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les amis de mon père.

les amis de mon père.
Le printemps reprend ses droits, les nuits redeviennent douces et les vacances d’avril me donnent envie de profiter de la vie. Malheureusement pour moi, je suis coincée une semaine à la campagne pour surveiller la maison de mes parents partis en vacances. L’ennui me gagne rapidement et au bout de trois jours je craque, je décide de rejoindre la ville pour une petite soirée entre filles.

Ni une, ni deux, je prépare mon sac et me rend chez Claire, une amie travestie un peu plus âgée, elle a la délicatesse de me laisser la salle de bain pour me changer, j’en profite pour prendre une longue douche chaude et réparatrice, rapidement claire tape à la porte.

– Je peux te rejoindre ma belle ? Les filles n’arrivent que dans deux heures et je me sens un peu seule.

Si tu veux, entre !

Claire ne se fait pas prier, elle me rejoint sous la douche, je lui tourne le dos, sa main passe en douceur sur mon dos, je sens son souffle chaud sur mon cou, ses lèvres titillent mes oreilles.

– Hum, tu es toute douce ma chérie.

– Merci, lui répondis-je les yeux fermés et en poussant quelques petits gémissements.

Notre douche dure une vingtaine de minutes, Claire me massant et me passant délicatement du gel douche sur le corps. Heureuse, nous nous racontons notre vie actuelle et les derniers potins. Puis, d’une petite claque sur les fesses elle m’ordonne de sortir de la douche, invoquant sa facture d’eau. Elle me prend les mains et me fait asseoir sur un tabouret.

– Ce soir Mathilde, c’est moi qui t’habille ! Tu vas être ma Barbie, je vais te rendre la plus sexy possible, les filles vont être vertes de jalousie.

Ce n’est peut-être pas la peine, on est juste entre nous tu sais.

– Tut tut, ne gâche pas mon plaisir, sinon croise un peu les jambes, on dirait une fille mal élevée, rajouta-t-elle avec un petit sourire espiègle.

Claire commence par me tendre mon ensemble string et soutien-gorge push-up noir, un classique mais indémodable. Puis, elle me regarde l’enfiler lascivement en réfléchissant à la suite, tout en croisant les doigts comme pour faire un appareil photo. Enfin décidée, elle me tend une petite robe noire sexy. Puis lentement, elle me tourne face à la glace et commence à me maquiller d’un rouge à lèvre rouge carmin et d’un magnifique trait d’eyeliner noir pour faire ressortir mes yeux verts. Avec ma longue crinière rousse, je suis sexy à croquer.

Rapidement, les filles finissent par nous rejoindre. Aux menus : salades, rosées, potin, re rosés, histoires salaces, quelques baisées lesbiens, vins rouges. Autant dire qu’à la fin de la soirée je suis légèrement émoustillée et légèrement pompette.

Vu l’heure avancée, je ne prends pas la peine de me changer chez Claire, à la campagne il y a peu de risque que je rencontre du monde. Le retour se passe tranquillement, arrivée devant chez mes parents, je constate qu’il y a quelques voitures garées devant, mais je ne m’alarme pas outre mesure.

J’aurais dû, qu’elle ne fut pas ma surprise en rentrant dans la maison de constater que le salon était occupé par quatre hommes en train de prendre l’apéritif et de regarder une émission de foot sur l’écran incurvé. Je les regarde interdites, tous les regards sont sur moi, soudain l’un d’eux brise le silence.

– Je ne savais pas que la fille de Fred était là ce soir.

– Fred n’a pas de fille coupa, fermement Roger, le meilleur ami de mon père.

– Non mais attend tu te moques de moi, c’est le sosie de Linda avec quelques années de moins, si ce n’est pas sa fille c’est qui ?

– Fred n’a qu’un fils…

– Oh…

– Ne reste pas là, dit fermement Roger, vient t’asseoir et explique-nous.

Lentement, et rouge de honte de m’être fait grillée ainsi, je rejoins les amis de mon père qui me laissent une place au milieu du canapé. Honteuse, je baisse la tête, n’osant pas regarder les amis de mon père dans les yeux. Ayoub me tend un verre de Rhum, je le vide d’un trait, et tousse.

Doucement ma grande, ce n’est pas de l’eau, me dit calmement Roger en posant ses mains chaudes et rassurantes sur mon genou.

– Ça fait longtemps que tu te transformes en fille ?

– Depuis que j’ai 15ans, dès que j’avais un moment je me transformais en Mathilde, aujourd’hui je me sens plus femme qu’autre chose.

– Très bien Mathilde je comprends.

– Tu ne diras rien à mes parents, lui demandai-je inquiète.

– Rien de rien, tiens prend un verre avec nous Mathilde, on n’a pas tous les jours l’occasion de boire avec une belle jeune fille.

– Merci Roger, au fait pourquoi vous êtes là ?

– Fred ne t’as rien dit ? Il nous a proposé de passer regarder le match de la Ligue des champions chez lui, il a le câble et une belle TV.

Je me mordille la lèvre de honte, une conversation remonte rapidement dans mon esprit, comment ai-je pu oublier ça… Etrangement les amis de mon père me mettent à l’aise, c’est agréable de parler avec des hommes matures, mine de rien ils me font sentir femme, et leurs regards sur mes formes me font fondre intérieurement. L’heure passant, les publicités à la TV deviennent de plus en plus équivoques.

– Appelle le 32XX et retrouve les filles les plus chaudes du moment ! Elle te fond des shows en direct sur l’écran de ton smartphone, dit une voix sexy à la TV qui place un silence dans la pièce.

– Nous, on n’a pas besoin d’appeler une fille chaude, on a Mathilde sous la main, rigole François. Regardez comme elle laisse Roger lui peloter les cuisses. Tu nous fais un petit show Mathilde.

Ma première réaction et d’avoir un petit rire crispé, puis de constater qu’effectivement la main de Roger se balade depuis un bon moment sous ma robe, sans compter que mes propres mains sont posées sur l’entrejambe d’Ayoub. Je me remords la lèvre, je sens que la soirée peut vite dé****r… Les hommes scandent mon nom. Non je ne peux pas… ah tiens, je suis debout… ils sifflent, je souris. François zappe sur un film érotique pour me mettre dans l’ambiance.

Je ne me contrôle plus, je suis au milieu de mon salon, je danse lascivement, j’aguiche des hommes qui ont l’âge de mon père. Prise d’un coup de folie, je fais tomber ma robe au sol et me retrouves-en sous-vêtements sexy au milieu d’hommes en rut. Cette fois c’est fini pour moi, c’est sûr ce soir je passe à la casserole mais j’en ai l’envie. Je fais un lapdance à Roger, je sens son désir sous son pantalon. Je remonte mon string à hauteur de son visage, puis délicatement me retourne pour m’asseoir à califourchon sur lui. Il me fixe intensément, n’y tenant plus, ma bouche va att****r la sienne, sa langue s’ouvre un passage, et pendant une minute nous nous roulons une pelle mémorable sous les sifflets des deux autres hommes.

Soudain Roger me repousse, ses bras se posent sur mes épaules, d’une pression il m’oblige à m’agenouiller devant lui. Lentement sa main descend vers son pantalon, il descend sa braguette, j’ai compris le message.

Mes mains tremblantes finissent le travail, le sexe en semi-érection de Roger se dresse devant mon visage, il a une odeur forte, il me rend folle de désir. C’est ma dernière occasion de ne pas passer pour une salope, mais c’est trop tard. Je pose un baiser délicat de mon rouge à lèvre rouge carmin sur le gland de Roger, il pousse un soupir de plaisir. Petit à petit ma langue s’égare sur son gland, qui finit rapidement par atterrir dans ma bouche. Je le suce amoureusement. Parfois ma langue s’égare sur ses bourses.

– Ah la salope ! Elle suce comme une reine, ma femme ne lui arrive pas à la cheville.

– Visiblement la petite n’en ait pas à se première, ricane François.

– Le pire c’est qu’elle ressemble vraiment à sa mère, rajoute Ayoub, j’ai l’impression de voir Linda en train de te tailler une pipe.

– J’ai toujours rêvé que Linda me suce, elle a une vraie tête de chienne.

– Eh ! Vous parlez de ma mère ! dis-je à moitié indignée.

– Oui oui, suce-nous ma petite chérie, tu as du boulot là ! regarde François et Ayoub t’apportent des nouvelles friandises.

Effectivement, les deux autres amis de mon père qui s’étaient contentés de me mater tailler une pipe à Roger, pointent maintenant leurs sexes en érection sur moi. Lentement, mes deux mains manucurées se posent sur leurs sexes que je branle délicatement, puis je dépose de rapides baisers sur les glands, comme pour accepter l’offrande. Enivrée par l’odeur, je suce goulûment, je frotte ses nouvelles queues sur mon visage, je suis au comble de l’excitation.

Visiblement l’effet de groupe désinhibe les hommes, ils se font plus crus, plus violents, je ne suis plus la petite fille de leur meilleur ami, mais une jeune chienne en chaleur qu’ils doivent combler et à qui ils doivent apprendre les dures réalités d’une baise brutale.

– J’ai une idée, s’exclame François et si on faisait un concours de gorge profonde avec notre petite Mathilde ?

Ni une ni deux, François m’att**** violemment la tête et me la plaque sur sa bite en érection, je manque de m’étouffer, il pousse jusqu’à la glotte, ma bave coule abondamment sur son sexe, l’enflure en profite pour me pincer le nez. La tête me tourne, au bout d’une trentaine de secondes je lui tape les jambes pour lui faire lâcher prise. Il relâche son étreinte et me crache au visage, je m’effondre au sol et vomi la moitié du repas de la soirée sous les rires des hommes visiblement pas peu fiers d’eux, bon j’ai accepté d’être leur chienne il fallait bien que j’en paye un peu le prix.

– Bha ne t’inquiète pas ma petite Mathilde, tu laveras le tapis demain. Tiens, prend un verre.

– Bon, c’est bien beau tout ça, mais on lui fait quoi maintenant à notre pute de compétition ? s’interroge Ayoub. Mathilde une suggestion ?

– Je veux que vous me défonciez toute la nuit réussis-je à articuler. Prenez-moi comme la femme en chaleur que je suis.

A ces mots, les hommes affichent un sourire carnassier.

– Très bien, le but c’est donc de défoncer le petit cul sexy de Mathilde !

François en profite, il m’att**** les cheveux et me ramène à quatre pattes sur le tapis, il baisse d’un coup sec mon string et me l’enfile dans la bouche. Sans ménagement ? Il insère un doigt dans ma petite fente et commence à jouer avec mon petit cul. Pendant ce temps, Roger passe devant moi et se frotte le sexe sur mon visage, non sans me biffler au passage.

– Ça c’est de la cochonne, garde la tête baissée ! Il est beau le tapis ?

– Bon François, tu nous la sautes la Mathilde ? Tu as déjà trois doigts dans son cul, elle est suffisamment ouverte.

– Très bien, cambre-toi garage à bite, et monte ton petit cul vers moi.

A ses ordres, je pointe mes petites fesses vers mon amant, je le sens poser sa bite sur ma rondelle humide, puis d’un coup sec, il entre m’arrachant des cris de plaisir. Puis ses mains viennent se poser sur mes hanches, pendant qu’il me bourrine avec vigueur. Il me donne des grands coups de bites, ses cuisses claquent en rythme contre mes fesses rougies, je cris, je jouis, et François aussi, il s’écroule littéralement sur moi en remplissant mon cul de foutre.

Je suis en sueur, les jambes coupées, le souffle raide, mais ce n’est pas fini. La bite de Roger vient prendre position à la place de celle de son ami, il repousse le sperme chaud au plus profond de moi.

– Je vais te sauter toute la nuit ma belle !

– Oh oui défonce moi, je suis une chienne, ta chienne, fais-moi jouir mon beau !

Il me prend en levrette, il tire sans ménagement sur mes longs cheveux pour me faire cambrer au maximum. Il me défonce avec vigueur, nos sueurs se mêlent, ils m’insultent de tous les noms possibles et moi je l’encourage à continuer à me traiter de la sorte, au comble du plaisir. En transe je jouis sur le tapis, puis il me retourne pour m’asperger le visage de sperme chaud, collant et épais. Par réflexe, ma langue caresse le sperme ruisselant.

Puis c’est le tour d’Ayoub, j’ai le cul tellement explosé par les membres des amis de mon père que je ne sens plus grand-chose. Tellement excitée de m’être vue défoncer il jouit en moi rapidement, mettant fin rapidement au premier round.

Nous sommes maintenant avachis dans le canapé, reprenant notre souffle, le sperme a séché sur mes joues et il coule sur le canapé depuis mes fesses qui commencent à me faire légèrement souffrir, pourtant je suis heureuse. Je dois puer, ainsi couverte de foutre et de sueur. Un sourire espiègle sur le visage, je prends la main de mes amants pour les guider à ma suite dans la suite parentale

– Pas possible la petite en veut encore.

– Elle apprend vite la chienne, pire que Linda !

– Allons donc Messieurs, ne vous faites pas prier, on l’a défoncée sur le sol, maintenant c’est l’heure de la mettre au lit…

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