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ESPRIT DE FAMILLE 2

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ESPRIT DE FAMILLE 2Le soleil me réveille en traversant les rideaux mal fermés. Je suis au sol, sur la moquette, nue, enroulée dans une nappe dégueulasse et ma jupe me sert d’oreiller. J’ai très mal à la tête et j’ai beaucoup de mal à retrouver une vision normale, tant mes yeux sont gonflés. Ma bouche est sèche et salée. Mes cheveux sont poisseux et de grandes traces blanches sur mon corps, me laisse à penser que j’ai du être copieusement arrosée, mais pas par du jus d’orange, ça… c’est sur. Ma petite chatte aussi est poisseuse et plutôt mal odorante. Le constat est clair. Je n’ai aucun souvenir de ce qui a put se passer, après le départ de mon frère. C’est le trou noir. Je me lève, lentement, m’aidant de la table. Ma tête tourne encore. L’alcool n’a pas encore totalement disparu de mon organisme. Je suis seule au milieu d’un champ de bataille. Il va pourtant falloir que je range tout, avant le retour de mes parents ce soir. Mais une priorité s’impose…la douche.La douce chaleur de l’eau sur mon corps me réveille, peu à peu. Je fais mousser le gel douche et me caresse doucement le corps, faisant glisser mes mains sur mes courbes.« Manon !… Manon, tu es là, »C’est la voix de ma tante Valérie.Après lui avoir crié ou je me trouvais, elle vient me rejoindre.« Il est plus de midi, et tu ne m’as pas téléphonée. J’étais inquiète. »Je sors de la cabine. Elle prend une grande serviette et me frotte délicatement le dos. Sans attendre plus longtemps, je l’inonde d’un flot de questions.« Pourquoi ne pas m’avoir dit que tu étais la maîtresse de Guillaume ? Pourquoi, m’avoir cachée qu’il me désirait à s’en rendre malade ? Pourquoi as-tu couchée avec moi ? »Je me retourne face à elle. Ses yeux caressent mon corps de haut en bas et de bas en haut. Un frisson me parcoure. J’enfile un peignoir, afin de me cacher d’elle. Je m’assoie face à un grand miroir. Elle prend ma brosse et tout en me coiffant, commence à me donner quelques explications.« Oui, Guillaume est mon amant. Et alors ? Il est jeune, beau et pas farouche. Il ne me fut pas difficile de le mettre dans mon lit. De plus, c’est un excellent baiseur, alors pourquoi m’en priver ? Tu sais, je suis ce qu’on pourrait appeler une belle coquine. J’aime les hommes, le sexe et je n’ai pas de tabou particulier et le fait qu’il soit mon neveu ne m’a pas dérangée plus que ça. Très rapidement, il m’a avoué avoir de gros fantasmes à ton sujet. Que veux tu que j’y fasse, ou que je lui dise ? Je ne suis pas très bien placée pour dire quoi que ce soit. Mais pourtant, je l’avoue, je lui ai promis de l’aider si je le pouvais. Alors, évidemment, quand il m’a vu avec toi, il a pensé à une trahison de ma part. »Elle prend ma place sur la chaise et m’invite à m’asseoir sur ses genoux. Je le fais. Elle m’entoure de ses bras et je pose ma tête dans son cou. Je suis bien, détendue. Il me semble être une petite fille qui se fait câliner, juste pour le plaisir.« Et moi ? Pourquoi ? »« Il y a des choses que l’on a bien du mal à expliquer, parfois. Pour toi, rien n’était prémédité. Tu es belle, ta main était chaude, mon cœur c’est emballé. C’est tout. Je suis désolée. »« Non, ne le soit pas. Tu avais raison, il n’y a rien de grave dans tout ça. »Il nous a fallu trois heures pour tout remettre en état. Sans elle, je n’y serrais pas parvenue. Nous buvons un thé bien mérité et nous nous écroulons dans le canapé, épuisée.« Val, dis moi. Penses-tu que je doive coucher avec Guillaume ? »« Bien sur que non. Ce sont ses fantasmes, c’est à lui de les assumer, pas à toi de les réaliser. »« Oui, mais…. »« Mais quoi ? Petite fille ! »Elle me prend dans ses bras en souriant. J’att**** un coussin et cache mon visage dedans.« Oui, mais si maintenant j’en avais envie aussi ? »Elle essaye de m’enlever le coussin du visage, mais je m’y accroche comme une folle, pour qu’elle ne puisse pas lire la honte inscrite sur mes joues. Alors comme deux enfants qui chahutent, elle commence à me chatouiller, à me bousculer et me sauter dessus. Au milieu de nos éclats de rire, je l’entend dire.« Alors, je tiendrais la promesse faite à ton frère. »« Doucement !doucement ! Je n’ai pas dis que j’en serrais capable. J’ai juste dis que j’en avais envie. »« J’ai bien compris. Alors je vous aiderais tout les deux. J’ai une petite idée. Donne moi un peu de temps et je vais vous organiser une petite soirée dont vous vous souviendrez longtemps. »«Hum ! Tout ça me fait peur. Mais je veux bien te faire confiance. »Trois semaines se sont écoulées. Je n’ai pas revu mon frère, ni ma tante. Ce matin, à ma grande surprise, j’ai reçue une courte lettre de celle-ci.Chère Manon.Si le désir de ton frère est ton désir.Si son envie est ton envie.Je t’attends samedi à 21 heures précises.ValérieNous sommes samedi. Pour un peu je recevais sa lettre trop tard. Milles questions et milles doutes envahissent mon esprit. Il va être l’heure de me mettre en route. Mon cœur bas la chamade et j’ai bien du mal à contrôler les tremblements de mes mains.J’arrive devant la grande maison de ma tante. C’est une vieille demeure tout en pierre, avec une sorte de petite tour à un angle, qui m’a toujours fascinée. Petite, je rêvais que j’étais princesse de ce petit château, et ma tante me laissait courir partout. Il y a bien longtemps que je n’y suis pas revenue. Je n’ai Escort pas le temps de sonner, que déjà la porte s’ouvre.« C’est bien tu es à l’heure. Entre vite. »Elle m’emmène dans le salon et m’offre un thé. Je ne peux pas cacher très longtemps l’angoisse qui me ronge. Mes mains sont devenues incontrôlables, mes joues doivent être violettes et mes jambes ne me soutiennent plus. Même ma voix est chevrotante.« Guillaume n’est pas là ? »« Non, il arrivera un peu plus tard. »« Je ne sais pas si c’est une si bonne idée. Je pense qu’il vaudrait mieux que je rentre. »« Allons, jeune fille. Il faut apprendre à maîtriser tes émotions. Tout se passera bien et en douceur. J’ai préparée une soirée magique. Fais moi confiance, veux-tu ? »J’acquiesce de la tête et tente de finir mon breuvage sans le renverser.« Il y a longtemps que tu n’es pas venue. J’ai refais toute la déco de ma chambre. Viens, je vais te montrer notre terrain de jeu. »Je n’en crois pas mes yeux. Cet endroit est magique. C’est une grande pièce carrée. Aux murs, des tentures mauves, qui font ressortir de vieux tableaux et des meubles très stylés. Aux fenêtres, de lourds rideaux d’un violet plus soutenu et ornés de fines cordelettes dorée. Au plafond, des grosses poutres en chêne semblent soutenir un ciel étoilé. Mes pieds s’enfoncent dans une moquette d’une épaisseur impressionnante. Et enfin, éclairé par une cinquantaine de bougies dispersées dans la pièce, trône au centre un gigantesque lit à baldaquin, sortie tout droit des « mille et une nuits ». Les montants sont finement sculptés de petites scènes érotiques à peine visible si on ne les cherche pas. De grands voiles de soie font le tour de ce beau navire, dévoilant par transparence une énorme couette rouge, recouverte d’une multitude de coussins de toutes tailles et de toutes formes. Valérie, derrière moi, m’enlace et m’embrasse dans le cou. Je suis tellement fascinée, que je n’y prête même pas attention. Une de ses mains caresse maintenant mes seins, tandis que l’autre s’attarde sur mon ventre. Une douce chaleur commence à m’envahir.« Ça te plait ? »« C’est magnifique ! Je crois rêver. »« Et ce n’est que le début. »Elle m’emmène jusqu’au lit. Toujours émerveillée, je prend la soie et caresse mon visage avec le tissu. Dans un coin des bâtons d’encens diffusent un doux parfum exotique. Doucement, elle fait descendre la fermeture éclair de ma robe, la fait glisser sur mes épaules et la laisse tomber à terre. Ses yeux brillent, reflétant les flammes des bougies. Son sourire, rempli de tendresse, m’apaise. Je me sens bien. À mon tour, j’effeuille cette merveille, la débarrassant de son chemisier et de sa jupe. Les remparts de nos sous vêtements tombent rapidement. Nos peaux fébriles se touchent de nouveaux… enfin ! Le souvenir de nos deux corps ce caressant, m’a hantée pendant ses trois semaines. A de nombreuses reprises, je me suis masturbée comme une démente, en pensant à ses instants de bonheur. Je suis si heureuse de pouvoir de nouveau caresser sa peau satinée et goutter ses lèvres chaudes. Nos doigts s’égarent dans nos intimités, nous buvons nos jouissances, clitos et tétons sont triturés, tirés, branlés. C’est mon corps couché sur celui de Val qui se libère le premier. Un doux et long orgasme traverse mon ventre, mes tripes. Mes jambes se tendent, mes fesses se contractent puissamment et je sens ma chatte s’emplir de ma liqueur. C’est au tour de Val d’exploser et comme deux femmes serpents, nous ondulons de longues minutes, afin que nos sexes se frottant l’un contre l’autre, mélangent bien leurs amours. Nos baisers sont fougueux, presque sauvages, tout comme nos caresses qui sont plus prononcées, plus directs, plus franches. C’est avec un sentiment de plénitude que je glisse sur le coté et tenant la main de Val, nous restons ainsi couchée cote à cote durant de longues minutes.« Manon…c’est l’heure. Reste ainsi, je vais devoir te laisser un petit moment. »Elle lâche ma main, me donne un doux baiser sur le front et sort de la chambre sans bruit. Je me sens un peu perdue. Je m’assoie à genoux au milieu du lit. J’écoute le moindre bruit, mais rien. Rien que ma respiration et mon cœur qui tape dans ma poitrine, à s’en décrocher. J’ignore totalement ce qui m’attend. Peut-être aurait-elle dut m’en dire plus ? Trop tard. Il me faut maintenant lui faire une confiance aveugle.Lorsque la porte s’ouvre, j’att**** un gros coussin et le presse contre ma poitrine. Valérie entre, suivit de cinq hommes. Je n’en crois pas mes yeux. Ils sont nus. Où plutôt quatre d’entre eux le sont. Ils encadrent un cinquième homme, qui lui, porte une longue cape noir et un bandeau sur les yeux. Arrivé à un mètre du lit, je le reconnais. C’est Guillaume. Je m’apprête à dire quelque chose, mais Valérie, guettant toutes mes réactions, me pose un doigt sur les lèvres pour m’en empêcher. Les quatre hommes l’aident à monter sur le lit, debout, puis ils l’adossent à un des montants du lit. Valérie défait le nœud qui retient la cape et mon frère m’apparaît nu. Ses mains sont attachées, dans son dos, au montant du baldaquin. Puis, comme une chorégraphie bien réglée, deux hommes se placent debout sur la droite du lit et les deux autres font la même chose sur la gauche. Je n’ai jamais été aussi troublée, d’autant plus que Escort Bayan ces messieurs qui me dévisagent, ne peuvent cacher leurs « sentiments » à mon égard. Mon frère, lui, semble être au repos total.Valérie, s’est agenouillée derrière moi. Tout en me chuchotant à l’oreille, elle me retire le coussin que j’agrippe depuis tout à l’heure. D’un coup et presque ensemble, j’aperçois les quatre membres se redresser d’un cran, à la vue de mon corps qui leur est enfin dévoilé.« Ne parle pas, ne dis rien surtout. Guillaume ignore encore que tu es là. »Elle prend mon poignet et tend mon bras vers lui. J’ai trop peur, je recule. Val n’insiste pas, et me laisse contempler mon frère. Puis, hésitante, je m’approche de ce corps offert. Je pose timidement mes mains sur ses cuisses et anxieuse, je caresse ses jambes, jusqu’aux mollets. Elles sont fermes, musclées et recouvertes d’une douce couche de poils souples. Quand je relève la tête, je me retrouve face à son membre, qui me laisse penser qu’il a apprécié mes caresses. Forte de cet encouragement, je m’attaque maintenant à son torse, malaxant sa poitrine, pinçant légèrement ses tétons. Puis, je les lèche, les suce, les aspire. Sa respiration s’accélère. Je colle sa queue entre mes seins, appuie sur ses fesses pour le plaquer contre moi et le masturbe de ma poitrine. J’embrasse et lèche son ventre en salivant. Son sexe est désormais gonflé et dur. Son gland frappe avec force mon menton. Je penche la tête et le fait glisser entre mes lèvres. Puis, descendant de plus en plus, je finie par engloutir son membre tout entier. Tout en suçant guillaume, deux hommes me place en position de levrette. L’instant d’après, un énorme braquemart me pénètre, me remplissant semble t’il le ventre tout entier. Les puissantes mains de l’homme, agrippées à mes hanches, donnent désormais le rythme de ma fellation. Guillaume, gémit de satisfaction. Je fais frétiller ma langue le long de sa queue et gobe tour à tour ses couilles grossies par l’excitation, puis, je remonte doucement vers le gland violacé. Je sens sa queue vibrer, tressaillir et avant que je puisse réagir, un jet de liqueur m’explose en plein visage. Dans ma chatte aussi, je sens la libération de l’homme qui me prend en levrette. De puissantes éruptions de foutre s’écrasant sur mes parois, rendent mon sexe encore plus chaud, plus lisse, plus bruyant aussi. Une onde de plaisir me parcoure l’échine et j’ai beaucoup de mal à ne pas crier mon plaisir. J’ouvre grande ma bouche pour recevoir les décharges suivantes. Je suce, j’aspire et bois mon frère avec avidité. Il pousse de longs râles qui en disent long sur le degré de sa jouissance. Le jus chaud qui coule dans ma gorge, à un goût de victoire, peut être le goût d’une liberté nouvelle. Son sexe se ramolli et je le presse des deux mains pour faire sortir les dernières gouttes de se nectar. Mais, Val me tire légèrement en arrière, m’obligeant à délaisser l’objet. Elle me couche sur le dos et toujours en chuchotant à mon oreille, elle s’allonge sur moi.« Alors ! Tu es contente ? ça n’a pas été si difficile, non ? »Son sourire est radieux. Elle aussi, doit penser avoir gagnée une victoire. Doucement, du bout de sa langue, elle entreprend le nettoyage de mon visage, souillé de semence. Sa langue descend dans mon cou, s’égare entre mes seins, glisse sur mon ventre et enfin titille mon clito. Un homme, sûrement plus excité que les autres, saute sur le lit, se place derrière ma tante, et s’enfonce, non sans mal, dans le fondement de celle-ci. Elle relève la tête un instant. Les yeux fermés, elle se mord la lèvre inférieure avec un rictus de douleur. Puis, ses traits se détendent. Elle ouvre les yeux, me regarde et me sourie avant de replonger entre mes cuisses. Elle fouille de sa langue, tous les recoins de mon sexe, aspirant tout le sperme qu’elle trouve. La vision de mon frère, toujours attaché, de cet homme qui sodomise ma tante, de celle-ci qui me fouille et des trois autres types qui me caresse en se masturbant, me propulse une fois de plus dans un océan de plaisir et sans pouvoir me retenir, je lâche un long cri de jouissance. Aussitôt, Guillaume redresse la tête. A-t’il reconnu ma voix ? Valérie aussi, pousse un long gémissement, tandis que son partenaire vide ses couilles au fond de son ventre. Après quelques minutes de repos, Valérie me fait m’asseoir sur mes talons, au milieu du lit, et se penche à mon oreille.« Écoute moi bien, Manon ! Je vais te bander les yeux et j’enlèverais le bandeau de Guillaume. Il ignore si il vient de se faire sucer par moi, ou par toi. Mais même si il s’en doute, te voyant les yeux bandés, il supposera que toi, tu ne sais pas qui tu as sucée. En aucun cas, tu ne dois retirer ton bandeau. »Je plonge dans le noir. Mon corps est glacé. J’entends ma tante murmurer, mais ce n’est plus à moi qu’elle parle. Pétrifiée, je reste ainsi, les mains sur mes genoux, essayant de décoder les sons, les mouvements autour de moi. J’ai senti mon frère bouger, peut-être même descendre du lit, mais je ne peux en être sur. Des lèvres chaudes se posent sur les miennes. Je répond au baiser et entrouvre ma bouche. Tandis que deux mains caressent doucement mes seins, une autre se fraye un passage entre mes cuisses. Je les entrouvre et me redresse pour donner Bayan Escort libre accès à ma vulve bouillante. Mes fesses s’en trouvent accessibles et deux autres mains entrent en action et me les écartes. Ma bouche toujours prise d’assaut par une langue fougueuse, laisse échapper quelques gémissements, quand un pouce force le passage de mon anus et disparaît en moi. Mes soupirs redoublent de puissance, lorsque deux doigts écartent mes grandes lèvres et me pénètrent en frétillants. Une première jouissance un peu timide, me fait pousser un petit « ouiii ! » de contentement. La bouche s’éloigne, les doigts libèrent mes orifices. Les deux mains ne caressent plus ma poitrine. Elles sont remontées à mes épaules et appliquent une pression sur celles-ci, me faisant comprendre qu’on désire que je m’allonge. Ce que je fais. Deux hommes me prennent sans trop d’égard, chacun leur tour, mes jambes levées bien haut au dessus de leurs épaules et leurs mains écrasant et pétrissant mes seins. Tout en me faisant baiser, je masturbe deux énormes pénis, que l’on m’a mis dans les mains. Bientôt, ma chatte se remplit de foutre, et mon corps reçoit plusieurs giclées de ce chaud sirop. La levrette prend le relais et c’est tour à tour que l’on gicle dans mon anus et dans ma chatte. Devant moi, sans relâche, il se trouve toujours une queue à sucer et à boire. Je suis comme une folle et ne compte plus mes spasmes de plaisirs. Mes orgasmes s’enchaînent à une cadence insensée. Je sens un corps s’allonger près de moi. On m’aide à l’enjamber et à m’empaler sur lui. Je pose mes mains sur son torse, espérant reconnaître la poitrine de mon frère, mais je n’en sais rien. Je commence à onduler pour bien frotter mes parois à toute la circonférence du sexe. Une queue vient une fois de plus, s’inviter dans ma bouche, alors que mes mains retrouvent deux candidates à la branlette. D’ondulations en succions, les quatre dards jouissent pratiquement en même temps, me noyant, m’aspergeant et me remplissant, dans la même minute. L’homme épuisé entre mes jambes, se retire et est instantanément remplacé par un étalon tout neuf. Ma chatte inondée, se remplie sans effort de se nouveau membre vigoureux. Je me prépare à une énième jouissance lorsque deux mains me poussent en avant et me plie en deux. Mes seins s’écrasent sur le torse velu et deux bras puissants m’entourent, m’interdisant tout mouvement. Sans me laisser le temps de réagir et sans aucun ménagement, mon cul se trouve sollicité et emplis d’une queue énorme. Déjà souillée, la douleur est moins forte. Seul la surprise est douloureuse. C’est la première fois que l’on m’inflige une double pénétration. Le choc passé, mon corps s’enflamme et j’explose en même temps que mes compagnons du moment. Un bien être immense m’envahit. Je suis bien, heureuse. Dégoulinante d’amour, je me laisse glisser sur le coté, exténuée. J’entends les respirations essoufflées des hommes qui m’entourent. Les yeux bandés, je compense mes sens par l’odorat. La sueur et le sperme forme un cocktail merveilleux et excitant. Soudain, il y a du mouvement autour de moi, suivis d’un grand silence. Plus un bruit. Je reste ainsi quelques minutes et n’y tenant plus, je retire doucement mon bandeau. Ma vue est trouble, mais suffisante pour voir que je suis seule. Je me frotte les yeux. Sur le lit, une feuille de papier ou est griffonné « Bravo. Signé Val ». Je me laisse retomber sur le lit et épuisée, je m’endors. Mon sommeil est agité par mille questions. Quelle fut la réaction de mon frère en me découvrant nue sur le lit ? M’a-t-il touchée, prise, embrassée ? A-t’il jouit en moi ou sur moi ? Est t’il resté ? N’est-t’il pas partie de suite en m’apercevant ? Que pense-t’il de moi à présent ? A-t’il… ? A-t’il… ? A-t’il… ?J’ignore combien de temps j’ai dormi, mais suffisamment pour que les traînées de sperme sur mon corps, aient eu le temps de sécher. Je me lève et sort de la chambre, à l’affût du moindre bruit. Mais je dois me rendre à l’évidence…je suis seule. Je reste sous la douche une bonne demie heure. Puis, je me rhabille. Sur la porte, un papier. « Claque la porte en sortant. Valérie ». Je rentre chez moi à pied, histoire de me ressourcer et de prendre le temps de trouver des réponses à mes interrogations. Comme d’habitude, la maison est vide. Depuis que mon frère a quitté la cellule familiale, je suis très souvent seule, mes parents préférant sortir de leur coté, sans moi. Ceci dit, je ne m’en plains pas. C’est très agréable, d’avoir une baraque rien qu’à soi. Je monte à l’étage et je rentre dans ma chambre. Je n’en crois pas mes yeux. Elle est remplie de roses rouges. Il y en a partout, dans tous les coins. Tous les vases de la maison ont été réquisitionnés. Des bouquets de dix, vingt roses, et plein d’autres éparpillées un peu partout. C’est splendide. Sur mon lit, déposée sur l’oreiller, il y a une enveloppe sous une rose blanche. Je la prend et l’ouvre en tremblant.Petite sœurJe ne sais pas si je dois te dire merci ou pardon.Alors je te dis merci et pardon.Guillaume qui t’aime.Nous nous voyons souvent, Guillaume et moi. Mais jamais nous n’avons reparlé de tout cela. L’expérience était bonne, mais ne doit rester que souvenir.Pour ce qui est de Tante Valérie, elle ne m’a jamais dévoilée ce qui c’était vraiment passé, quand j’avais les yeux bandés. C’est peut-être mieux ainsi. Je la vois régulièrement, seule ou en compagnie de ses nombreux amis. Nos après-midi et nos soirées sont torrides, pleines de douceur, d’amour et de sexe.D’ailleurs, je vous laisse, elle m’attend.

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