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au boulot : dans la piaule des ouvriers

au boulot : dans la piaule des ouvriers
Les ouvriers
L’algeco (1)

* * *

Un jour, je dus accompagner mon patron sur un chantier. Nous devions faire valider bon nombre d’imprimés officiels au chef d’équipe et à ses ouvriers pour régler le dossier de leur entreprise. Tranquille et ignorante de ce milieu, je descendis de la voiture de mon patron, après qu’il m’eut pas mal paluchée pendant le trajet. Il faut dire que ce jour-là, j’étais habillée très dignement : une veste croisée bien sage, une jupe noire légèrement au-dessus du genou (mais, ça, mon patron l’avait remontée presque jusqu’à ma culotte) des collants noirs, chaussés d’escarpins relativement bas.

Je n’avais donc rien de la femme fatale et je ne me doutais pas que quelque chose allait faire tilt. En effet, à notre entrée, après que les civilités d’usage aient été accomplies, je me sentis dévisagée et détaillée de la tête aux pieds par les ouvriers mais aussi de temps en temps par le chef d’équipe. Je feignais de ne me rendre compte de rien et passais les imprimés à mon patron. Cependant, je pouvais apercevoir les regards envieux de ces hommes manifestement peu habitués à voir ce genre de belle femme plutôt BCBG dans leur local. Ils lorgnaient avec une belle constance mes cuisses légèrement dévoilées et tentaient de deviner mon soutien-gorge à travers mon pull fin.

Il faut dire que cet Algeco n’avait pas l’air de respirer le luxe. Les photos au mur (quelques classiques femmes nues de calendrier ou de magazines érotiques), la saleté des restes de vaisselle et de la table, le côté miteux des couvertures et des armoires déglinguées, tout montrait un état scabreux. Le café qu’il nous servirent était bon mais les tasses étaient plutôt cradingues.
Enfin, nous en avons vite terminé et nous devions les quitter. Lorsque je fus debout, je sentis nettement le regard des ouvriers (une bonne proportion de maghrébins et de portugais… pas tous très jeunes) qui lorgnait et appréciait mes jambes fines et mes fesses à travers le tissu de ma jupe légèrement moulante.

Le chef d’équipe me souriait et il eut un éclair fabuleux dans ses yeux globuleux lorsque mon patron dit :
« bon, tout le dossier sera réglé d’ici quinze jours à trois semaines c’est Madame D… qui viendra vous faire signer les reçus et vous remettra les indemnités comme convenu »

Innocemment, j’aurais pu croire que c’était la perspective de recevoir des indemnités supplémentaires qui l’excitait, ce chef d’équipe bedonnant à la cinquantaine bien dégarnie, lui et ses ouvriers plutôt balourds. Je croisais alors le regard d’un vieil arabe, dont l’oeil s’était illuminé et la moustache frémissait à l’idée de me revoir d’ici peu.

Pendant tout le trajet du retour, cette idée m’obséda et mon patron fut surpris de trouver mon entrecuisses humide… Heureusement que je portais un collant car il aurait senti couler ma fontaine.
* * *
Les jours qui suivirent cette idée de retourner dans cet algeco m’obséda. Je craignais un peu d’y aller seule. Ou bien, n’étais-je pas plutôt excitée à cette idée ? J’avais lu des trucs… c’est souvent un fantasme de bourgeoise de se retrouver au milieu d’une bonne demi-douzaine de manants. Et là, ils étaient huit plus le chef d’équipe!… J’avais un peu peur. Non ! Je crois que cela était entrain de m’émoustiller… oui, oui, cela devenait mon fantasme et m’excitait de plus en plus chaque jour. Leurs regards! les exciter ! Hmmm ! oui… mais, s’ils me sautaient dessus? Non, ils n’oseront pas: c’est les sous qui les intéressent… et puis ils auraient peur, à cause de mon patron et tout ça… Ouais ! j’irai les aguicher!

* * *

Le jour J arrivait. La veille au soir, j’eus un mal fou à m’endormir. Comment allais-je m’habiller ? J’émit des hypothèses sur vingt tenues au moins. Mon mari ronflait et ne se doutais pas que j’allais agacer une dizaine d’affamés qu’il aurait aimé prendre en photos à la curée de sa bourgeoise, sûr !
« Il fallait que je sois sexy… Oui… mais pas trop. Je mettrai des bas. Non! ça c’est trop! Bof, pourquoi pas ? Bon mais alors, je mettrai une jupe noire, non… blanche… marron, bof… »

* * *
Je me réveillais le lendemain complètement surexcitée et déjeunait en tremblotant d’énervement. Le matin, à mon grand plaisir, je pus m’habiller seule car il partait plus tôt. En fait, je savais ce que j’allais me mettre. Je n’hésitais pas un quart d’heure.

Je choisis de mettre des bas mais pas des porte-jarretelles car c’était trop tentateur : j’optais donc pour des dim-up marron clair irisé, c’est le truc pour qu’ils croient que j’ai des collants… et puis peut-être qu’un ou deux verront que ce sont des bas. Je mets une petite culotte en nylon blanc très fine … au cas où. Ah! en haut, je mets un balconnet noir bien pigeonnant avec un petit chemisier vert, fin et soyeux, très légèrement transparent… on verra si je déboutonne un peu. La jupe sera plissée et blanche mais pas très courte, plutôt le genre fin et virevoltante mais quand même bien au-dessus du genou. Sûr, ils verront bien mes cuisses… surtout à contre-jour. Ma veste noire légère ouverte, et, aux pieds, des escarpins blancs, qui devraient les affoler car, en plus ils penseront que je suis coquine, à cause de la boue sur le chantier. Bon, je me regarde dans la glace, le tableau est joli, je vais leur faire de l’effet. Ah! si je pouvais les filmer pour garder un souvenir de cette « première »!

Je pris ma voiture afin de m’y rendre directement. Fébrilement, je rangeais LES dossiers, motifs de cette visite, et je partis.

En chemin, certains chauffeurs-livreurs reluquèrent mes cuisses dévoilées sous ma jupette mais je n’y prêtais guère attention.
Je garais donc ma voiture à une vingtaine de mètres de la baraque où l’autre jour mon patron et moi étions venus, prenant soin, si c’était possible, d’éviter les grosses flaques de boue. Deux ou trois ouvriers, qui s’affairaient dehors, me virent arriver et s’arrêtèrent de travailler pour mater ma descente. Ma jupette et mes escarpins blancs durent leur faire de l’effet car je les vis comme pétrifiés au milieu du chantier, n’osant avancer dans ma direction.

Prenant l’air le plus naturel possible, je me dirigeais d’un pas mal assuré vers l’algeco du chef d’équipe. Je zigzaguais tant bien que mal entre les flaques de boue, essayant de ne pas trop salir mes beaux escarpins blancs tous neufs (ceux-là même que m’avait achetés mon patron, il y a deux semaines pour fêter l’arrivée du printemps et une fellation de rêve dont je l’avais gratifié devant un de ses vieux clients médusé).

Alors que j’atteignais les marches du bloc, je vis que les ouvriers se décidaient enfin à venir et la porte s’ouvrit. Avec un large sourire, le chef d’équipe -une sorte de grand et gros balourd bedonnant (je ne l’avais pas vu aussi grand l’autre fois) pratiquement chauve avec un regard de cochon aux yeux globuleux, le type hispanique avec de grosses mains boudinées- me fit gentiment signe d’entrer. A la porte, il s’effaça pour me laisser le passage et je perçus son regard admiratif et envieux en direction de ma jupette et de mes escarpins, qu’il semblait désigner comme objet de matage et de curée à venir à ses ouvriers.

Mon entrée dans l’algeco, où régnait un brouhaha et une odeur âcre de fumée et de sueur mâle mélangées (les types jouaient aux cartes car c’était la pause pour certains), fut ressentie comme si la foudre leur était tombée sur la tête. Les conversations s’arrêtèrent net, les cartes restèrent en suspends, tous les regards convergèrent vers moi dans un silence lourd de sous-entendus. Les sept ou huit paires d’yeux étaient braquées sur ma jupette, mes escarpins et ma silhouette à contre-jour… -transparences ? J’avais voulu provoquer un effet, c’était réussi au-delà de mes espérances.

Après ce court -mais plaisant pour moi car j’avais pu vérifier mon impact de femme désirable sur ces types- instant de flottement, le chef d’équipe m’invita à m’asseoir à la place qui m’était destinée.
En effet, il me dirigea vers le « canapé » (!), en skaï plus que défraîchi, qu’il me montra du plat de la main:
« installez-vous ici, Madame, vous serez plus à l’aise ».

Ne voulant montrer aucune gêne, je ne fis aucune remarque et, dans un mouvement le plus élégant possible, je m’assois sans faire de manières sur cette banquette aux coussins fatigués recouverts d’une couverture bigarrée… mais à peu près propre.

Manifestement, il leur était difficile de commencer une conversation alors que je déballais mes dossiers, les rangeant au fur et à mesure sur un tabouret placé devant moi.
Voulant mettre mon monde à l’aise, sans toutefois déclencher quelque « hostilité »(!), je crus bon de dire :
« Attendez, avant de commencer, je voudrais d’abord nettoyer mes chaussures car je les ai un peu tâchées avec la boue… »
A ces mots, un vieil arabe bondit de sa chaise et m’interrompit dans mon geste esquissé pour me lever:
« Attendi, madam, j’y va vous li nittoyer, c’i ma spicialiti! »
« Oui, ne vous inquiétez pas, Mohammed il nettoie tout, c’est notre femme de ménage ici » me dit le chef d’équipe.
Je me dis en moi-même que Mohammed avait l’air bien gentil mais qu’il avait des progrès à faire comme femme d’intérieur.

Le gentil Mohammed -un arabe d’une soixantaine d’année, au teint buriné, sec comme un coup de trique, cheveux noirs courts et petits yeux plissés- se précipita vers moi. Il s’agenouilla devant moi et m’aida à enlever mes escarpins blancs et s’en saisit délicatement d’une main, comme s’ils étaient en cristal, tandis que de l’autre main il fit glisser un coussin sous mes pieds.

Le reste de la chambrée ne pipait mot et m’observait, tout en zyeutant mes pieds déchaussés et ce qui les surmontait, mes mollets, la naissance de mes cuisses et la jupette plissée blanche.
Tout l’Algeco n’avait d’yeux que pour mes jambes! Les huit regards, plus salaces, vicieux et gourmands les uns que les autres, convergeaient vers mes pieds déchaussés, mes mollets et la naissance de mes cuisses galbés par mes dim-up irisés, ma jupette blanche plissée, à la fois très sexy et très BCBG.

Pendant que Mohammed se dirigeait vers l’évier et entreprenait de nettoyer soigneusement ces chaussures sexy avec une petite éponge et un torchon, j’embrayais tout de suite la conversation sur l’objet de ma visite :
« Bon, tout est réglé. Le patron est allé retirer les imprimés visés par l’administration… ils sont tous signés et les fiches de vos indemnités sont agrafées à chaque dossier à votre nom… »
Un « ah! » collectif de satisfaction accueillit mes propos et de grands sourires illuminèrent ces faces peu engageantes. Et ils firent mine de tous se lever.
Je repris :
« Attendez! Vous allez venir à tour de rôle signer les reçus… je vous appellerai, c’est classé par ordre alphabétique »
Et là, une pensée dingue m’assaillit: j’imaginais brusquement que tous ces ouvriers arabes, turcs, portugais et blacks défilaient devant moi bitte à la main et qu’à tous je suçais leurs gros glands odorants. Cette idée folle me laissa muette un instant…
Et si eux, ils pensaient la même chose que moi en ce moment?

Le chef d’équipe m’interrompit dans mes pensées salaces:
« Attendez, Madame! Comme nous avons toujours des problèmes avec l’agence d’intérim ou la police, nous voudrions enregistrer cette remise des dossiers, comme ça on aurait des preuves, si jamais ils ne nous croient pas ».
Disant cela, il me montra sur ma gauche un caméscope fixé sur un pied, dirigé vers le canapé où je me trouvais. Je ne l’avais pas remarqué en arrivant, tiens!
«Vous êtes d’accord? » poursuit-il en s’en approchant.
« Bien oui, vous avez raison, il vaut mieux être prudent ».
Satisfait, le gros chef d’équipe enclencha le caméscope qui, en silence, commençait à tourner.
« Nous sommes le 25 avril 19.. » commença à parler le chef d’équipe, Manuel Hernandez, en exhibant devant l’objectif le journal du jour et sa montre.
Quand soudain :
« Attendi, avant di commencer »
Mohammed revenait vers moi, tenant mes escarpins à la main comme si c’étaient des objets précieux.
Et, sous l’œil indiscret de la caméra, il entreprit de me rechausser.
A nouveau, il s’agenouilla, passa délicatement sa main gauche sous mon peton gracile, qu’il caressa subrepticement et y enfila la chaussure sexy dans un silence pesant. Les autres observaient et devaient l’envier. Il ôta le coussin et le talon de l’escarpin claqua d’un petit bruit sec et érotique sur le sol de l’algeco.
Mon autre pied était en l’air. Mes deux genoux, donc les cuisses, étaient décalés; ceci ouvrait l’angle de vue à mon Mohammed agenouillé mais aussi au chef d’équipe debout près de moi et peut-être même aux deux ouvriers assis en face, de l’autre côté de la pièce. En tout cas, le « Momo » ne laissait rien paraître. Comme une véritable servante, il se pencha un peu plus -sa tête était presque sur mes genoux- et empoigna délicatement mon autre pied. Le contact de ses doigts recourbés et de la paume de sa main avec ma plante de pied et mes orteils au travers de l’immensément doux tissu des bas m’excita -et probablement lui aussi. Il présenta l’escarpin; il me semblait agir plus lentement que pour le premier, peut-être voulait-il faire durer le plaisir?

Je pensais à ces images qu’enregistrait le caméscope. Sûr que cela plairait à mon mari de les voir: un vieil arabe à mes genoux, tout près d’embrasser mes cuisses, mon escarpin blanc dans sa menotte bronzée et les caresses à mon pied! Cela me faisait penser aussi au vendeur du magasin de chaussures, lorsque nous y sommes allés avec mon patron. Combien de fois avait-il vu ma culotte et même ma chatte mouillée par transparence, tellement la situation était chaude? Je me souviens même d’avoir posé mon pied déchaussé sur sa bitte, pendant qu’il m’essayait l’autre chaussure en caressant mes mollets. Ouais, j’avais senti sa bandaison dure sous ma plante de pied excitée à travers le nylon des bas. Mais ici, il ne saurait être question de faire la même chose… pourtant l’idée et l’envie me venait à l’esprit. Oui, sûr! Je leur demanderai la cassette vidéo et je montrerai ces images à mon patron. Il va aimer et il sera agréablement surpris quand je lui dirai que c’est un enregistrement pour preuves ! ! !

En tout cas, Mohammed m’avait mise en condition. Après avoir longuement caressé mes pieds, admiré mes jambes, mes cuisses et très certainement ma culotte, il se releva lentement et la séance « administrative » put enfin commencer à la grande satisfaction du chef d’équipe, qui s’imposa pour commencer par lui. Il signa le papier sur le tabouret, penché vers moi et je vis son regard vicieux plonger entre mes deux cuisses qui, bien que serrées, durent lui laisser le loisir d’apercevoir loin… très loin, peut-être jusqu’au liseré des bas.

Alors, je les appelais tous à tour de rôle.
« Abderrahmane Kader… Benjemoul Ali… Dos Santos Carlos… » Ils étaient huit et cela prit une bonne vingtaine de minutes. Tous me souriaient et me remerciaient, comme si l’argent sortait de ma poche! Beaucoup -tous?- lorgnèrent mes cuisses, ma jupe mais aussi et surtout mon chemisier. En effet, par en-dessus, ils devaient avoir une vue plongeante dans mon décolleté car ce chemisier était boutonné seulement à hauteur du soutien-gorge. D’en-haut, non seulement la dentelle noire de ma pièce de lingerie judicieusement choisie était nettement visible, mais à la faveur de mes mouvements les globes blancs de mes seins pouvaient être détaillés en quasi totalité et l’on apercevait même la pointe du téton affleurer au ras du balconnet.
Par contre, je n’eus pas l’impression qu’ils aient été nombreux à se rendre compte que je portais des bas: le jeune portugais oui sûr car j’ai dû un peu écarter pour ramasser mon stylo; un autre arabe aussi, Mouloud, car en tournant une page du dossier j’ai soulevé ma jupe (peut-être qu’à ce moment-là les autres on vu que je portais des bas ? non, je ne crois pas, enfin… ah! si peut-être le black assis sur ma gauche, ce grand gaillard de Youssouf). Tout ça, coquine que je suis, je le savais et j’entendis quelques déglutitions fortes bien plus explicites qu’un long discours sur l’excitation provoquée chez ces mâles.

Je rangeais mes dossiers et me disais que j’allais repartir car avec cette dizaine de bonshommes, je ne voyais pas comment faire. Remarque, je n’avais pas vraiment envie de partir.
« Bien, tout est en ordre maintenant… j’espère que vous n’aurez plus de problèmes… heu… si vous en aviez, appelez au bureau… »

Allais-je me lever comme ça? Je ne savais comment conclure, surtout que j’avais bien envie de rester un peu sous le regard de ces maghrébins en mal de femelle. Je regardais ma montre.
Ce fut Mohammed, encore lui, qui sauva la situation :
« Vous prendri bien un’ tass di café avant di partir, Madam’? »
Evidemment, je dis « oui » car je n’attendais que ça.

Ils avaient dû préparer leur coup car une cafetière pleine était allumée. En tout cas, dix secondes après, le même Momo me tendait une tasse de café bien noir, sous le regard enchanté des autres, qui me lorgnaient en se disant que c’était chouette que je reste quelques instants dans ce bloc avec eux. De toute façon j’avais envie qu’ils me matent, j’avais un désir profond d’exciter ces types qui avaient peu l’occasion de voir des jolies femmes de si près, j’avais l’impression de faire une bonne action.

« Hmm! il est bon… vous n’en prenez pas avec moi? »
« Si, si » répondirent plusieurs voix.

Une petite conversation s’engagea sur des banalités avec ces gaillards et moi, seule sur ce grand canapé. Lorsque j’eus finis de déguster leur excellent café, je reposais la tasse sur la table devant moi. Pour accomplir ce geste, je dus me lever un peu mais pas totalement. Mes fesses décollèrent du canapé accompagnées d’un mouvement ample de ma jupette blanche plissée. Sur les deux côtés, les deux blacks à ma gauche, Youssouf et Joseph, mais aussi Carlos, le petit portugais, et Kemal, ce gros turc sur ma droite lorgnèrent avec insistance mes cuisses.
Et, probablement à leur grande surprise, je me rassis un peu plus au fond du canapé, la jupe à mi-cuisses et reprit la conversation banale sur leurs conditions de travail et de séjour en France.
« Vous ne vous ennuyez pas trop ici? »
« Ouais, non, on joue souvent aux cartes…
« On va au marché… »
« Le boulot nous prend du temps »

« Mais, vos femmes sont restées au pays, dis-je »
« Ah ça, oui; c’i sur M’am, ici on n’a pas d’i fam »
Un lourd silence accompagna cette question et sa réponse. Coquine, je continuais sur ce sujet :
« Mais, ça ne vous manque pas trop? »
… silences, déglutitions, les hommes me dévoraient du regard. Ils devaient se demander si je les provoquais ou si j’étais innocente.
« On a des revues, dit le chef d’équipe, et puis des fois, on va au… enfin, quoi, il y en a qui vont voir… »
« Les prostituées? » répondis-je, avec un peu de rose aux joues.
Des hochements de tête silencieux d’approbation avouèrent.

Voyant que cela les gênait et profitant du fait que Momo, deux arabes et le chef d’équipe étaient toujours debout, je dis:
« mais, venez vous asseoir… »
et, montrant les places vides sur le canapé à côté de moi:
« je ne vais pas vous manger… ce grand canapé pour moi toute seule! venez là! »
Interloqués mais enchantés, ils vinrent timidement s’asseoir à mes côtés en m’interrogeant :
« vous alors, vous n’êtes pas comme les autres, vous n’êtes pas raciste pour deux sous? »
«Non, non, vous savez, pour moi vous êtes comme tout le monde»

Là, j’avais totalement détendu l’atmosphère. Le gros balourd de chef d’équipe s’approcha de moi sur ma droite et deux autres arabes se mirent sur ma gauche. Momo, le serviteur, était resté debout. Alors, j’en rajoutais :
« Venez aussi, Momo, on va se serrer un peu »
Et je joignis le geste à la parole. M’écartant sur la droite, je fis une toute petite place entre l’arabe le plus proche et moi. Ce faisant, je me collais presque contre le chef d’équipe, dont je sentis la chaleur moite. Alors que les autres approchaient leurs chaises du canapé, un peu gêné, Momo vint s’asseoir. Sa main toucha ma cuisse puis il s’enfonça dans le canapé, sa propre cuisse collée contre la mienne, hanche contre hanche.
La « discussion » reprit un peu et Kemal, le turc en profita pour rapprocher encore plus sa chaise du canapé et vint se placer pratiquement face à moi devant la table. D’où il était, vu que je m’étais un peu plus enfoncée dans le canapé pour m’adosser, sa vision de mes cuisses devait être profonde. En tout cas, il matait ostensiblement et je ne fis rien pour le décourager.
Un silence s’ensuivit car ces mâles se demandaient s’ils pouvaient passer à l’action… j’en avais de plus en plus envie.
Utilisant sa position stratégique et hiérarchique, le gros chef d’équipe tenta la première « incartade ». Il posa sa main sur mon genou, à la naissance de ma cuisse et me caressa le bas, sous les regards inquiets et envieux des autres. Je me laissais toucher.

Ce fut le signal de la curée, du déclenchement des hostilités.

Rapidement, très rapidement, j’eus cinq ou six mains sur mon corps. Alors que la main du chef d’équipe remontait le long de ma cuisse droite, en retroussant un peu ma jupette, Momo caressa mon sein gauche, l’arabe -Ali-, assis à sa gauche, plongea un peu sur moi et palucha mon autre cuisse. Le turc, face à moi, insinua ses deux pognes entre mes genoux et à l’aide de ses paumes écarta un peu mes jambes pour caresser l’intérieur de mes cuisses et dévoiler ma culotte aux yeux des autres qui s’étaient levés et approchés. Je sentis aussi une main venir s’insinuer dans le creux du canapé et peloter mes fesses. Je leur souris à tous et me laissais aller en m’enfonçant encore plus dans le canapé.

Profitant de cela, le chef d’équipe, aidé par Momo, m’enleva ma veste qui alla s’échouer sur un dossier de chaise. Une autre main déboutonna aussitôt mon chemisier. Mon balconnet de dentelle noire apparut au grand jour et mon turc remontait ma jupette, m’écartant encore un peu plus les jambes. Les deux blacks s’étaient joints au groupe, maintenant les huit ouvriers et leur chef d’équipe m’entouraient et m’admiraient. Alanguie, paluchée, offerte, je leur proposais un spectacle de rêve.
« Regardez-moi, profitez-en, rincez vous l’œil, je vous plais? »
Ce fut une bronca, ponctuée de cris dans des langues que je ne connaissais pas et de « bien sûr , oh oui, ki vous zet bel! ah! oh! »
Je les avais provoqués mais ils me respectaient toujours. Cela devenait follement bon et érotique. Ces ouvriers, sevrés de vraie femme, pouvaient se régaler de mater et même de toucher une belle bourgeoise comme celles qu’ils lorgnaient dans la rue sans aucun espoir de concrétiser quoi que ce soit. J’étais heureuse de leur offrir ce plaisir des sens: de la vue et du toucher. Je sentais leurs mains partout, j’adorais cela!
Sans me demander mon avis, un black et le turc avaient sortis deux appareils photos et commencèrent à faire crépiter leurs flashs. Je souris aux objectifs et exposais généreusement mes cuisses, ma jupette retroussée, mon soutien-gorge dégagé. Ce fut une véritable séance de pose érotique pour ces manants.
« Ouéas, Madam’ cela nous feoua de bôh souweni’ » me lança le gars Joseph, la bave aux lèvres. Ils me refirent même me lever pour me prendre en photo de pied en cap, bien campée sur mes escarpins blancs, avec ma jupette retombée cachant un peu mes cuisses, puis relevée par les mains baladeuses des autres, en soutien-gorge seulement; avec des pognes sur mes seins.
« Viens, Momo, on va faire une photo souvenir pour épater tes copains des autres chantiers » dis-je en attirant Momo vers moi et l’obligeant à se lever. Je me collais contre le vieil arabe, je l’embrassais à pleine bouche, mes seins aplatis contre son torse et ses deux mains sur ma jupe. Mais bien vite, je sentis cette adorable et excitante jupette blanche être soulevée dévoilant ma culotte de nylon blanc et bordée de dentelle aux regards indiscrets des objectifs des deux appareils.
Quand leurs pellicules furent achevées, je me laissais à nouveau propulser sur le canapé où le chef d’équipe s’empressa de me prendre en mains… normal puisqu’ils l’appelaient « Manu »!
Alors là, j’étais aux anges. Je fermais les yeux et je sentais des mains partout sur moi. Mes cuisses bien entendu étaient la cible privilégiée. Les gars caressaient mes bas et la chair blanche au-dessus. Des doigts s’insinuaient vers ma culotte. Une et bientôt deux mains paluchèrent mes fesses. D’autres couraient sur mes hanches et ma taille, puis s’attaquèrent à mes seins en faisant affleurer les tétons au ras de la dentelle du balconnet.

Un instant, j’ouvris les yeux : ils étaient tous là à l’assaut, les huit ouvriers et leur chef d’équipe. Cela devenait chaud… j’avais un petit sentiment d’étouffement mais c’était bon d’être paluchée de toutes parts par ces types heureux comme des gosses. Ils avaient un beau jouet entre leurs mains et ils ne se privaient pas. Ils se bousculaient un peu pour mieux me toucher et profiter de toutes les parties de mon corps. Je sentis même l’un d’entre eux qui caressait mes pieds, ses doigts insinués dans la cambrure de mon peton dans l’escarpin et son autre main entourant ma cheville. C’était très très doux et surprenant. Je crois qu’ils faisaient durer leur plaisir si rare. Jamais ils n’avaient eu une telle occase.

Encerclée et bien en mains, je m’offrais totalement à eux me laissant faire pendant dix bonnes minutes. Je ne pouvais distinguer qui touchait quoi… mais que c’était bon d’être paluchée ainsi!

Ma chatte mouillée fut bientôt atteinte par deux mains bien distinctes, les cinq doigts de l’une couraient dans ma toison frisottée en relevant ma culotte pendant que le majeur de l’autre commençait lentement à se frayer un chemin entre mes lèvres déjà bien humides pour s’immiscer dans mon vagin. Je sentais aussi deux autres paumes visiter les deux globes de mes fesses par-dessus le nylon fin de la culotte, enfouies sous ma jupette remontée jusqu’à la taille ou presque.

C’est alors que je perçus une odeur plus forte. Un nouveau contact doux sur ma cuisse m’éclaira. Les bittes commençaient à sortir des braguettes et un gland se promenait sur mes bas. Ouvrant les yeux et tirant la tête d’entre ceux qui honoraient mes seins, je vis trois dards à l’air libre, tenus par des mains brunes qui les agitaient vers moi. Comme l’une d’elle était à ma portée, je m’en saisis aussitôt et commençais à la masturber doucement.

Ce fut un nouveau signal dans l’escalade! De mon côté, j’eus une méchante envie de tenir des queues. La bitte que j’avais saisie appartenait à un des arabes, à Ali je crois, et elle m’emplissait bien la menotte. Voyant cela, les autres s’affolèrent. Kemal, le turc, frottait son gland de plus belle contre mon bas, allant et venant à l’intérieur de ma cuisse. Mais, ce que je vis pointer sur ma gauche m’électrisa et m’affola : Youssouf le grand black tenait un véritable mastard et le pointait vers ma main libre ouverte; il déposa le bout de sa « matraque » dans le creux de mes doigts. Difficilement, je fis le tour de cette colonne de chair noire. Je n’avais jamais eu l’occasion de m’amuser avec un pieu noir de cette taille. Alors, tout en continuant de branler Ali, dont la tige durcissait dans ma main droite, je m’appliquais à caresser sous toutes ses coutures la bitte d’âne du noir. Je prenais un plaisir immense à affûter le gland rose dans son fourreau, à faire coulisser ce pieu black dans ma main blanche, à aller soupeser ces grosses boules noires.

Les autres évidemment ne restèrent pas inactifs. Toutes les braguettes s’ouvraient au fur et à mesure. Je lorgnais ces bittes qui m’étaient toutes promises. Manuel, le gros chef d’équipe, probablement jaloux du fait que j’ai commencé à masturber les deux gars, se mit à genoux sur mon côté. Pantalon à mi-cuisses, il tendit en direction du haut de mon corps, sous son bidon flasque, un boudin marron clair, surmonté d’un gland gros et déjà visqueux. Je sentis une forte odeur qui me dégoutta un peu. Ce dard salaud s’approcha de mon sein et Manu promena le gland sur le replat de mon soutif et le méat vint « embrasser » mon téton. Sur ma gauche, Mouloud, un autre arabe, vint immédiatement occuper la même position contre mon sein gauche, pendant que Kader, qui jusqu’alors paluchait mes fesses, frottait sa pine contre ma hanche, se servant de ma jupette pour l’envelopper. Il se branlait contre moi avec le fin tissu de ma jupe plissée bien enroulé autour de sa queue. Après, il m’en resterait des odeurs. Le jeune portugais, Carlos, essayait de se frayer un passage entre Manu et Ali sur ma droite; je le voyais se branler et agiter sa pine vigoureuse en direction de mon ventre mais il ne pouvait arriver à me toucher. J’eus pitié de lui et, délaissant un instant la queue d’Ali, je pris en main son dard jeune qui me plaisait beaucoup et je le masturbais avec application.
A mes pieds, Mohammed, toujours amoureux de mes pieds, avait sorti sa queue qu’il baladait contre mes escarpins et mes bas à mes pieds. De temps en temps, il insérait son gland sous la cambrure du pied, déchaussant légèrement l’escarpin pour qu’il puisse se branler dans l’espace réduit; le frottement de sa queue contre ma plante du pied et le cuir de l’escarpin devait l’exciter.
Seul, Joseph, l’autre noir échappait à ma vue. Je devinais sa présence derrière Momo et Kemal qui s’astiquait toujours sur la lisière de mes bas contre ma cuisse gauche. J’arrivais à distinguer la queue noire, impressionnante celle-là aussi, qu’il branlait lentement en cherchant à atteindre ma cuisse droite, gêné qu’il était par Ali, Carlos et surtout le chef d’équipe.

Ce dernier d’ailleurs ne me ménageait pas trop et sa queue puante s’approchait de plus en plus de mon visage. Je compris qu’il voulait, en tant que chef, être le premier à se faire sucer. Héroïquement, je l’embouchais malgré l’odeur. Surprise! le goût n’était pas si mauvais que ça. Alors, je lui commençai une fellation appliquée sur son gros boudin épais. Je dus ouvrir grand la bouche pour enfourner ce gros engin qui m’étouffait un peu. Cela dut l’affoler car ce vieux salaud m’enfonça son dard complètement au fond de la bouche en m’empoignant par les cheveux et il commença carrément à baiser ma bouche.
Pour me débarrasser au plus vite de cet engin qui m’étouffait, je trouvais la parade. M’appliquant au maximum, je distillais à son gland des caresses buccales savantes, assorties de coup de langue sur son méat. Le résultat ne se fit pas attendre longtemps. Hyper-excité par ma sucette (en moi-même j’étais sûre que cela devait faire des dizaines d’années qu’une aussi jolie femme -excusez mon immodestie, mais vu le bonhomme… ne l’avait pompé ainsi), il sentit vite qu’il aller disjoncter. Ses doigts se crispaient dans mes cheveux, il essayait de ralentir les mouvements de ma bouche en direction de son bas-ventre. Comme probablement il ne voulait pas déjà m’éjaculer dans la bouche, il se retira avant l’explosion. Etouffée, je laissais sortir le gland et je pus contempler toutes les queues qui m’entouraient tendues vers mon corps offert.

Evidemment, la place n’allait pas rester vide longtemps. Donc, je pris les devants en disant, essoufflée d’avoir sucé ce gros lard mais bigrement mise en appétit:
« J’ai envie de vous sucer à tous, vous voulez? »
« …? » un silence approbateur ponctua ma phrase et les types se regardèrent heureux et impatients.
Ce fut une belle bousculade qui m’affola un peu mais me plaisait beaucoup car j’étais heureuse d’avoir toutes ces queues à ma portée, de sentir ces odeurs fortes.
Je continuais et rajoutais : « Je n’ai jamais eu autant de queues autour de moi, mais j’ai envie de vous faire plaisir à tous, vos queues me plaisent… mais doucement, chacun à votre tour. »

La plupart étaient plutôt brunes mais deux, vous le savez, étaient de beaux objets d’un noir ébène avec de gros glands roses. La bitte d’âne de Joseph en particulier m’affolait; je tendis la main un instant pour la flatter. J’avais des pines de tous les côtés, deux ou trois tapotaient mon visage -celle de Mouloud sentait fort aussi et le gland humide glissait contre ma joue-, d’autres ballottaient près de mes menottes qui les saisissaient à tour de rôle. Je voulais d’abord les toucher toutes.

Les gars, satisfaits de ma proposition, me faisaient voir leurs engins bien tendus, certains se léchaient les babines, d’autres grognaient en arabe ou dans leur langue. J’entendais des « oh! », des « oui », « tiens »… et les bittes affluaient vers moi, toutes plus grosses les unes que les autres. Carlos, qui n’avait pas trop de place, enjamba ma tête et vint placer sa jeune verge vigoureuse sur mon front; je sentais mes cheveux lui caresser les couilles, il devait aimer car il restait ainsi.
Finalement, je me décidais par emboucher la queue d’Ali sur ma droite, la tête légèrement tournée. Cette bitte d’arabe était épaisse et très brune et dotée d’une odeur assez forte. Je me disais que j’étais une belle salope : c’est alors que je repensais au film qu’était entrain d’enregistrer le caméscope toujours branché. Assaillie de bittes, je devais avoir l’air d’une fieffée cochonne.

Pendant que je triturais les queues, leur mains continuaient à me posséder : la plupart tenaient leur tripe d’une pogne et se régalaient avec l’autre de la partie de mon corps qu’ils pouvaient atteindre. Ils se masturbaient lentement, attendant leur tour, en me faisant miroiter des pines d’enfer. L’affreux Kemal, avec ses petites moustaches, et le vieux Momo s’étaient installés sur mon ventre et dirigeaient leurs queues vers mes seins en faisant lentement aller et venir leurs doigts en gouttière enserrant les tiges turgides aux glands luisants. Tout en suçant Ali, je jetais un coup d’œil et je saisis ces deux pines un instant, un peu comme un guidon de mobylette et je me mis à les « traire ». Ils gémirent et se cabrèrent sous ma caresse.

Puis, relâchant ces deux, en saisissant d’autres sans les voir, j’interrompis ma sucette sur Ali pour en emboucher une autre sur ma gauche. Je ne savais plus à qui étaient les queues que je suçais car les mâles en rut tournaient autour de moi. Les odeurs devenaient de plus en plus fortes, cela ne me dégoûtait plus… au contraire, cela commençait à m’enivrer. Je suçais, je pompais. A un moment, je sentis celle de Carlos -lui n’avait pas bougé- descendre le long de ma joue. Inclinant ma tête en arrière, je léchais sa colonne veineuse et, les yeux rivés à ses couilles fermes et poilues, je gobais son gland, non sans avoir au préalable titillé son méat du bout de ma langue. Il plongea littéralement au-dessus de moi et m’enfourna complètement son engin au fond de la bouche. Maintenant, je le suçais forcée en reniflant l’odeur musquée de ses bourses écrasées sur mon nez. Une pine s’enfonça dans ma chevelure sur le côté, tandis que de l’autre un gland me caressait le lobe de l’oreille. Deux méats (étaient-ce toujours Kemal et Momo?) embrassaient mes tétons. Ivresse des queues!
Puis, enfin! je pus emboucher une des deux colonnes de chair noires qui m’attiraient depuis longtemps. Le goût fut différent mais le plaisir immense. Sentir ce gros bâton d’ébène coulisser entre mes lèvres fut un plaisir nouveau pour moi. Cela faisait si longtemps que j’en avais envie, que je m’appliquais autant que sur la pine de mon patron quand je le suce après le café ou le matin à mon arrivée, en digestif de mon petit déjeuner! J’entendis roucouler le noir -ce devait être Youssouf, je crois. Pendant cinq bonnes minutes, je dégustais lentement ce gros engin noir; je prenais un plaisir fou à sucer ce morceau de roi. Mes lèvres tournoyaient et enrobaient le gland, ma langue titillait le méat rose et d’un coup je pompais le plus loin possible en creusant mes joues au maximum : ce pieu noir m’étouffait presque mais je me régalais et continuais sans cesse une fellation appliquée.

A un moment, j’ouvris tellement grand ma bouche qu’un deuxième gland vint s’immiscer à la commissure de mes lèvres. Laissant un peu se dégager la queue noire, je m’occupais des deux bittes en même temps: ma langue roulait en léchant sous les deux glands de velours, qui peu à peu s’enfonçaient en même temps dans ma bouche grande ouverte. J’arrivais à sucer deux queues!

Après une bonne vingtaine de minutes d’orgie de sucettes qui me mit dans tous mes états et amena tous ces mâles affamés au bord de l’hystérie (il y en a que j’ai sucé plusieurs fois, j’en suis sûre!), je me sentis un peu soulevée. Des mains douces et rapides (trois, quatre, cinq pognes? plus?) enrobèrent mes fesses et descendirent ma culotte de nylon blanc et de dentelle complètement détrempée, pendant qu’une bouche s’accouplait à ma chatte. Des lèvres charnues et une langue délicate (et agréablement fouineuse) roulaient une galoche à mon minou humecté de cyprine. Je sentis la pointe du nez tournoyer dans mes poils blonds frisottés. Là aussi, ils se relayèrent pour me brouter le minou; je ne saurais dire s’ils y passèrent tous mais cela provoqua chez moi ma première jouissance. Lorsque des langues habiles me titillaient le clitoris, mes jambes enserraient mon lécheur et je pompais à ce moment-là le dard que j’avais en bouche avec une frénésie délirante.
Je n’y tenais plus et, interrompant mes fellations (peut-être le sucé du moment fut-il satisfait car il allait probablement partir plus tôt que prévu?), je donnais libre court à ma jouissance : je serrais entre mes cuisses le visage de celui qui m’achevait avec sa langue et me mis à jouir avec force gémissements, sous les encouragements de tous les ouvriers de la baraque.
« Hmm, hiii, hmmchhh, ouuuuuhhhh, hhhhuuuuiiii! »
La tête, probablement un peu étouffée de Momo -car c’était le vieil arabe qui m’avait amenée au septième ciel en me buvant-, se dégagea car l’étau de mes cuisses se desserra en fin de jouissance. Toujours, entourée des neufs bittes et tenue par de multiples mains, mon corps aussi léger qu’une plume fut repositionné sur le canapé. Accessible à tous, les yeux révulsés de plaisir, je distinguais tous ces glands plus turgides et luisants les uns que les autres, qui pointaient vers moi. Ma chatte dégoulinante de jus féminin et de salive baillait en haut du compas de mes cuisses généreusement écartées.

* * *

Ce fut ce gros salaud de chef d’équipe qui m’embrocha en premier sans coup férir. Sa tripe épaisse disparut dans ma foufoune et son bidon vint s’écraser contre mon pubis tendu. Il se régalait de me tringler à fond et je sentais son dard me remplir le vagin. Il me baisait sans fioritures, heureux de se payer du beau linge. Cuisses écartées, escarpins en l’air, je me donnais à ce gros vicieux sous les yeux concupiscents de ses ouvriers. Finalement cela ne me déplaisait pas de me faire prendre par cet hideux gros lard. Je scrutais son visage alors qu’il me baisait : cela m’excita.

Alors, commença la saga de la baise de la bourgeoise dans l’Algeco : arabes, blacks, portugais et le turc, tous allaient me piner sous toutes les coutures pendant plus d’une heure. Je leur appartenais aujourd’hui. Totalement abandonnée, je me laissais bourrer avec joie par tous ces types, qui s’en donnèrent à cœur joie en me pénétrant à tour de rôle.

En effet, trop excités et impatients, ils ne laissaient pas longtemps en place celui qui me pinait. D’un côté, cela permettait au soudard qui m’embrochait de ne pas arriver au seuil de jouissance, d’un autre côté, cela me procurait le double de plaisir. Les pines se succédaient en me faisant chavirer de plaisir. Des « flocs » et des « floutch » multiples accompagnaient les entrées et sorties des bittes dans ma chatte en feu. Mon minou pilonné en voyait de toutes les couleurs… surtout des foncées!

Je ne pouvais tous les voir mais j’en aperçus certains. Je me souviens des visages extasiés de plaisir, du sourire heureux du jeune Carlos, que j’embrassais d’ailleurs car il me plaisait bien. Il contrastait avec la tronche hirsute de Kemal, qui me bourra sauvagement. Certains y allaient avec respect, de peur de casser leur objet de plaisir. Les arabes ne furent pas si violents que je le craignais, au contraire même. La laideur de Mouloud lui donna des ailes de douceur du côté de la queue. C’était comme un dard de velours qui allait et venait dans mon vagin. Il me regardait effaré, extasié de pouvoir me baiser, il se regardait ramoner ma chatte et admirait sa propre queue brune coulisser entre les lèvres roses de ma chatte sous ma toison blondinette.
D’ailleurs les autres avaient compris le côté « historique » de la situation. En effet, j’entendis à nouveau claquer les objectifs des appareils photos et je vis crépiter les flashs. Le caméscope avait été rapproché et, par moments, certains s’en saisissaient pour filmer la scène incroyable.
Quand la bitte d’âne de Joseph se présenta enfin, j’étais suffisamment élargie pour la recevoir. Ce fut une lente et très agréable progression. Le morceau me subjuguais. Bien que je vienne encore de jouir sous les coups de pines des autres, je gardais encore des ressources pour m’affoler à nouveau. Je tendis mon bas-ventre vers le haut, mes jambes allèrent se nouer derrière ses reins où j’y croisais mes escarpins blancs. Ce dut être un plan merveilleux pour le cameramen de service (j’espère que des photos furent prises!): ce grand corps noir, adorablement ceinturé par mes bas marrons clairs, par mes godasses blanches sexy, par ma chair fraîche à sa ceinture; son dard noir et luisant avec son gland rose planté au milieu de ma toison blonde. Alors, je jouis intensément une nouvelle fois, en criant ce coup-ci:
« ohhhhhhhhhhhhhhhhh! ouiiiiiiiiiiiiiiiiii! qu’elle est grosse, ahh, ah, oui, encore, encoooooore,… oui i i i i i ! »
« AAAAhhh ! ouhhh! » et Joseph m’accompagnait en me besognant profondément. Je dus jouir au moins dix minutes!

Ensuite, le grand noir se retira et me laissa pantelante sur le canapé où je tentais de récupérer. Tous les mâles m’entouraient toujours avec leurs queues bandées vers moi. J’en voulais encore mais je ne savais plus trop où j’en étais, les yeux chavirés.

Alors qu’une photo venait d’immortaliser la pute bourgeoise de l’algeco, Ali et Youssouf me retournèrent et me firent mettre à quatre pattes sur le canapé. Aussitôt, un dard me pénétra en levrette m’arrachant un nouveau gémissement de plaisir. Là encore, ce fut une brève saga de pines dans ma chatte:
« Quel beau cul! » … « Oui, ci fess! y sa chatt! elle i bonn’ »
J’aimais entendre ces commentaires sur le plaisir que je leur donnais. Je me contentais de gémir pour qu’ils perçoivent bien mon plaisir à sentir leurs queues en moi.

Kader vint se placer près de moi et, peu à peu, se glissa sous mon corps en caressant mes seins et ma taille. Je le regardais en souriant et, comme ma fente avait été libérée, je m’enfilais moi-même sur sa tige dressée vers le plafond. Dans un « sfloutch » sonore, je m’empalais totalement sur sa queue; il me saisit par les hanches et me fit monter et descendre sur sa colonne de chair.
Alors, je sentis un autre gland se promener dans le sillon de mes fesses, qu’il humectait en répandant les humeurs mêlées de mon jus de femelle et les gouttes qu’avaient laissées mes baiseurs. Je me dis qu’aucun n’avait encore éjaculé et que j’en avais encore pour un bon moment.
Mouloud, car c’était lui, s’approchait de mon œillet. J’allais être prise en sandwich par deux arabes! En effet, appuyant lentement, alors que Kader avait ralenti sa cadence, son gland forçait peu à peu l’étroit passage. Fesses écartées par les pognes de Kader, mon petit trou se dilatait pour faciliter cette deuxième intromission. Je sentis la deuxième pine s’enfoncer avec douceur. Décidément, je prenais de plus en plus de plaisir à me faire prendre par les arabes. Ils étaient doux avec moi et profitaient pleinement de mon corps, sous les objectifs des appareils photos qui feraient taire les copains incrédules à qui ils me montreraient sans doute.
J’espérais moi aussi avoir un cliché de moi, prise en sandwich par deux arabes bien montés et un peu crades, pour pouvoir montrer ça à mon patron, à mon mari un jour…

Cette position leur plut beaucoup car, après les deux bougnouls, je passais entre toutes les pines par les deux trous simultanément. De temps en temps, j’étais même complètement cernée de queues, quand un troisième gars venait se faire sucer, pendant que deux autres me bourraient la chatte et le cul… Et… je jouis encore une fois, en gémissant et même criant un peu; ça, surtout quand je fus prise par les deux noirs… je crus mourir… et puis, non! Eux aussi y allaient avec douceur mais me firent jouir comme jamais! les deux verges d’ébène me comblèrent, je flottais de plaisir!

Après avoir subi ces neufs bittes de tous côtés, après avoir joui x et x fois, je m’allongeais sur le dos et avec un sourire esquissé, je les regardais tous et, accompagnant d’un geste des mains, je les invitais à revenir vers moi:
« Venez, je vous veux tous… j’aime vos queues… vous allez jouir maintenant… vous allez tous me gicler dessus! »

Ils étaient au bout et ce ne fut pas long à venir. Pour une fois, ce ne fut pas le chef d’équipe qui commença mais le jeune Carlos à qui j’avais empoigné doucement la queue. Trois allées et venues lui suffirent pour décharger sur mon ventre, son foutre faisant un petit lac dans mon nombril. Presqu’aussitôt mes seins furent aspergés par Ali et par une autre queue dont je ne vis pas le propriétaire. Des lézardes de sperme me décorèrent le visage, j’en bus même un peu car ma bouche était restée entrouverte d’extase. Ils me forcèrent à boire leur sperme mais j’étais devenue tellement salope, qu’ils n’eurent pas à me forcer beaucoup. Avec ma langue, je dégustais les dernières gouttes qui dégoulinaient, je léchais des glands, dont je ne voyais pas les propriétaires; eux, me caressaient les cheveux en accompagnant mes lichettes de foutre. Je sentis ma toison recouverte du foutre du gros lard de chef d’équipe qui m’avait pinée deux minutes de nouveau avant de décharger un demi-litre sur ma foufoune.

Je sentis une queue se frotter contre mes bas qui devinrent d’un seul coup bigrement poisseux. Momo, mon vieil admirateur, me baisa aussi deux ou trois minutes, puis se retira, fit glisser sa queue le long d’un de mes bas, enleva un escarpin et, sous mes yeux surpris, le remplit d’un foutre très crémeux!

Alors, Youssouf me gicla dessus. De la foufoune aux yeux, il m’arrosa copieusement. Je le regardais m’arroser et je me demandais quand il allait s’arrêter. Un vrai geyser multicolore! Un sperme blanc, crachant d’un gland rose, couronnant lui-même une queue noire… arrosant la femme blanche!

Comme, il me restait un semblant de soutien-gorge (la dentelle avait été dégagée et le balconnet était passée sous mes seins), ma jupette roulée à la taille et mes bas, non seulement ma chair mais aussi mes quelques vêtements furent totalement enspermés… tout comme mon visage et mes cheveux. Le cliché final dut être beau!
Alanguie, ouverte, offerte, entourée de bittes qui commençaient à ramollir -certaines étaient très belles ainsi, pendantes, encore grosses mais moins dures-, j’étais blanche de foutre de la tête aux pieds… et même dans mes chaussures! J’attirais tous les mâles arabes, blacks, turc vers moi; je caressais toutes ces grosses pines, flattais une dernière fois ces couilles velues, j’embrassais quelques glands odorants: dans cet algeco, ça sentait bigrement le foutre

Après cette orgie de fellation, de baise et de foutre, qui m’avait amenée plus d’une fois au septième ciel, les mâles enfin repus me laissèrent reprendre mes esprits. Certains m’embrassèrent comme pour me remercier de ce plaisir immense.
« J’aime vos queues à tous, hmm! que c’était bon! »
* * *

Au bout de quelques minutes, je me levais tant bien que mal. Sans me nettoyer, je laissais redescendre ma jupe, j’enfilais ma veste directement sur ma peau enfoutrée et je pris congé d’eux en leur laissant en souvenir ma culotte (elle avait disparu depuis longtemps!). J’offris mon soutien-gorge que j’avais dégrafé aus deux arabes qui, heureux du cadeau, me dirent : « on va li gardé en souvinir! dis fois, on l’accrochera au mur!»

Puis, une dernière idée me vint. De mon sac, j’extirpais une paire de ballerines. J’enlevais mes escarpins blancs et je chaussais ces petites godasses érotiques, tout en sentant aussitôt mon pied gauche baignant dans le foutre de Momo car mon bas était détrempé à la plante du pied. Je pris l’escarpin plein de foutre et je le rangeais dans mon sac en disant: « moi aussi, je garde un souvenir juteux! ». Et, sous leurs yeux ébahis, je tendis l’autre escarpin à Momo : « tiens, pour toi et tes nuits en pensant à moi, tu pourras gicler dedans en contemplant mes photos ».

« Vous me ferez un double de la cassette du film et des photos ? »
« Oui, oui, bien sûr, Madam’… gratuit pour vous »
« Téléphonez discrètement au bureau pour dire quand elles seront prêtes, je passerai les chercher et… je vous sucerai encore. »

Et je quittais l’algeco… presqu’à regrets, mais épuisée, en me disant que peut-être j’y reviendrai un jour!

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