Traduction d’un texte de MarlinPerkins.
Avertissement : Ce récit n’est qu’une FICTION sortie de l’imagination de son créateur. Vous trouverez dans ces quelques lignes une expérience sexuelle mélangeant soumission et humiliation Si vous n’aimez pas ce genre de lecture, ne continuez pas à lire. Merci.
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Je n’arrive pas à croire que je suis devenue l’esclave sexuelle de mon beau-fils James, mais c’est bien vrai. Au cours des derniers six mois, il ne s’est pas écoulé une semaine sans que j’aie une relation sexuelle avec lui au moins une fois. Maintenant il me force même à coucher avec ses amis. Hier soir il a organisé une fête et j’étais la principale attraction. Je devais servir des boissons à James et à ses amis nus. Tous ceux qui le voulaient étaient autorisés à me baiser ou se faire sucer. Je sais que c’est difficile à croire, mais c’est tout à fait vrai.
Tout a commencé il y a environ deux ans, lorsque j’ai divorcé de mon premier mari. Nous n’avions pas de travail, pas d’enfants, et à 26 ans, il était facile pour moi de faire mes valises et de partir sans regarder en arrière. C’est à peu près à ce moment que j’ai rencontré Lance, mon mari actuel. Lui et moi nous sommes aimés depuis le début, et nous nous sommes mariés seulement dix mois après notre rencontre. Nous avions beaucoup de choses en commun. En dehors de notre différence d’âge, Lance avait 42 ans, c’est comme si nous avions vécu des vies parallèles. Il venait lui aussi de divorcer. Le seul problème était son fils James. Mais il était souvent absent, car il était à l’université. Il devait obtenir bientôt son diplôme et il était probable qu’il trouve un boulot ensuite. James semblait me blâmer pour le divorce de ses parents, même si je n’ai jamais rencontré la première femme de Lance. Pour ma part, il me semblait étrange d’avoir un fils qui avait presque mon âge. Enfin pas un fils, mais un beau-fils. J’ai essayé d’être proche de lui, mais il m’a toujours rejeté.
Après la lune de miel, Lance et moi sommes tombés rapidement dans la routine. Nous travaillions tous les deux. Il est directeur des ventes dans une grande entreprise de logiciels informatiques et j’avais trouvé une place de secrétaire dans une imprimerie. Si je me plaignais, c’est que nous avions très peu de relations sexuelles, du moins pour moi. Lance était souvent en voyage professionnel, et quand il était à la maison, il ne semblait pas intéressé par la bagatelle. Faire l’amour une fois par semaine lui convenait parfaitement.. Je n’avais jamais pensé que notre différence d’âge puisse être un problème. Mais ce n’était pas suffisant pour moi. Je ne pensais pas que j’étais une nymphomane, mais j’aimais le sexe et j’y pensais tous les jours.
C’est alors que tout commence. J’ai pris un jour de congé, car nous attendons une livraison de meubles. Comme d’habitude, les livreurs arrivent toujours quand on est le moins disposé à les recevoir. En sortant de la douche, j’entends la sonnette de la porte d’entrée. j’enroule rapidement une serviette autour de mon corps et une autre autour de mes cheveux. Je cours vers l’entrée. Je me tiens là, toujours dégoulinante d’eau alors que j’ouvre la porte au plus bel homme que j’aie jamais vu. Le livreur est trop beau. Je sens une rapide montée d’adrénaline et je rougis. L’homme est poli et me demande où je veux qu’il pose les nouvelles chaises. Mon esprit est complètement perdu,et avant que je ne m’en rende compte nous sommes dans les bras l’un de l’autre. Mes serviettes tombent alors que nous nous roulons sur le sol.
Je ne suis peut-être plus la jolie fille que j’étais à 18 ans, mais je fais du sport trois fois dans la semaine. A 1m65 et 61 kilos, je sais que je peux encore faire tourner les têtes avec ma belle poitrine et mon cul bien rond. En quelques minutes, j’enlève ses vêtements et il me baise alors que je m’abandonne dans ses bras musclés. C’est à ce moment que ma vie change pour toujours. Alors que je me dirige vers un orgasme fantastique, je vois un flash de lumière. Il s’agit d’un appareil photo. Dans un coin de la pièce se trouve James. J’ai oublié qu’il était rentré de l’université depuis deux jours. Généralement il se lève tard et il est souvent absent, car toujours avec ses amis. Avant que je ne puisse vraiment réagir, il prend plusieurs photos supplémentaires. Je me précipite vers les serviettes alors que le livreur reprend rapidement ses vêtements. Alors que je cherche quelque chose à dire, James me crie d’aller dans ma chambre.
Choquée je lui obéis. Une heure s’écoule avant que mon beau-fils n’entre dans la chambre. Je me suis habillée et je suis assise au bout du lit en attendant de voir ce qui va se passer. Il s’assoit sur la chaise de ma coiffeuse et me dit qu’il attend une explication. Je commence à le supplier de ne rien dire à Lance. Je lui dis que je suis désolé, que ce n’est qu’un accident. J’ajoute et je lui jure que rien de tel ne s’est produit auparavant, que je ne sais pas ce qui m’est passé par la tête. Après que je l’ai supplié de me pardonner et de ne rien dire à son père pendant Escort Bahçeşehir une dizaine de minutes, James me dit qu’il sait que son père quitte la ville le soir même. Donc il va passer la journée à réfléchir et décider s’il doit lui dire ou non. Je continue à l’implorer de ne rien dire. Je m’entends même dire que je ferais ce qu’il voudra s’il ne dit rien. Il me répond qu’il va y penser et il quitte la pièce.
Toute la journée, j’ai l’impression de marcher sur du verre brisé. Lance rentre du travail, nous dînons et il part pour l’aéroport vers 19 heures. Nous sommes mercredi soir et il me dit qu’il ne reviendra que samedi matin. Je n’ai pas revu James.
Mais vers 23 heures le jeune garçon revient à la maison. Il me paraît ivre. Il me dit qu’il va dans sa chambre, mais qu’il m’appellerait. Vers Minuit, j’entends crier mon nom depuis le salon. Je n’ai jamais été aussi nerveuse en entrant dans la pièce. James est assis sur le canapé, une grande boite devant lui. Instinctivement, je recommence à m’excuser pour ce qui s’est passé le matin. Toutefois, il me dit de me taire, puis il me fait m’agenouiller par terre au milieu du salon.
Il me demande alors ce que je suis prête à faire pour l’empêcher de donner les photos à mon mari. Ne sachant pas trop à quoi m’attendre je lui réponds :
— N’importe quoi!
James ouvre la boite et en sort une grande enveloppe. Il me dit alors que ce qu’il attend est écrit dedans. Je dois tout lire attentivement et faire tout ce qui est dit. Si je fais des erreurs ou je refuse, il donnera les photos non seulement à son père, mais à toute personne qui me connaît. Il poursuit que je dois bien regarder tout ce que contient la boite et être prête à tout utiliser. Il ajoute qu’il va aller se coucher, mais que je dois le lendemain aller travailler, mais dire à mon patron que j’ai besoins de prendre mon jeudi après-midi et mon vendredi en congés. Puis James sort de la pièce avec un étrange sourire sur le visage.
J’ouvre l’enveloppe et je lis la lettre dont le titre est : « A partir de maintenant tu es mon esclave ». A cette lettre est joint un genre de contrat que James a dû rédiger sur son ordinateur. Sur la première page est écrit en grosses lettres « CONTRAT D’ESCLAVE ». Je vois qu’il y a beaucoup d’endroits où je dois signer. Les papiers disent essentiellement ce que je dois faire ce qu’il veut. Je dois continuer à le traiter de la même façon lorsque mon mari est là, mais chaque fois que nous sommes seuls, je dois lui dire Monsieur. Je m’assois pour lire le contrat encore et encore, mais je n’aurais jamais pensé que mon problème se résolve sexuellement, jusqu’à ce que j’ouvre la boite.
Elle est remplie de jouets sexuels, de magazines pornos, de corde et encore beaucoup de choses dont je ne sais même pas l’utilité. Je n’en reviens pas. Mon beau-fils s’attend-il vraiment à ce que je couche avec lui et que je devienne son esclave sexuelle? La réponse est évidente. Je passe un bon moment à fouiller dans la boite et à regarder chaque objet.
Enfin à trois heures et demi du matin, je retourne dans ma chambre et je me couche. Cette nuit-là je fais deux rêves inhabituels. Le premier est que Lance et moi avons des rapports sexuels tous les jours et qu’il veut que je devienne son esclave. Le deuxième est qu’il veut que je baise James.
Quand je me réveille le matin, ma première pensée est que la journée et soirée d’hier était un rêve. Puis je réalise que ce n’est pas ça. Sur la commode de ma chambre se trouvent une paire de menottes et un mot qui dit : « N’oublie pas de prendre ton après-midi et ton vendredi. Je te verrai plus tard. Et garde les menottes avec toi. ». Un frisson descend le long de ma colonne vertébrale.
Je me douche et m’habille pour aller au travail. Une fois à l’imprimerie, je bégaie des arguments pour avoir mon après-midi et mon vendredi, puis je m’installe à mon bureau. A onze heures trente mon téléphone sonne. C’est James. Il veut que je le retrouve sur le parking de l’immeuble dans dix minutes. Il me dit aussi que si je sais ce qui est bon pour moi, je ne serai pas en retard. Aussi vite que je peux, je dis au revoir à mes collègues et je me précipite vers le parking. Toutefois il me faut quinze minutes pour y arriver.
Quand j’arrive à la voiture, je dis à James par la vitre ouverte :
— Je suis vraiment désolé James, mais j’ai fait aussi vite que j’ai pu.
En voulant ouvrir la portière, je m’aperçois qu’elle est verrouillée. James me dit que non seulement je suis en retard, mais que je ne l’ai pas appelé Monsieur comme ordonnée. Il dit que je dois donc être punie. Il me demande si j’ai le contrat avec moi, puis il me demande de la passer par la fenêtre entrouverte.
Je suis gênée d’être debout à côté de sa voiture sur le parking, mais pas aussi gênée que je vais bientôt l’être. Après que James ai lu le contrat et vérifié que j’ai bien signé toutes les pages, il me dit d’ouvrir mon chemisier et passer mes seins par la fenêtre de la voiture. J’hésite une seconde avant qu’il Bahçeşehir Escort Bayan n’ajoute :
— Si tu ne te dépêches pas, je vais te faire foutre complètement à poil ici!
Je regarde tout autour et je lui obéis rapidement. De ma position je ne peux pas voir dans la voiture. Je sens ses mains qui tripotent mes seins et baissent mon soutien-gorge pour les dégager complètement. J’essaie de surveiller tout autour pour voir les personnes qui pourraient s’approcher. Je sens alors James pincer durement mes tétons. Je ne peux m’empêcher de laisser échapper un glapissement alors que mes mamelons sont mordus simultanément.
Puis j’entends sa voix me crier de monter dans la voiture. Alors que je recule et que je peux voir mes seins, je m’aperçois qu’il a mis des pinces à linge sur chacun de mes mamelons. J’ai l’impression que mes tétons sont en feu. Je veux saisir les pinces, mais James gifle mes mains et me dit de les laisser en place.
Les mains tremblantes je monte dans la voiture . James me dit que nous rentrons à la maison pour que ma formation commence. Il faut bien trente minutes pour le retour. Je sais que mes seins ne vont pas pouvoir supporter ce traitement pendant tout le trajet. Je tiens cinq minutes environ avant de demander à James de retirer les pinces à linge. Il ne cligne même pas des yeux. Après quinze minutes, je le supplie alors que les larmes commencent à couler sur mon visage.
Nous nous arrêtons à un feu, et James me demande ce que je suis prête à faire pour qu’il enlève une des pinces. Une fois de plus je lui dis que je ferai n’importe quoi. D’une voix effrayante, il dit alors :
— J’en enlève une si tu te déshabilles des pieds à la taille. Mon esprit est révolté et je voudrais refuser mes mains arrachent mes chaussures, ma jupe et ma culotte. En quelques secondes, je suis assise sur le siège avant avec seulement mon chemisier ouvert et mon soutien-gorge descendu sous mes seins. James sourit et dit :
— Bien.
Il tend la main et attrape la pince sur mon mamelon gauche. Après l’avoir tordu une dernière fois, il la tire brusquement. Je crie, car j’ai l’impression qu’il a arraché mon téton de mon sein. Frotter ma poitrine me fait me sentir mieux, mais je reprends conscience de la pince sur mon sein droit.
Une fois de plus, James me demande ce que je suis prête à faire et je réponds toujours la même chose. Cette fois il a autre chose en tête. Nous sommes encore à dix minutes de la maison et je sais que je ne tiendrais pas. James me dit alors qu’il est excité et il me demande ce que je vais faire à ce sujet. Je commence à pleurer en devinant où nous mène la suite. Mais il faut que je fasse quelque chose pour cette horrible douleur dans ma poitrine. Quand je lui promets une nouvelle fois de faire n’importe quoi, il me fait mettre à genoux. Il me dit que je vais lui faire une fellation. Il me demande de lui sucer la bite et de le faire jouir avant d’arriver à la maison, sinon je porterai la pince toute la journée.
Je crois que je n’ai jamais sucé une bite avec autant d’ardeur. Je le suce et je le lèche jusqu’à ce que je sente qu’il est prêt à jouir. Mais c’est alors que je le sens tirer mes cheveux pour redresser ma tête et m’empêcher de le finir. Il me demande si j’ai les menottes. Quand je lui réponds oui, il me dit de me menotter les mains dans le dos avant de recommencer à le sucer. Je lui obéis et bientôt j’ai de nouveau sa bite dans la bouche. James pousse sur l’arrière de ma tête pour enfouir sa queue au fond de ma gorge.J’ai l’impression que je vais étouffer, mais il me lâche et me laisse continuer de le sucer.
Finalement, quand je sens de nouveau qu’il est prêt à jouir, je le vois arrêter la voiture. Il prend ma tête en agrippant une poignée de cheveux et la tire en arrière pour sortir son sexe de ma bouche. Puis il presse son engin contre mon visage. Juste au moment où je sens la première giclée de sperme sur mon front, James retire violemment la deuxième pince à linge. Je réagis de la même façon que pour la première, toutefois mon cri est étouffé dans l’entrejambe de mon beau-fils. Alors que la douleur commence à s’estomper, je prends conscience de la queue qui continue de gicler sur mon visage. j’ai l’impression qu’il vient d’ouvrir un robinet de foutre. Il recouvre complètement ma figure.
Pour achever mon humiliation, James m’oblige à faire le reste du trajet avec son foutre sur mon visage. Quand finalement nous arrivons, il rentre directement dans le garage et me fait entrer dans la maison comme je suis. Je ne peux pas retirer les menottes du reste de la journée. Pendant l’après-midi et le début de soirée, le jeune homme me dit ce qu’il attend de moi à partir de maintenant. Tout au long de la journée il prend des photos. Après un accident où je fais tomber un verre d’eau, il me couche sur ses genoux et me donne une fessée. Il me baise aussi deux fois, dont une penchée sur la table du salon. Il me fait sucer sa bite et lécher mon propre jus après m’avoir baisé. En m’endormant ce soir-là, Bahçeşehir Escort je me rends compte que c’est comme ça que ma vie va se passer dorénavant.
Le vendredi est pire. Je dois sucer James dès le matin. Puis il me met un collier autour du cou et je dois le suivre dans toute la maison à quatre pattes, sur mes mains et mes genoux. Il me filme en train de prendre une douche. Il m’ordonne de me masturber jusqu’à l’orgasme alors qu’il garde la caméra à la main. Après le déjeuner, il m’accompagne dans ma chambre et me choisit une tenue. Il me dit alors que nous allons faire du shopping et prendre un verre, mais j’ai le sentiment qu’il a autre chose en tête.
La tenue qu’il me donne est un ensemble que je porte au travail. Il consiste en une jupe bleu marine qui tombe à mi-cuisse et une veste avec un seul bouton au milieu. Au début je suis contente, mais je réalise bientôt que James ne veut pas que je porte quoi que ce soit en dessous. J’ai honte.
Nous allons d’abord dans un sex-shop. James me traîne à l’intérieur. Il fait un achat rapide et nous repartons. De retour dans la voiture il me montre ce qu’il vient d’acheter, c’est un gros plug anal. Il me dit alors qu’il veut me sodomiser cette nuit et qu’il veut que je sois prête. Il s’arrête dans une petite rue, me dit de me pencher et de sortir la tête par la fenêtre. Encore une fois, je ne peux voir ce qu’il fait.
Ses mains remontent grossièrement ma jupe et je sens quelque chose de froid et humide sur mon petit trou du cul. Puis, sans avertissement, James enfonce le plug dans mon cul. J’ai l’impression que l’objet va me déchirer. Je n’ai jamais laissé personne me baiser par là auparavant et maintenant je sais pourquoi. La douleur est atroce, et pour aggraver les choses, James baisse ma jupe et me fait asseoir sur le siège de la voiture. A chaque bosse de la route un gémissement sort de mes lèvres. Je supplie James de retirer le plug, mais mes plaintes tombent dans l’oreille d’un sourd.
Le prochain arrêt est un bar que James fréquente souvent lorsqu’il est en ville. Nous nous asseyons au bar pour prendre un verre et quelques minutes plus tard un ami de mon beau-fils nous rejoint. Il s’appelle Dan, et James me présente à lui comme son nouveau jouet. Je rougis et je baisse la tête devant cette nouvelle humiliation.
Bientôt James me fait prendre les verres, quitter le bar pour aller nous asseoir dans une petite alcôve. Les deux jeunes discutent ensemble. Je me lève alors en disant que je dois aller aux toilettes. Mais devant Dan, James m’oblige à demander si je peux y aller et me fait l’appeler monsieur. J’ai l’impression d’être une gamine de cinq ans. Après qu’il m’autorise à y aller, je me tourne pour m’éloigner. Je suis à quatre ou cinq pas de la table quand je l’entends me dire :
— Je m’attends à ce que le plug soit toujours dans ton cul quand tu reviendras.
Je me recroqueville sur les toilettes aussi longtemps que je peux. Je sais que James a d’autres choses en tête pour moi à mon retour et j’ai peur de ce que ça peut être.
Il faut que je rassemble tout mon courage pour retourner à la table où m’attendent Dan et James. Après m’être assis à côté de mon beau-fils il me demande si j’ai toujours le plug dans mon cul. Je ne peux pas lever les yeux alors que mes lèvres murmurent ma réponse.
C’est alors que Dan demande à James s’ils ne devraient pas vérifier que je dis la vérité. Immédiatement James me fait lever de la banquette et me fait tourner le dos à l’alcôve. Je sais ce qui va suivre et je ne suis pas surprise quand il me demande de soulever ma jupe pour que tous les deux puissent voir mon cul. Mes yeux parcourent le bar pour voir si quelqu’un fait attention à nous et j’entends James demander :
— Penche-toi à la taille que nous puissions mieux voir.
Le ton de sa voix me fait comprendre que ce n’est pas une simple demande, mais bien un ordre.
Quand ils ont bien regardé tous les deux le plug dans mon cul, James me fait asseoir à côté de Dan. J’ai encore trop honte pour regarder le jeune homme alors que je m’assieds à côté de lui. Mais les mains de Dan se familiarisent rapidement avec mon corps. James a le contrôle sur moi, mais je me rends compte que si Dan veut que je fasse quelque chose, James s’attendra à ce que je le fasse.
Il ne faut pas longtemps avant que ma jupe soit retroussée à ma taille et que Dan bouge deux ou trois doigts dans ma chatte humide. Je n’aurais jamais pensé que mon corps réagisse ainsi, mais mon sexe s’humidifie de plus en plus.
James se lève alors en nous disant qu’il va chercher des boissons Pendant qu’il est parti, Dan commence à me pomper plus fort. Quand James revient, je suis à la merci de Dan. Il me doigte à un rythme soutenu. Je suis penchée sur la table en respirant lourdement. Je peux sentir que j’approche d’un orgasme James le voit aussi. Et malheureusement il ne va pas me permettre de jouir.
Il dit à son ami de s’arrêter pour me laisser boire. Non seulement il a ramené une bière pour Dan et lui, mais il m’a apporté six petits verres de tequila. Je n’ai jamais bu beaucoup d’alcool, mais je sais que James ne me demande pas si je veux les boire. Mon beau-fils commence alors à parler de moi à son ami comme si je n’étais pas là. Il lui dit qu’il va lui montrer pourquoi je suis son jouet. Il lui dit que je jouerai à n’importe quel jeu qu’il voudrait.