenant l’habitude, je m’agenouille devant lui et je prends son sexe en bouche pour le nettoyer. Sans mettre les mains. Il a l’air d’aimer ça. Au bout de quelques minutes, je le sens rebander. Je ne sais pas pourquoi, je recule ma tête, jusque à le faire sortir de ma bouche, et je lui demande :
– Je finis avec la bouche, ou tu veux tester la sodomie?
– La sodomie.
Je me relève, je reprends appuie contre le mur. Il met son sexe contre mon anus, il me pénètre lentement, là encore il fait attention à moi. Il commence à me ramoner et je me dis qu’en d’autres circonstances j’aurais pu trouver cela agréable.
Une fois qu’il se vide dans mes entrailles, je m’agenouille devant lui et je le nettoie. Quand il est propre, je le retire de ma bouche.
– Je peux aller au bout si tu veux.
– J’aimerais bien, mais à mon âge, deux fois c’est déjà extraordinaire. C’est dire si tu m’inspire…
Je ne sais pas quoi faire, alors j’attends qu’il se rhabille. Une fois que c’est fait, il me regarde.
– Merci, c’était merveilleux.
Il fouille dans sa poche, et me tend un billet de dix euros. Je le prends.
– Tiens, c’est pour toi.
– Merci.
Ça y est, c’est officiel, je suis une putain, je viens de gagner mon premier billet avec mon corps. Je me relève et remet ma robe, après avoir essuyer le sperme qui coule de mes orifices. Il a été gentlemen jusque au bout. À aucun moment, il n’a posé de question sur les marques de cravaches sur mon corps, ou sur l’état de mes orifices massacrés.
On Bahçeşehir Escort retourne à la table de Greg. Je m’assois à côté de lui, mon premier client face à lui. Greg le regarde en souriant.
– Alors?
– C’était géniale. Merci, je ne sais pas comment vous remercier.
– En me disant comment vous avez trouvé ses trous par exemple.
– Ils sont géniaux, cela se voit qu’elle débute, elle est vraiment étroite.
Greg lui tend sa carte.
– Si vous voulez la revoir, chez vous, chez moi, à l’hôtel ou ici, appelez-moi. Elle sera gratuite pour vous. Mais prenez rendez-vous au moins deux jours à l’avance, c’est plus sûr. Par contre faîtes-le savoir autour de vous qu’une pute canon tourne dans le coin. Elle est à cinquante euros de l’heure, tous ces orifices en open-bar.
– Je n’y manquerais pas.
L’homme se lève et part, après avoir encore remercier Greg et moi.
Greg m’annonce alors une bonne nouvelle.
– Meyer et Jérôme ne seront pas là ce soir. Ils ont des impératifs.
Je suis heureuse, je n’aurais à subir que Greg, au moins je n’aurais qu’un seul pénis pour me violer.
– Moi non plus je ne serais pas là, mais je te rassure tu ne dormiras pas seule, j’ai une surprise.
Je ne dis rien. Mais l’annonce de sa surprise m’effraie, cela n’annonce rien de bon pour moi. Finalement, on rentre chez Greg. Après que l’on est rentrés les paquets, il me fait de nouveau me doucher, mais cette fois, en plus, je dois me parfumer et me maquiller. J’opte pour du noir sous les yeux, et un rouge-à-lèvre d’un rouge vif. Puis je vais dans la chambre de Greg. Il m’a préparé mes habits. Il y a un petit string, un mini-short vraiment mini et un petit haut blanc transparent. Ainsi que des talons aiguilles. J’enfile le tout, j’ai vraiment l’air d’une prostituée au rabais habillée comme cela. Cette tenue, m’humilie vraiment, moi la petite bourgeoise. C’est une taille en dessous, on voit mon cul, les lèvres de mon sexe, apparaissent entre la petite entrejambe du short. Mes seins tendent à fond le tissus du haut, on voient parfaitement mes tétons percés et mes aréoles.
Vers dix-neuf heures l’on repart. Entre-temps, il m’a violée par devant, puis par derrière, avant d’exiger de moi une fellation qu’il mène jusqu’au bout. J’ai dus lui faire un strip-tease pour me dévêtir. Après ses viols, retour sous la douche et au maquillage.
On prend ma voiture. Quand on arrive, je reconnais l’endroit. Je me retourne effrayée.
– Mais…
– Ta gueule, si tu parles, tu seras punis. Je te ferais vraiment regretter tout tes viols passé.
Ce n’est pas une menace, c’est un fait. Alors je ne dis rien, je me retiens juste de pleurer. Ce n’est pas possible, il ne va pas m’obliger à ça…
Pourtant si, il le fait. On entre dans le petit immeuble que je ne connais que trop bien. On toque à une porte que je connais tout aussi bien. Je suis morte de honte, humiliée, horrifiée. Une voix d’homme résonne, puis la porte s’ouvre. L’homme me regarde ébahis.
– Clotilde?
Je n’ai pas la force de répondre. L’homme enchaîne.
– Merde, j’ai faillis ne pas te reconnaître habillée comme cela. C’est mieux.
Encore une fois je ne dis rien. Greg me glisse.
– Alors Clo, je sais bien que tu es une salpe et une putain, mais ce n’est pas une raison. Comme cela, on ne répond pas à son frère?