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Carole

Carole
Cette aventure, comme toute celles que je couche sur papier, sont totalement authentiques et vraies. Toutes, je les aie vécues, savourées, rien n’est inventé, tout est issu de mes souvenirs, exaltants, excitants comme je les perçois encore.

J’ai aujourd’hui l’Age du Christ, 33 ans, mais loin d’être un enfant de cœur, j’ai déjà eu tellement de frasques, que je trouve intéressant de les raconter… Je me sens prêt.

Je me prénomme Olivier, 1m73, 60 kgs, brun, aux yeux verts très très clairs qui font fureurs je dois le reconnaitre. Sportif, sans être musculeux, je n’ai pas la prétention d’être un bon coup. Je suis homme ordinaire. J’ai du charme c’est vrai, mais j’ai aussi, il faut l’avouer, une part non négligeable de chance qui m’a toujours servi…

Un an s’est écoulé depuis que ma voisine cinquantenaire m’a dépucelé fugacement. Six mois ont passé depuis ma passade avec Nathalie. Et quelques semaines seulement depuis mes ébats avec Ella dans les toilettes de notre Lycée. Nous sommes au mois de Juillet. Après les études, les échéances sportives approchent.

Car oui, à cette époque révolue je pratiquais de l’Athlétisme dans le club de ma ville. J’étais la star locale en catégorie jeune, le seul à briller, en Triple Saut notamment, le seul à me qualifier régulièrement pour les championnats de France. Jusque-là, mon coach de l’époque m’avait accompagné à chaque fois, mais ce petit homme râpeux que j’adorai venait de faire valoir ses droits à la retraite, mon quotidien allait être bouleversé.

Cette année, les championnats de France ont lieu au Stade Charlety à Paris. Me confronter au gratin français a toujours été le momentum de ma saison. Je suis excité et impatient. Du coté du club par contre, gros dilemme pour savoir qui va m’accompagner. C’est finalement la fille du président, Carole qui se dévoue ou qui a été choisie pour me servir de chauffeur, tuteur, coach durant l’évènement.

Carole, à une petite dizaine d’années de plus que moi, entre 25 et 30 ans je dirai, elle pratique également ce sport, plus par plaisir que pour les résultats. Petite blonde d’1m60 environ, un tout petit peu boulote, elle n’est tout simplement pas très jolie. Pas moche non plus mais sans charme, malheureusement pour elle, elle ne possède aucun atout attirant pour la gente masculine. Au-delà du physique c’est une gentille fille, rigolote, et toujours avec le sourire. Je l’apprécie même si nous nous connaissons finalement très peu. Ce voyage sera l’occasion de faire plus ample connaissance.

Nous voilà donc parti pour trois heures de route. Le trajet se déroule sans encombres, les discussions futiles se succèdent sans qu’aucune tentative de séduction de part et d’autre, ni de sous-entendu sexuel, ni mêmes de pensées coquines. Notre relation est juste amicale, rien de plus.

Finalement, nous arrivons à l’hôtel, en périphérie parisienne, un petit hôtel indépendant dans un immeuble Haussmannien. Après quelques difficultés pour garer la voiture de location, Carole se présente pour récupérer les chambres, j’attends un peu à l’écart. A son retour du guichet, elle affirme :

« Il y a un problème dans la réservation, une seule chambre est disponible, et avec un lit double. Est-ce que cela te pose un problème ? »

Mes aventures précédentes m’avaient fait prendre confiance en moi, en entendant ses mots, mon sang ne fait qu’une tour, je suis persuadé au fond de moi, que je vais niquer avec Carole cette nuit. Et tant pis pour les résultats le lendemain. Même si elle est peu désirable, je préfère m’envoyer en l’air plutôt que de ramener une médaille. Aucune hésitation là-dessus.

D’ailleurs je ne me suis même pas posé la question de savoir s’il y avait bien eut une erreur ou si la situation était volontaire. Laconiquement, et sans laisser transparaitre la moindre émotion je réponds :

« Non, pour une nuit ça ira, ne t’en fais pas. »

La soirée se déroule dans la bonne humeur, toujours sans aucune tentative de séduction de l’un de nous, mais intérieurement je prépare mon plan. J’ai de l’imagination : prétexter avoir omis de prendre un pyjama pour me présenter en caleçon devant elle. Prétentieusement je suis persuadé que la vue de mon corps d’athlète la fera frémir. Après tout même si je suis plus jeune qu’elle, vu son physique dénué de charme notable, sans aucune méchanceté de ma part, elle ne doit pas avoir souvent l’occasion de se faire sauter par un sportif en pleine possession de ses moyens.

Nous dinons ensemble, nous allons également nous promener quelques minutes dans le quartier à son initiative. Toujours aucune séduction ni de sa part, ni de la mienne. Pourtant je suis confiant et sur de moi. Peut-être trop.

Finalement, le moment fatidique arrive. Nous allons nous coucher. Je vais me laver les dents. J’en profite pour faire quelques pompes rapides afin de faire ressortir mes abdominaux. Je ne néglige aucun détail.

Je sors de la salle de bain en caleçon, et lui explique mon oubli de pyjama. Elle ne sourcille pas, ne me regarde même pas à vrai dire. Mon enthousiasme retombe d’un seul coup. Je me glisse rapidement dans le lit, persuadé que je vais me la mettre derrière l’oreille. Ma confiance à disparu. Je suis blasé. Elle part à son tour dans la salle. Elle y reste de très longues minutes. Ah, les femmes !

Elle finit par ressortir, simplement vêtue d’une très courte et très sexy nuisette en satin noir. En quelques secondes je deviens droit comme un I, je retrouve ma vigueur perdue. Je ne peux pas détourner le regard de ses jambes. Je suis affamé.

Elle ne dit rien, pas un regard non plus vers moi. Elle me tourne le dos et sans que je m’y attende, se penche, dos à moi, pour ranger des affaires dans sa valise : pas de culotte… J’ai une vue dégagée sur ses fesses et dans la pénombre je crois deviner ses lèvres : je suis aux abois, mais je ne bouge pas. Je n’ai qu’une envie, lui sauter dessus. Pourtant je ne fais rien. Pas encore. Je vais attendre qu’elle se couche à mes côtés, et je me jetterai sur elle. Je vais jouer le tout pour le tout.

Elle entre dans le lit, éteint la lumière, il fait noir complet dans la chambre. J’attends quelques secondes encore avant de me lancer. Je prends une grande respiration. La compétition est maintenant, pas demain. J’établie un compte à rebours dans ma tête… cinq, quatre, trois…

Je n’ai pas le temps de finir. Soudain, je sens une masse se jeter sur moi. Je suis surpris. Carole, sans un mot, s’est placée à califourchon sur moi, et déjà elle m’embrasse. Energiquement, passionnément, sans une once de romantisme. La situation est torride.

Sans se faire prier, mes mains remontent depuis ses cuisses, jusqu’à ses fesses. Je remonte légèrement la nuisette et caresse Carole vigoureusement. Ses fesses, pas très jolies, sont en revanches très fermes, je me régale. Je les prends à pleines mains, en appuyant le plus fort que je le peux. J’adore. Je remonte et lui caresse maintenant le dos en la pressant fortement contre moi. Je sens ses petits seins contre mon torse. Je suis excité au possible.

Pourtant ce n’est pas moi qui ai la main. Sans que je m’y attende, tout en m’embrassant fermement, je sens sa main glisser sur mon torse, puis atteindre mon entrejambe dans mon caleçon qu’elle repousse habilement sur mes cuisses. Elle tient mon sexe dur dans sa main tout entière. Sensation très agréable. Je m’attends à ce qu’elle me branle. J’en ai très envie : pas du tout. Sans ménagement, grâce à un habile mouvement de bassin, elle insère ma bite dans sa chatte. Directement. Sans préservatif. Nos langues sont toujours entremêlées. J’ai envie de m’opposer mais je ne peux pas m’exprimer et surtout je n’en ai pas la volonté suffisante. Trop tard. J’oublie déjà que nous ne sommes pas protégés. C’est mon premier rapport nature. C’est encore mieux qu’avec une capote. Quelle sensation exquise. Tout est décuplé. Je ressens tout, le moindre de ses mouvements.

Nous nous embrassons toujours. Elle fait des mouvements de bassins rapides, très cambrée je garde mes mains sur ses fesses et ses hanches tout en savourant. Elle a bien pris les choses en main. Soudain, elle retire sa langue de la mienne, se redresse sur moi, droite, elle a pris appuie sur mon torse avec ses mains, mais sans s’attarder.

Mes yeux ce sont habitués à la pénombre, je distingue clairement son ombre dans l’obscurité. Elle continue ses mouvements sur moi, les mains dans ses cheveux, les yeux fermés. Je remarque enfin le triangle brun au-dessus de son sexe, entretenu, propre. Mes mains parcourent maintenant son ventre et remonte sur ses tout petits seins. Je les titillent. Ils répondent en se durciçant. Elle répond en gémissant.

Je me redresse à mon tour en position assise. Nous nous faisons face. Je lui mange littéralement sa minuscule poitrine. Je lèche, je mords, je malaxe. Je ne lui épargne rien. Elle gémit de plaisir. Je relève la tête, et lui embrasse le coup avant d’atteindre sa bouche. Nous nous embrassons à nouveau. Nos mouvements de bassins respectifs sont plus saccadés. Difficile. D’un mouvement ample je la tourne sur le dos, sans me retirer. Elle m’agrippe fermement. Ses cuisse m’enlacent et me serrent. Ses mains empoignent mes fesses. Elle m’embrasse à pleine bouche. A son tour de me mordre. Je ne peux plus bouger. Je lui appartiens.

Quelques secondes passent. Je force pour me libérer. Je me mets à genou, lui att**** les jambes et les écartent au maximum. On va passer aux choses sérieuses maintenant ! D’un coup, j’accélère le rythme et amplifie les mouvements de ma bite en elle. J’alterne maintenant entre des petits mouvements très rapide, le plus vite que je peux, et de lents mouvements puissants, violents, et très en profondeur. Je la sens partir, elle jouit, elle hurle, elle gémit, elle atteint l’orgasme. Je le sais, je le sens. Mais je n’en ai pas fini pour autant. Je reste en position encore quelques secondes, je la laisse profiter du moment, puis, je me retire sans préavis et la force à se retourner. Elle s’exécute, dans un état second. Peu importe.

Sans attendre son consentement, j’enfile mon sexe tendu et dégoulinant dans sa chatte trempée. Elle s’effondre sur le ventre dès mon premier coup de boutoir. J’adore. Je la pénètre autant que je peux, je me couche littéralement sur elle, l’embrasse et la mordille dans le cou et l’oreille. Je sens le rythme effréné de son pouls. Elle sens le rythme soutenu de mes allers et retours en elle. Plus vite. Plus fort. Je veux prolonger le moment encore un peu. Mais trop tard, je viens. Elle est à bout de souffle. Moi aussi. Un dernier coup et je me retire, juste à temps pour éjaculer sur son dos et ses fesses gluantes de sueur. Plusieurs grandes giclées de mon sperme chaud se déversent dans le creux de ses reins. Elle n’a plus la force pour quoi que ce soit.

Je m’affale sur elle, sur son dos. Mon sperme colle à notre peau, se mélange à notre transpiration. C’est désagréable. Mais j’oublie très vite. Déjà, l’endorphine fait son effet, je sens que je sombre. Nous nous endormons l’un sur l’autre.

Le lendemain matin je me réveille en sursaut. J’entends la rue fourmillait en bas. Il n’est que 6 heures du matin. Suffisamment tôt pour préparer pour le mieux la compétition. Nous sommes blottis l’un contre l’autre en position fœtale. J’ai une érection matinale. Je sens mon sexe dur contre son dos. Ce serait dommage de ne pas saisir l’occasion. Elle dort toujours. Du moins je crois. Je n’ai pas envie de préliminaire, je me recule de quelques centimètres et toujours sans préservatif, j’introduis ma bite dans son sexe. J’y arrive sans aucune difficulté, il est à ma grande surprise humide. Nous avons fait l’amour dans cette unique position, tendrement, sensuellement, mais moins intensément que la veille. Curieusement, cela n’a pas duré très longtemps, j’avais déjà la tête à ma compétition, je garde un souvenir moyen de ce matin là. C’était bien, ça, je m’en souviens. Les détails, eux, sont flous.

J’ai évidemment été mauvais lors de ma compétition, mais peu importe. J’étais vidé dans tous les sens du terme. Même sa tentative de fellation sur une aire d’autoroute ne réussira pas à dresser mon sexe. Vide. Complétement. Encore une fois, cette aventure restera unique, nos rapports resterons inchangés comme si rien ne s’était passé. Jamais nous ne recommencerons. Jamais. Nous sommes restés en contact quelques temps avant que je ne la perde de vue lorsque j’ai déménagé pour poursuivre mes études, et surtout, pour vivre de nouvelles aventures… A découvrir, prochainement.

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