L’iris pourpre – Partie 7
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En arrivant à l’hôtel, et en ouvrant la porte de la chambre, je remarquais que celle-ci était vide. Seule une sorte de longue table étrange était au milieu.
Evan s’approcha et me prenant par les épaules, il me dit ces mots d’un ton roque :
« -Tu vas te laisser faire ?
-Eh bien…
-Si quoi que ce soit te pose un problème pendant l’acte… Tu n’as qu’à dire STOP. Tu m’as bien comprise ?
-Oui… Je crois.
-Déshabille-toi et allonge-toi sur la table. »
Une fois allongée sur le dos, les jambes relevées et écartées, Evan s’approcha avec de longues sangles. Il m’attacha solidement au niveau des bras, des jambes, de la taille et du cou. Le seul mouvement que je pouvais faire était de tourner la tête à 180°.
Il sortit ensuite de la chambre et revint quelques secondes plus tard avec une caisse sans couvercle qu’il déposa sur ma tête et qu’il sangla à son tour. Il y avait une espèce de creux arrondi au niveau de mon cou ce qui permettait à la caisse de masquer entièrement mon visage sans provoquer de gènes.
En tournant la tête sur le côté, je remarquais un trou juste au niveau de ma bouche. Celui-ci me permettait de ne pas être complètement dans le noir, mais comme il était mal placé, je ne pouvais pas voir l’extérieur.
« -Tu est prête ?
-Oui. »
J’entendis alors plusieurs pas s’approcher de moi.
Je reçu tout d’abord une grande claque sur les fesses, puis ma chatte s’ouvrit de force par une queue qui avait décidée d’y entrer. Le trou dans la caisse s’assombrit, puis un chibre s’introduit et donna des coups secs sur ma bouche encore fermée. Je décidais alors de me prêter au jeu, et la laissa entrer.
Je sentis plusieurs mains caresser mon corps et malaxer mes seins. Parfois, les bites qui fourraient mes trous se retirèrent pour laisser place à d’autres verges de tailles et de formes différentes. Les va-et-vient se faisaient plus ou moins rapides, plus ou moins violents. Le plaisir montait en flèche. Je mouillais de plus en plus et malgré le fait que j’avais la bouche pleine, j’arrivais à pousser de légers jappements.
Deux cercles mous et froids se positionnement sur mes seins. Sur le moment, je me posais des questions, et lorsque je sentis une aspiration de plus en plus forte, je compris qu’il s’agissait de pompes à vide. J’en avais vue dans plusieurs vidéos cochonnes, mais je n’avais jamais essayée.
La sensation, au début agréable, devenait de plus en plus inconfortable. Je sentais mes seins gonfler de plus en plus et la peau se tirer. Comme je n’avais pas mal, je laissai faire. Ce fut bientôt au tour de ma chatte de se faire aspirer. La sensation était agréable et j’avais l’impression de gagner en sensibilité. Durant cette séance de pompage, je suçais toujours les queues qui se présentaient à moi.
Lorsque les pompes s’enlevèrent, on me troncha et malaxa les seins de plus belles. Parfois je recevais des fessées plus ou moins fortes, et des claques sur le ventre et la poitrine. Je ne pouvais plus me retenir et m’enflamma alors dans l’orgasme le plus intense que j’avais connu jusqu’à maintenant.
Puis j’entendis Evan dire « Allez-y ! Maintenant ! »
On se retira de ma bouche et de mon vagin. Je sentis alors des substances chaudes et huileuses recouvrir mon corps. C’était incroyable, il y en avait de plus en plus. J’étais complètement trempée.
Finalement, je les entendis se rhabiller et quitter la chambre. Evan retira la caisse et me libéra. J’étais complètement crevée à force de ressentir du plaisir. Lorsque je regardais mes seins et ma chatte enflée et légèrement violette, puis la mare de sperme qui recouvrait mon corps, je me sentis un peu honteuse. Même si j’avais jouis comme jamais, j’avais tout de même servie de morceau de viande à un nombre de mecs qui me restaient inconnu.
Je m’essuyais et m’habillais rapidement, puis rentrais chez moi en vitesse, sans rien dire ni même adresser un coup d’œil à Evan, le laissant seul dans cet endroit lugubre.